Deux Maîtresses dominatrices et l’ex professeur soumis (17)

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Deux Maîtresses dominatrices et l’ex professeur soumis (16)

 

La matinée passa ainsi. Ensuite, j’entendis mes deux maîtresses dominatrices s’agiter dans la cuisine. J’espérai qu’elles me donneraient à manger, mais surtout qu’elles me libèreraient de cette position d’attente qui commençait à
sérieusement me faire souffrir. Mes fesses nues sur le sol dur étaient mises à rude épreuve.

 

Sous la table aux pieds de mes deux Maîtresses Dominatrices

Enfin, elles mirent la table et apportèrent les plats qu’elles avaient concoctés, dont l’odeur alléchante venait jusqu’à mes naseaux.
Maîtresse Julie vint me chercher. Elle détacha la laisse et tira pour que je la suive. Maîtresse Elsa venait de remplir une gamelle. Le même plat qu’elle avait fait pour elle, j’en étais soulagé. Puis elle remplit une deuxième gamelle, plus petite, avec de l’eau. Mais c’était sans compter sur la perversité de Maîtresse Julie.

  • Attends Elsa, il a de la bonne nourriture, la même que nous, alors lui donner de l’eau c’est lui faire trop
    d’honneur.

Et elle prit la gamelle, vida l’eau, baissa son jean, s’accroupit, et pissa dans la gamelle.

  • Voilà le chien, un bon champagne, il faut profiter, ce sont les vacances !

Ensuite, elle plaça les deux gamelles sous la table, enleva la laisse du collier et d’un coup de pied aux fesses, me poussa sous la table.

Maîtresses Dominatrices

 

Mes deux maîtresses dominatrices s’installèrent à table et commencèrent à manger tout en discutant. J’étais là sous la table, à leurs pieds, et je mangeais comme le chien que j’étais devenu. Je buvais aussi en lapant la pisse de Maîtresse Julie, et le bruit que je faisais les ravissait.

 

  • T’entends Elsa, notre chien se désaltère !, dit Maîtresse Julie.

Et Maîtresse Elsa se mit à rire.

Mais manger devenait de plus en plus difficile car au fur et à mesure que je mangeais. La gamelle se vidait et la nourriture devenait plus difficile à attraper avec ma bouche. Alors je plongeais mon visage dedans. Aussi, je me retrouvais souillé de nourriture, sur le menton, la bouche, le nez, et je me disais que j’allais avoir l’air ridicule aussi sale.

 

Obligé de me comporter comme un bon chien

A la fin du repas, Maîtresse Julie vint constater que j’avais fini ma gamelle, et surtout celle de son précieux liquide.

Satisfaite, elle me remit ma laisse et me tira hors du dessous de table pour m’attacher, de nouveau, à la porte du débarras, dans la même position assise, le visage barbouillé de nourriture, soumis aux regards amusés de mes propriétaires.

Mes Maîtresses Dominatrices partirent faire une petite sieste tandis que je m’impatientais. J’avais envie d’uriner, ma
vessie devenait sensible. Je ne savais quelle attitude adopter. Je patientai encore.

Par chance j’entendis du bruit, Maîtresse Elsa passa devant moi. Je tentai, alors,  un petit aboiement pour attirer son attention.

  • Qu’est-ce qui se passe mon chien ?

Tout en me parlant, elle regardait mon entrejambe exposé.

Ne sachant comment lui faire comprendre, je décidai de couiner plusieurs fois.

  • Je vois que tu as besoin de quelque chose, mais quoi ?

Je repris mes couinements.

  • Aurais-tu oublié les codes ? Pas grave, nous allons en profiter pour les affiner. Si tu as soif, tu aboies 1 fois, si tu as faim, tu aboies 2 fois, si tu as envie de te soulager, tu aboies 3 fois. Si tu veux faire tes besoins, tu aboies 4 fois, et si l’une ou l’autre de ces envies est pressante, tu aboies le nombre de fois voulu et tu couines comme tu viens de le faire.

Même si je le ressentais comme une terrible humiliation, je me mis à aboyer 3 fois et à couiner aussitôt.

  • Tu as envie de te soulager, c’est bien ça ?, dit-elle alors qu’elle avait parfaitement compris le message, mais me réentendre aboyer et couiner était tellement délectable !

 

  • Julie, notre chien doit se soulager, on part en promenade ?

Début de la promenade, en laisse et à quatre pattes

Julie apparut.

  • Je t’ai entendu lui donner les codes, c’est parfait ! Attends, je vais passer un gant de toilette sur son visage, je ne voudrais pas qu’il nous fasse honte si on rencontre quelqu’un !

Evidemment, Maîtresse Julie rajoutait du piment à toute chose. Même si je croyais peu à une rencontre dans ces lieux retirés, l’idée que l’on puisse me voir en si fâcheuse posture me terrorisait.

Maîtresse Julie me débarbouilla et Maîtresse Elsa me détacha, tirant sur la laisse pour que je la suive à l’extérieur.
Et me voici ce chien qu’elles voulaient que je sois, les suivant à 4 pattes, en laisse, à l’extérieur.

Après quelques minutes de marche, Maîtresse Elsa m’invita à me soulager.

  • Allez, fais contre cet arbre, sans oublier de lever la patte.

Même si j’avais déjà uriné ainsi devant Maîtresse Elsa, j’en étais rouge de honte, mais l’envie était trop pressante. Je levai ma jambe droite et me laissai aller. L’anatomie de l’homme étant différence de celle du chien, je ne pissais pas contre l’arbre mais par terre, et aussi sur l’intérieur de ma cuisse.

 

Mes Maîtresses dominatrices ne disaient rien. Elles se régalaient probablement de me voir ainsi, à 4 pattes, une patte levée, les couilles pendantes, en train de me pisser dessus. Cependant, en ce qui me concernait, le soulagement l’emportait sur la honte.

Une fois terminé, Maîtresse Elsa tira sur la laisse plutôt brutalement me rappelant ainsi que le collier avait des pointes.

  • Allez, au pied !  dit-elle.

Ensuite, elle retira la laisse de mon collier de cou et la fixa à mon collier de sexe.

Quel spectacle pour mes Maîtresses Dominatrices!

La promenade se poursuivit ainsi, tiré par les couilles et le sexe. Suivre leur rythme n’était pas facile, et à chaque mouvement de laisse, je lâchai un gémissement de douleur. Maîtresse Elsa s’en aperçut et décida de décrocher la laisse.

  • Tu es trop lent, je te détache. Cependant, tu vas cesser de marcher sur les genoux, tu vas te relever et
    marcher sur tes pieds, mais avec les mains toujours au sol. Tu iras beaucoup plus vite ainsi.

J’étais soulagé car ce 4 pattes sur les genoux était difficile à gérer mais ma nouvelle position de marche était particulièrement humiliante, sur la paume des mains, le cul en l’air, les pieds au sol.

Certes j’allais plus vite, mais quelle démarche, et quel spectacle pour mes Maîtresses !

D’ailleurs elles s’en amusèrent avec des commentaires rabaissants, mais la promenade dura encore un bon moment à travers les champs environnants. Tout était si naturel en apparence, mes Maîtresses parlaient de choses et d’autres, et moi le chien, je marchais devant elle, leur offrant ma perte de dignité, ma déshumanisation…

Cette façon de marcher était réellement horrible, il faut le vivre pour le croire !
Puis nous revinrent à la maison, et je fus emmené dans le salon.

  • Couché !, dit maîtresse Elsa.

Et je me couchai à leurs pieds, à plat ventre sur le sol froid, tandis qu’elles commencèrent à regarder la télévision.

Maîtresse Julie retira ses tennis, enleva ses chaussettes et approcha ses pieds de ma bouche.

  • Lèche !, ordonna-t-elle.

L’odeur était un peu plus marquée du fait de la promenade mais tout à fait acceptable. De toute façon, je n’avais pas le choix, mais j’avais la chance d’avoir deux Maîtresses qui transpiraient peu et qui ne sentaient pas mauvais des pieds.

Ma langue transformée en papier toilette

Je m’appliquai à lécher ses pieds, à passer ma langue entre ses doigts de pieds, à les sucer, mais tout à coup, Maîtresse Julie se leva et m’emmena avec elle jusqu’aux toilettes.

Elle y entra, referma la porte derrière elle et me fit attendre devant.

Je pouvais entendre le jet de son pipi dans l’eau des WC et je savais évidemment que ma langue serait son papier toilette, j’avais été prévenu…

Quelques minutes plus tard, elle ouvrit la porte.

  • Entre, viens me nettoyer!

Quelle vue excitante de voir Maîtresse Julie assise sur le trône, adossée sur le réservoir, les cuisses largement écartées, la chatte ouverte et humide de pisse.

Je m’approchai de son sexe et la nettoyai à grands coups de langue, jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement propre. Même si un autre liquide commençait à apparaître, celui de son excitation. Elle se leva, tira sur la laisse pour que je me retourne et m’obligea à la suivre jusqu’au salon où je repris ma place.

L’heure du dîner approchant, mes Maîtresses Dominatrices me laissèrent seul, allongé sur le sol.

 

Maîtresses Dominatrices

Elles revinrent bien plus tard avec plusieurs petits mets à grignoter dans le salon, devant la télé. Pendant qu’elles mangeaient, ce fut au tour de Maîtresse Elsa de se déchausser et d’approcher ses pieds de mon visage. Bien sûr, sans qu’elle ne dise un mot, je commençai à la lécher avec application.

Maîtresse Julie se leva et alla chercher ma gamelle.

Une fois repues, mes Maîtresses vidèrent leurs restes dans ma gamelle. Le mélange n’était pas très heureux, mais je n’allais pas faire le difficile, j’étais nourri, c’était l’essentiel !

Obligé de montrer ma vénération

A peine avais-je fini que Maîtresse Elsa m’emmena à son tour aux toilettes. Même scénario, j’attendis que ma Maîtresse ait fini de se soulager pour faire mon travail, mais elle prit plus de temps que Maîtresse Julie et je compris pourquoi lorsque Maîtresse Elsa ouvrit la porte pour me faire entrer.

Non seulement l’odeur était sans équivoque, mais ma sublime Maîtresse était dans une position inverse, accoudée sur le réservoir, cambrée, fesses ouvertes comme ce déjà le cas un jour chez elle.

  • Quand on t’a dit que tu serais notre papier toilette, c’était pour tout bien sûr ! Allez, viens me nettoyer, je vérifierai à la fin avec un papier car je veux être parfaitement propre. Allez, active-toi, et pas seulement sur la partie visible, je veux être tout aussi propre à l’intérieur ! Fais-le avec envie, montre- moi ta vénération!

J’avais oublié que Maîtresse Elsa pouvait être aussi perverse que Maîtresse Julie, sinon plus parfois !
Je me mis à la tâche, passant ma langue sur toutes les traces brunes dans sa raie, autour de son anus, sans oublier de le pénétrer pour nettoyer l’intérieur. Le goût âcre ne me dégoûtait même pas, je léchais tout avec passion, en fait j’adorais ça, j’adorais son corps, j’adorais qu’elle me permette tant d’intimité, je l’adorais toute entière, et je nettoyais avec frénésie.

  • Humm, à croire que tu me vénères vraiment, quelle fougue !

Fou de joie à l’idée d’avoir une extrême intimité avec ma Maîtresse

Puis elle prit un morceau de papier et le fit entrer dans son anus avec son index et le ressortit pour vérifier.

  • Quelle propreté ! Pas la moindre trace ! T’es vraiment un bon chien, faudra que ce soit toujours comme ça car dorénavant, même après les vacances, même quand tu ne seras plus notre chien, tu serviras de papier toilette, j’en achèterai car tu ne seras pas toujours à la maison. Cependant, lorsque tu y seras, je le rangerai systématiquement, et tu sais que je ne plaisante pas ! J’imagine que parfois, car ça arrive, je serai très sale, mais tu n’auras d’autre choix que de nettoyer, et toujours avec le même dévouement, la même énergie, c’est compris ?

Je répondis par un petit aboiement consentant, mais au fond de moi, même s’il y avait de la crainte car ce ne serait pas toujours facile, j’étais fou de joie de pouvoir avoir cette extrême intimité régulière avec ma Maîtresse. Cerise sur le gâteau, c’était mon privilège, personne d’autre, même ses amants, ne partagerait ces moments secrets.

Et puis j’avais déjà servi de WC, alors être leur papier toilette était moindre mal.

  • N’oublie pas que si je range le papier toilette, il faudra que tu serves aussi mes invitées si elles le
    souhaitent… Pas les hommes, je t’en fais la promesse.

J’étais moins enthousiaste à l’idée de nettoyer tout le monde, tout dépendait du physique des invitées en question, mais au moins, sa promesse de ne servir que des femmes me rassura.

 

Nouvelle promenade pour pouvoir faire mes besoins…

Nous sortîmes des toilettes, moi à 4 pattes tiré par la laisse bien sûr.

  • En plus d’être un bon chien, c’est un excellent papier toilette, tellement efficace que je lui ai dit qu’il n’y aurait plus de papier toilette à la maison » dit Maîtresse Elsa

 

  • Trop bien, quelle bonne idée ! Il est si efficace que ça ? Faudra que je l’essaye ! » répondit Maîtresse Julie.

Mais en attendant, c’était moi qui avais envie d’aller aux toilettes, et pour la grosse commission cette fois. Allaient-elles me permettre d’aller aux WC, même à 4 pattes, peu importe ? Est-ce qu’elles me permettraient de sortir ? Je me retenais encore un peu, et puis je fus obligé de me manifester, en aboyant 4 fois puis en couinant pour indiquer l’urgence.

Maîtresse Elsa se mit à sourire :

  • notre chien s’est souvenu du code, je crois bien qu’il a envie de faire ses besoins !

 

  • Alors sortons-le! répondit Maîtresse Julie.

 

Une réponse qui ne me plaisait guère, j’aurais préféré sortir seul, mais bon, tant pis, je n’avais pas d’autre choix.

 

A suivre

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