Les jours passèrent, je continuais à servir Marie, espérant qu’elle puisse me libérer de ma cage. Je m’occupais du ménage et de la cuisine. J’essayais de la combler avec des petites intentions comme le fait de ramener des roses tous les vendredis soir. Cependant rien n’y faisait, elle ne m’avait pas encore libéré. Elle se comportait comme une Maîtresse dominatrice.
Un soir, Marie m’informa qu’elle allait passer la soirée chez sa tante Sophie. Et là, le ciel me tomba sur la tête. Quelle idée encore sa tante, Maîtresse dominatrice expérimentée, allait-elle lui fourrer dans sa tête ? Devrais-je faire encore plus de travail pour la combler? Je ne savais plus quoi penser car j’estimais faire déjà tout le travail possible et inimaginable. Lors de cette soirée, seraient aussi présentes des amies de sa tante. J’imaginais donc bien la scène, toutes ces dames en train de parler de mon cas, et aussi peut être de leur conjoint respectifs. Elles pourraient même échanger leurs petites idées de dominatrices entre elles pour que nous les hommes soyons encore plus castrés psychologiquement!
Préparation de ma Maîtresse dominatrice pour la soirée
Avant d’aller à la soirée, je dûs aider Marie à s’habiller. Elle était, vraiment, très sexy, avec des talons hauts et une robe rouge moulante qui s’arrêtait juste au dessus du genou. Elle décida, pour une fois, de se boucler les cheveux histoire de leur donner du volume. Cela la rendait encore plus mignonne. J’aimais ce mélange parfait entre sexy et mignonne pour le coup. Mon sexe me faisait mal dans ma cage. Je n’avais qu’une envie, déshabiller Marie pour la baiser fortement comme avant…
Une chose manquait au niveau de ses habits, sa petite culotte! Je l’avais habillée sans lui mettre de string, En fait, elle l’avait mis dans son sac à main au cas où. À tous les coups, elle l’avait fait exprès pour que j’aie cette image en tête tout le long de la soirée et puis cela devait hautement l’exciter aussi !
Avant de partir, elle me regarda avec un grand sourire, puis me libéra de ma cage de chasteté. Mon penis était à son maximum en un quart de secondes.
- Imagine moi dans ma tenue ce soir et branle toi autant que tu veux! Ce sera la seule fois du mois que tu auras l’occasion d’être libérer de ta cage!
J’étais tellement heureux de pouvoir être libre même si j’en voulais toujours plus. C’est mon tempérament. J’aurais voulu lui faire l’amour comme un fou, mais cette fois-ci, je devrai me faire du bien tout seul.
Tout était programmé dans ma tête. A la seconde où la porte se fermerait, je me masturberai autant de fois que possible toute la soirée.
- Ah ! une petite chose…
Attaché par ma Maîtresse dominatrice, avec les yeux bandés, pendant toute la soirée!
Elle alla chercher un bandeau puis me le mît sur les yeux. Ensuite, elle prit une corde et commença à attacher mes mains dans le dos en les reliant à mes chevilles. Ainsi, je me retrouvai à genoux, immobilisé. Et pour couronner le tout, elle attacha mon penis raide contre une poignée de porte. Je ne pouvais plus me déplacer dans l’appartement et je devais, ainsi, rester dans le hall d’entrée toute la soirée.
- Aller soit sage petit esclave, branle toi bien, que t’en profites un maximum avant que je rentre : me disait-elle avec le sourire le plus sadique qu’elle ait sorti depuis que je suis avec elle…
Au moment où elle ferma la porte, je me lançais dans mon périple à savoir me masturber au moins une fois étant donné les circonstances! Je me tordais dans tous les sens, donnais des coups de bassins mais rien n’y faisait… Après plusieurs heures d’essai, je finis par abandonner. J’étais essoufflé!
Marie rentra de sa soirée, et me vit par terre épuisé avec une trique toujours énorme. Elle en conclut que je n’avais pas réussi à faire ce que je voulais. Elle me retira mon bandeau et je vis une Maîtresse dominatrice sévère avec le visage froid.
D’un ton ferme, elle me dit :
- Tiens donc ! Tu n’as pas réussi à te faire plaisir, tant mieux ! Après ce que je viens d’apprendre ! Sophie m’a tout dit, tu m’as trompée et il faudrait encore que je te récompenses ?
- en fait non je n’ai pas pu te tromper réellement et…
Esclave de Marie ma nouvelle Maîtresse dominatrice…
*BAFF*
Elle me gifla. Je pouvais imaginer tout le dégoût qu’elle avait envers moi.
- Le pire dans tout ça c’est que j’y allais mollo avec toi. J’avais pitié de toi, te voir frustré comme ça, mais alors là, si tu crois que j’étais méchante jusqu’à présent, tu vas voir ce que je vais te faire ! En tout cas, tu peux remercier Sophie de m’avoir appris à te dominer. Sinon je ne serais plus avec toi aujourd’hui et crois moi, pour le restant de tes jours, tu seras mon esclave, quand je dis esclave ce n’est pas un petit mari soumis, c’est un esclave un vrai! J’aurais tous les droits sur toi !
Elle alla ensuite se laver puis elle partit se coucher sans me délivrer de mes liens alors que je commençais à avoir de sérieuses courbatures. Cependant, j’avais compris que j’allais Passer la nuit comme ça…
Le lendemain matin, Marie se leva, et enleva mes liens puis elle me fit signe de la suivre dans la salle de bain. Je n’arrivais pas à suivre sa cadence. J’avais mal à tous mes membres donc elle me mît des coups de pieds sur tout mon corps pour que je me dépêche. Elle s’assit sur le toilettes puis elle m’ordonna de placer ma tête juste en dessous de sa chatte.
- Je te conseille de boire le maximum esclave ! me dit-elle.
Elle commença à uriner et me mit à la tache. C’était tout simplement horrible mais je ne voulais pas la contrarier. À la fin de son petit besoin, je dus la nettoyer avec ma langue pour qu’elle soit toute propre.
…et non plus seulement mari soumis!
- A partir de maintenant esclave, il est hors de question que tu manges ou boives comme moi, en tant qu’esclave tu n’auras le droit que de boire ma pisse. Je te conseille donc d’en boire un maximum ! Fini l’alcool et le reste, si tu as vraiment soif pour une raison important et que je ne peux pas te donner à boire, je te donnerai exceptionnellement de l’eau. Pour ce qui est de la nourriture, je ne veux pas que tu manges ma matière fécale, pour cause d’hygiène. De plus, je n’en ai tout simplement pas envie. Tu mangeras donc que du pain rassis que je ne pourrais plus manger ou alors les restes de mon assiette que je te balancerai à même le sol. Maintenant viens, je ne peux malheureusement pas faire de telles choses aussi impunément à un être humain dans notre société malgré le fait que tu m’ai trompé. Aussi, je vais devoir te faire signer un contrat de soumission. On va donc passer par des négociations entre nous pour le rédiger.
Après ce long discours je trouvais Marie beaucoup plus calme qu’hier soir, plus apaisée. Cependant, je repensai à ses dernières paroles et alors, j’eus froid dans le dos. Ainsi, l’idée de ne plus pouvoir manger autre chose que ses restes ou du pain rassis me donna la boule au ventre, mais le pire était de penser que dorénavant, je ne devrai boire que son urine et rien d’autre…
Négociations pour la rédaction du contrat de soumission
Au moment de passer aux négociations, elle commença par une petite explication de son point de vue.
- Écoute, je t’aime et tu m’aimes, je veux faire ma vie avec toi. De plus, le fait d’avoir un esclave à la maison a toujours été une idée que j’avais en tête. Du moins, c’était un fantasme. Et le fait d’apprendre que tu m’as trompé m’à permis de repousser mes limites en tant que dominante. Je te préviens, pour la forme. C’est un contrat de soumission que l’on fait mais en réalité, ce sera un contrat de propriété d’esclave. Tu pourrais et je le sais très bien te dire « non je le sens pas je préfère que l’on reste amis et on s’arrête là » mais je te le conseille pas. Je ne te dirai pas pourquoi par contre. Si tu veux bien maintenant, on va passer aux négociations pour rédiger le contrat.
Après une bonne heure, on avait terminé. J’étais officiellement la propriété de madame Marie. J’ai réussi à négocier certaines choses comme le fait de pouvoir malgré tout boire de l’eau à côté de son urine, mais pas pour la nourriture. Je devais aussi lui faire un compte-rendu de toutes les dépenses. De plus, si je devais me déplacer quelque part, il fallait que je lui demande l’autorisation. Enfin, si Marie trouvait que je manquais d’éducation, je devrai aller faire des stages de soumission chez sa tante, Maîtresse dominatrice plus expérimentée, et aussi surtout plus sadique !
À ce propos, je devais impérativement commencer un stage d’une semaine chez Sophie pour commencer réellement ma nouvelle vie. Marie se garda bien de me dire ce qu’il était prévu au programme, mais elles en avaient bien discuté lors de leur soirée.
À ce moment précis de ma vie, je réalisai que je ne pourrais jamais revenir en arrière et que je ne pourrais plus être un homme normal…
A suivre…
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