Promenade en voiture
Les virages de la petite route qui descendaient le long de la côte avaient fini de s’enchainer pour laisser place à une longue bande côtière, le sable des places et l’océan d’un côté et une forêt de pin de l’autre. Les parfums de ce paysage étaient exaltants. Madame, la dominatrice, semblait apprécier la conduite de son chauffeur. De temps à autre, elle jetait un oeil sur ses mains posées sur le volant ou lorsqu’il changeait de vitesse, empoignant le levier de vitesse.
Cette belle dominatrice releva sa jambe droite, pour poser son pied sur son genou gauche et masser délicatement le bout de son pied qui dépassait de ses chaussures à lanière aux talons compensés. Ensuite, elle jeta un coup d’oeil sur le bas côté et lui indiqua:
- tu devrais trouver une place par là pour te garer au début d’un de ces chemins forestiers.
Il jeta à son tour un oeil dans la même direction, se demandant quelle idée, elle avait en tête.
Il osa :
- tout va bien Madame, sublime dominatrice?
- Oui, très bien.
Petit arrêt dans la forêt
Elle lui signifia d’un sourire appuyé, qu’il s’agissait de son désir et non d’une quelconque situation qui la contrariait ou l’indisposait.
- Et maintenant, tu vas te garer et te déshabiller complètement dans la voiture !
- Quoi?
- C’est un ordre!
- J’ai dit maintenant. Et si cela peut te rassurer…un peu, saches que la voiture reste une propriété privée : enchaina-t’elle sur un ton dogmatique.
Cette dominatrice impitoyable devançait, ainsi, tout argument nouveau qu’il aurait pu avoir alors à l’esprit.
Comme si elle lui avait lancé un ordre subliminal, il mit le clignotant et s’immobilisa à l’endroit même où son regard à elle portait son attention.
La voiture était arrêtée dans un chemin qui semblait aller assez loin dans la forêt environnante. En cette fin de matinée de dimanche du mois de mai, il faisait déjà bon. Quelques voitures circulaient sur la route. Il hésitait et n’avait pas coupé le contact, incapable de faire le premier mouvement pour se déshabiller. Puis elle lui ôta brusquement ses lunettes de soleil du visage, et lui intima:
- Tu enlèves tout. Entièrement nu, j’ai dit!
La dominatrice ordonne au soumis de se déshabiller
Son polo, passa prestement au-dessus de ses épaules, mettant à nu son ventre. Son torse était pâle. Très appliqué à ne pas trop se faire remarquer en passant accidentellement ses bras à l’extérieur du véhicule, il se raidit et se contorsionna derrière le volant, pour déboutonner et faire descendre son pantalon sur ses genoux. Une fois parvenu sur ses chevilles, celui-ci était coincé au niveau de ses chevilles. Ensuite, il entreprit d’ôter ses chaussures l’une après l’autre, maladroitement. Ce qui amusait beaucoup sa passagère, laquelle s’efforcerait de conserver une attitude hautaine mais pouffait de rire par instants, face au spectacle ridicule qu’il lui donnait à voir.
Lorsqu’il fut enfin nu, elle prit possession de tous ses effets et les jeta sur le siège arrière de la voiture, le laissant sans voix et désemparé.
- Et maintenant, je veux te voir te toucher !
Il mordit ses lèvres, mais ce ton insistant qu’elle avait, le contraignait à s’exécuter. Ainsi, il commença à se masturber, les yeux d’abord fermés, cherchant du courage. Elle avait remarqué que même avant qu’il ne commence à se toucher, son sexe était déjà en érection, excité qu’il était par la scène et l’effet de surprise.
- Je suis certaine, qu’à cet instant, tu mesures combien tu es vulnérable, n’est ce pas? Tu es incapable de savoir ce que je fais faire ou exiger de toi dans l’instant qui suit Ou combien de temps cela va durer.
Séance de masturbation
Sa bouche s’entrouvrit, mais elle le stoppa net.
- Ne répond pas, concentres toi sur ta queue!
- Mmm…
Ses doigts frôlèrent sa main libre. Elle le regardait avec intensité s’excitait. Puis brutalement, elle lui retira la main de son membre gonflé par l’excitation. Une voiture passa, alors, sur la route pas très loin de la leur puis s’éloigna.
- Shhh..!
Elle prit le relais, caressant à son tour son sexe de haut en bas, titillant sa peau velouté et douce. Puis elle porta sa main dans sa bouche.
Quand sa main en ressortit, elle était luisante de salive, et elle reprit la masturbation lente et savante, en l’empaumant avec la salive mouillée sur le gland, faisait tournoyer sa paume en petits cercles concentriques. Elle le mena rapidement au bord de l’explosion puis relâcha sa pression. Ensuite, elle descendit à la base du pénis, puis retrouva du bout des doigts le bout de son gland, qu’elle excita encore plus doucement. Ainsi, ses caresses devenaient insoutenables d’intensité.
Le fixant alors dans les yeux:
- Surtout, ne viens pas maintenant !
- S’il vous plait Madame…
- Si tu oses, je serais dans l’obligation de te laisser nu jusqu’à l’arrivée à l’hôtel. Ton ventre mou recouvert de sperme, tu imagines la scène et tu croyais que tu étais exposé là maintenant? Imagines toi en train de te concentrer pendant que tu conduiras vers l’hôtel comme cela.
Séance de Stop and go
Tous ses muscles, ses épaules étaient en tension et ses jambes serrées, le bras gauche écrasé contre son corps. Ainsi, il essayait de résister, de tenir sous les caresses insistantes de sa maitresse.
- Nom de dieu! S’il vous plait arrêtez !
- Repenses bien à tout çà ! Je vais bien garder tout contre moi tes vêtements. Et tu devras te rhabiller en espérant que personne à l’hôtel ne te verra. Le portier ou le concierge, attentif à chaque nouvel arrivant..à accueillir…tu imagines. ils te verront c’est certain !
- Madame. S’il vous plait. Je ne peux plus tenir!
Alors d’une voix assurée, elle lui répondit.
- Non. Non tu ne vas pas.
Une autre voiture passa. Il prit une respiration profonde, et vit qu’elle avait qu’elle relevait sa jupe cherchant sous le string d’un doigt agile la fente de son sexe. Puis elle commença à se caresser sans stopper sa lente et insupportable masturbation sur son pénis maintenant comme agité de soubresauts. L’instant suivant, elle relâchait son emprise.
Elle gémit:
- Ahh…
Elle eut un rictus. Elle se contorsionna puis se serra contre lui, happant de sa bouche son nez, ses lèvres. C’était un supplice pour lui, car elle cherchait à le déconcentrer, alors qu’il tentait de tout son être de résister. Ne pas jouir, Ne pas jouir. Surtout ne pas jouir maintenant.
- JE VOUS EN PRIE, JE VOUS EN PRIE, S’IL VOUS PLAIT …!
- Et bien non!
La dominatrice stoppa net ses caresses diaboliques, le repoussa violemment vers le dossier de son siège puis elle s’assit convenablement sur le siège passager.
- J’ai décidé de ne pas te laisser jouir avant le prochain arrêt. D’ailleurs, je me demande si je vais te redonner ton slip et ton pantalon !
- Allez repars! Démarre!