Candaulisme : fantasme de Jack, mari de Sandra

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fantasme candaulisme

Fantasme de candaulisme

-Chéri, tu es certain ? Vraiment certain ? Tu peux toujours arrêter cela, si tu veux… mais, si tu dis « oui » … bébé, si tu dis « oui », il n’y aura absolument rien qui puisse te faire revenir en arrière… tu comprends cela, n’est-ce pas ? Nous allons réaliser ton fantasme de candaulisme.

Sa voix était calme, réfléchie, mais elle voulait lui entendre dire les mots. C’était le seul moyen. Elle avait besoin de savoir sans l’ombre d’un doute que c’était bien ce qu’il voulait.

Elle a entendu son mari faire une pause, comme si tout d’un coup pour la première fois, la gravité et la réalité du moment l’avaient frappé. Pourtant, Jack fit un clin d’œil à peine perceptible, hocha délicatement la tête et d’une voix douce lui assura :

-oui… J’en suis sûr… c’est ce que je veux.

Sa réponse courte et simple a été comme un uppercut. En fait, cela allait se passer. Il voulait vraiment cela. Maintenant, son cœur s’accélérait, malgré sa volonté d’en ralentir le rythme – elle peinait de croire ce qui était sur le point d’arriver. Elle prit une profonde inspiration, prit    sur elle afin de ne rien laisser transparaitre. Maintenant, elle avait besoin de tirer parti de la gamme des émotions qui la submergeait.

Celles-ci devraient attendre. Elle les traiterait plus tard. A l’heure actuelle, son mari voulait voir sa femme avec un autre homme.

Même si elle se tenait juste là devant lui… ce qu’il voulait, c’était… regarder.

Préparatifs pour la soirée

Il n’y avait dorénavant rien qui puisse faire revenir Sandra en arrière. Elle disposa une grande chaise au milieu du petit studio, demanda à Jack de se déshabiller. Il obéit, avec minutie, plia ses affaires, les disposa sur le canapé après les avoir plié, puis vint s’assoir sur la chaise. Sandra se mit aussitôt au travail, ne mit que quelques minutes à fixer Jack sur la chaise – Bras, jambes, bassin, furent rapidement fixés à la chaise, solidement arrimés, de sorte que Jack ne pouvait nourrir aucune sorte d’espoir lui permettant de sortir de lui-même de cette situation. Sandra disposait de tout le temps dont elle avait envie.

Son ouvrage réalisé, elle regarda son homme avec dédain, fit quelques pas devant lui, hautaine dans sa robe blanche.

On frappa brutalement à la porte. Jack sursautât sur sa chaise, poussa un soupir puis implôra…

-Baby… attends… !

Sandra s’approcha, lui caressa les cheveux, fit glisser son majeur jusqu’à la bouche de Jack, lui intimant de se taire.

-Chut… silence, c’est trop tard. Tu as eu ta chance, tu aurais pu arrêter cela avant… maintenant, c’est trop tard… !

Sa voix avait un ton qui lui était alors inconnu, provoquant en lui des frissons incontrôlables. Et ses yeux avaient une lueur qu’il n’avait jamais vu auparavant lorsqu’elle a ajouté :

-et je ne peux pas avoir à t’interrompre de nouveau…

Sandra se déplaça jusqu’à la commode située derrière elle, en retira aussitôt un bâillon muni d’une boule qu’elle s’empressa de fixer autour de la tête de Jack.

Arrivée de l’amant de Sandra

Elle s’agenouilla momentanément à côté de lui – Jack était orienté vers le lit.

Sa main vint se poser sur la cuisse de Jack –

-je veux te garder en attente… mais, avant de commencer je veux simplement que d’où tu es, tu ne manqueras rien de ce qui va se passer. Voix tu comment j’aime m’occuper bien de toi ?

Sa main repassa dans les cheveux de Jack, délicatement.

Elle ne put empêcher un rictus à la vue de son visage, Jack tentait maintenant un gémissement étouffé.

-Oh, je suis désolé, chéri… Tu ne peux pas parler ?

Ainsi, son mari voulait regarder ? Il voulait du spectacle ? Très bien. Sandra était loin d’être prude, si c’était des émotions fortes qu’il voulait, alors elle allait lui donner un spectacle qui resterait gravé dans son esprit pour le reste de ses jours.

Son mari, momentanément impuissant, lié sur sa chaise, condamné à regarder… Sandra sentit monter l’excitation presque malgré elle. Elle n’avait rien demandé, Jack avait simplement susurré la chose afin de gagner en excitation dans leurs rapports … – jusqu’à ce que sa requête revienne régulièrement, point de départ à sa jouissance.

Elle fit entrer l’homme. Grand, chauve, puissant, masculin, certain de lui, il rentrait dans la pièce sans un regard pour Jack. Sandra, câline, l’entoura aussitôt de ses bras, l’embrassa goulument en collant son bassin à lui ; L’homme posa ses mains sur ces fesses, l’approcha encore plus de lui. Jack pouvait deviner à travers son pantalon combien l’homme bandait, combien Sandra l’excitait.

Colère et désarroi pour Jack

Rapidement, sans un regard pour Jack, ils se déshabillèrent, glissèrent vers le lit. L’homme n’avait pas eu une parole pour Jack, pas un regard, c’était comme s’il n’existait pas.

Sandra avait elle aussi, tout en moins en apparence, oublié Jack.

Deux heures durant, emplies de sexe chaud, de sueur, de sperme, devant les yeux de Jack, pauvre pantin, condamné à bander dur, sans même pouvoir se toucher, implorer, hurler sa rage… et son épouse, vedette du spectacle, collé à cet homme qui n’en finissait plus de la besogner, de lui ordonner de se comporter comme la pire des salopes, de le sucer encore et encore après qu’il eut joui en elle afin de regagner de la vigueur. C’en était trop, Jack n’aurait jamais pu imaginer que sa femme puisse se comporter ainsi, qu’elle ait ce petit sourire en coin pendant qu’elle regardait Jack tout en se faisant sodomiser… qu’elle crie devant lui sa jouissance, qu’elle dise à cet homme qu’elle n’avait connu une telle queue, qu’on ne l’avait jamais baisé ainsi…

Jack oscillait entre colère et désarroi. Les amants, repus, eux, se reposaient.

Sandra se redressa et s’approcha de Jack. Elle s’assit à califourchon sur lui, permettant à ses seins chauds et doux de venir effleurer Jack. Sandra se redresse, fait glisser ses seins sur le visage de son mari. Quand elle le regarde dans les yeux, elle peut voir le tourment qui l’habite, les larmes qu’il ne peut refouler. Et quand elle laisse ses hanches osciller lentement et érotiquement au-dessus de lui, elle sent sa bite douloureusement gonflée sous elle… elle sait toute l’attention que Jack voudrait recevoir, toute la frustration qu’il voudrait chasser de lui

-Parfait, Bébé. Mais, beaucoup trop tard… Quel est le problème, bébé ?

Sandra taquine Jack

Elle le taquine d’une voix douce, ses doigts parcourent les gouttes de sueur qui perlent sur son front.

-N’as-tu pas apprécié le spectacle ?

Enjôleuse, elle incline la tête vers Jack.

-En as-tu eu assez ?

Elle ricana méchamment alors qu’il hochait la tête. Approchant ses lèvres de ses oreilles, elle lui murmure :

-mais ce n’est pas à toi de décider, n’est-ce pas ? Cette possibilité a disparu, n’oublie pas.

Se retournant, elle jette un regard à l’homme sur le lit.

Bel étalon, comment vas-tu ? En veux-tu encore plus ?

Riant doucement, elle tourne le dos à son mari en murmurant,

-désolé bébé… mais, cet homme là-bas sur le lit… Il me veut… encore…il en veut plus que toi.

-Oh, Jack, ne me regarde pas si tristement… après tout, tu es arrivé à tes fins… tu… mesures ta chance ? N’est-ce pas ce que tu voulais ?

Jack baissait dorénavant la tête, vaincu, le menton sur sa poitrine comme s’il ne pouvait supporter de regarder plus encore. Riant doucement, elle toucha du bout des doigts son menton, afin que Jack la regarde.

-Allez, encore, j’ai envie, cela ne te dérange pas ? regarde mon sexe ruisselant, il ne ment pas, lui… laisse-moi profiter encore de lui, de sa bite exceptionnelle…

Coulissant vers le lit, Sandra embrasse l’homme, descends lentement vers son sexe, le prends en bouche tout en observant Jack. Son mari ne l’a pas quitté des yeux… Sandra lui sourit….

 

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