Un meuble pour une Maîtresse dominatrice (4)

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Deux heures à lécher dans ses moindres recoins le vagin de, ma Maîtresse dominatrice, Dame Prisca.

Je n’ai plus de langue et je suis épuisé. Mon visage est mouillé à cause de la cyprine. Ma Maîtresse dominatrice a joui à deux reprises dont une fois (elle en a même mis le film sur pause) où elle s’est transformée en véritable fontaine.

Elle finit par se relever enfin, satisfaite, et me colle d’office une culotte usagée dans la bouche en guise de bâillon pour me faire taire puis elle la maintient à l’aide d’une sangle en cuir.

Ensuite, elle se contente de pousser le petit chariot sur lequel je suis lié pour me ranger dans une sorte de cagibi dont elle referme la porte.

 

Relégué dans un placard par ma Maîtresse Dominatrice!…

 

Plongé dans le noir, remisé dans un coin, je suis plus que jamais relégué au rang d’ustensile.

Je commence à avoir soif, j’ai faim et j’ai le corps de plus en plus ankylosé à être si étroitement attaché. Elle ne va quand même pas me laisser là toute la nuit ?

Je me morfonds ainsi pendant une heure au moins, incapable de m’endormir, gigotant dans mes sangles, goûtant malgré moi la saveur si particulière de la culotte imbibée de salive.

Et puis j’entends des portes qui s’ouvrent puis des voix de femmes qui résonnent. Quelle heure peut-il bien être ? Minuit ?

Elles se rapprochent et la porte s’ouvre subitement. Je cligne des yeux et reconnait aisément la silhouette de dame Prisca.

  • Attends, je l’amène!, dit-elle.

Et me revoilà à rouler dans le couloir non pas vers le salon mais vers la salle de bain. Je découvre rapidement la présence d’une autre femme. Elle est petite, noire de peau, assez boulotte et pourvu d’une paire de fesses énormes. Elle est perchée sur des hauts talons ne faisant que renforcer sa cambrure et ses cuisses larges.

  • Dépêche-toi, dit-elle ! Je ne peux plus attendre !

Elle trépigne d’un pied sur l’autre. Quoi ? Que va-t-elle faire ?

 

…puis conduit dans les toilettes…

 

Maîtresse dominatrice

Dame Prisca arrête mon chariot, verrouille les roulettes puis me retire le bâillon pour me glisser aussitôt entre les dents un cerceau d’acier me maintenant la bouche exagérément ouverte. Elle insère ensuite une sorte d’entonnoir que je suis incapable de refuser. Un nouveau bâillon qui ne laisse guère de mystère sur ce qui va m’arriver. Je n’ai même pas le temps de protester que le tuyau vient déjà écraser ma langue.

Le tout est solidement fixé derrière ma tête. Avec horreur, je vois dame Prisca disposer une sorte de cuvette de toilette autour de ma tête.

  • Tu peux venir, il est prêt !

Et la voilà qui s’en va. Vite remplacée par l’inconnue qui arrive presque en sautillant, ses talons cliquetant sur le sol. Elle fait glisser la fermeture éclair de sa jupe et la baisse sans attendre, dévoilant des jambes épaisses gainées de dim-up noirs. Elle retire promptement sa culotte et vient s’asseoir pile sur mon visage dans un soupir de soulagement.

J’ai à peine le temps d’apercevoir sa chatte à demi ouverte se précipiter vers moi qu’elle se met à pisser à gros jet dans l’entonnoir. Mon corps tout entier se cabre dans les sangles mais je suis incapable d’échapper à mon sort, même ma tête ne peut bouger. L’urine m’envahit instantanément la bouche, âcre, amer. L’odeur est puissante et je peine à avaler. L’inconnue me facilite la tâche en régulant sa miction en une série de jet mais elle ne semble jamais vouloir s’arrêter.

Les dernières gouttes glissent enfin dans le tuyau et elle émet un soupir de satisfaction. Elle retire ensuite l’entonnoir et le cerceau qui me maintenait la bouche ouverte. Elle me dit :

  • Tu me nettoies maintenant, petit soumis !

 

…pour être utilisé par une amie de ma Maîtresse dominatrice!

Sa voix est pleine d’autorité, forte. D’où je suis, je ne vois pas grand-chose. Juste son vagin dégoulinant et une paire de seins lourds et massifs moulés dans un pull.

Elle doit manipuler un levier car ma tête est relevée par à-coups pour que ma bouche se colle sur son sexe.

  • Allez!

Je m’exécute sans réfléchir et je nettoie le sexe de l’invitée. Elle a des lèvres charnues et un énorme bouton qui jaillit dès les premiers coups de langues. Elle prend un plaisir évident et ne tarde pas à gigoter, m’écrasant le visage sans vergogne. Je peine à respirer mais je m’applique. Je fouille, je retourne, j’explore.

  • C’est bien, me dit-elle, enfin nettoyée.

Elle me fourre ensuite dans la bouche sa culotte, une manie décidément chez ces femmes, et la transforme en bâillon impossible à enlever.

  • Je vais revenir, le temps de dire bonjour à Prisca. J’ai un autre cadeau pour toi, rigole-t-elle. Je me suis arrêté dans une excellente auberge avant d’arriver il y a quelques heures. Je crains d’avoir abuser. J’ai trop mangé. Je vais t’en faire profiter mon chou, ne bouge pas, je reviens.

Et là voilà qui se lève, enfile de nouveau, sa jupe et quitte la salle de bain dans un cliquetis de talons.

Me laissant seul.

Horrifié.

A suivre…

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5 réflexions au sujet de “Un meuble pour une Maîtresse dominatrice (4)”

  1. C’est l’une des plus belles histoires que j’ai lu ici. J’espère vraiment qu’il y aura une suite. L’auteur a beaucoup de talent et l’histoire ne peut pas se terminer au moment le plus intéressant.

  2. Toujours aussi bien. Vivement la suite. J’espère qu’elle sera intransigeante et qu’elle lui fera avaler absolument tout…

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