Le réveil de Maîtresse Samantha
-T’ai-je autorisé, esclave sextoy, à faire autre chose que de me lécher les pieds ? : me demanda Samantha en levant les yeux de son journal, d’un air ennuyé.
-Non Maîtresse, je m’excuse.
Je me remis à la tâche, embrassant langoureusement la plante de ses pieds comme elle l’appréciait. Cela faisait deux mois que j’étais l’esclave sextoy de Samantha et elle ne m’avait rien épargné.
J’avais passé la nuit attaché au pied de son lit, roulé en boule sur le tapis. En se levant, elle avait exigé un long cunnilingus de près d’une heure que j’avais effectué avec dévouement, directement sous sa couette, alors qu’elle était encore ensommeillée.
Ce matin, elle feuilletait son journal préféré en sirotant un café que je lui avais préparé. Pendant ce temps-là, allongé au sol sur le carrelage froid de la cuisine, j’usais de ma langue pour relaxer les pieds de ma propriétaire. Le martinet posé sur les genoux de ma maîtresse me faisait frémir. Elle ne s’en séparait jamais plus de quelques minutes et l’emportait même avec elle pour dormir. Ainsi, elle était prête au cas où, pris d’une soudaine envie en pleine nuit, elle se mettrait en tête de me donner une correction gratuite.
Une voix se fit entendre dans la pièce adjacente.
-Maîtresse, je vous apporte votre jus d’orange pressé.
-Bien esclave. Tu iras me faire couler un bain et préparer mes affaires pour la journée, Léa. Je dois rendre visite à des amies et les accompagner au cinéma.
-Vos désirs sont des ordres !
Lea, esclave soumise
Une jeune fille intégralement nue et portant le même collier électrique que moi apparut dans la cuisine. Elle avançait à genoux et portait un plateau sur lequel trônait un verre de jus d’orange et une serviette.
Léa était également l’esclave de Samantha. Elle avait été kidnappée de la même manière que moi mais bien plus tôt. Alors que je n’étais au service de ma maîtresse que depuis deux mois, Léa la servait depuis bientôt trois ans. Sur son dos et ses fesses, on pouvait voir de nombreuses zébrures dues aux très nombreux coups de fouet qu’elle avait reçu au fil du temps.
Léa était âgée de vingt-deux ans, soit à peine plus âgée que moi. Elle était d’une beauté à couper le souffle, avec de longs cheveux noirs que Samantha lui avait attachés en une seule tresse et de grands yeux en amande d’un bleu pâle.
Léa approcha le plateau de sa maîtresse et Samantha échangea sa tasse de café, maintenant vide, avec le verre de jus d’orange. Elle y but de longues gorgées et une fois terminé, elle s’essuya les lèvres à l’aide de la serviette. Léa maintenait le plateau en l’air à bout de bras, parfaitement immobile.
Je continuai à embrasser les pieds de ma maîtresse, insistant dans le creux des orteils car c’était une zone très érogène. Samantha finit par quitter sa chaise et me traîner par ma laisse jusqu’au salon où elle se laissa tomber sur le canapé. Les jambes écartées et la jupe relevée, elle me présenta ses fesses et caressa distraitement sa cuisse.
-Lèche-moi un peu l’anus, esclave, le temps que Léa me prépare mon bain.
Ma Maîtresse adore les annulingus !
Samantha adorait les annulingus, c’était quelque chose que j’avais appris à connaître. Il ne se passait pas un jour sans qu’elle ne m’ordonne de lui donner du plaisir avec ma langue en explorant son cul. D’après ses dires, Léa était très douée pour ça mais je l’étais encore plus. Avant, la jeune fille était sa lécheuse d’anus attitrée mais je l’avais remplacée depuis.
Allongée sur le ventre, l’arrière-train levé, Samantha soupira de plaisir en tirant sur ma laisse, plaquant mon visage entre ses cuisses.
Avec application, craignant le martinet qu’elle n’avait pas lâché, je passai ma langue le long de sa raie des fesses, m’attardant de longues minutes sur son anus. Pour accentuer son plaisir, Samantha effectuait des vas-et-viens avec son derrière, m’utilisant comme un simple jouet.
Je sentis que son sexe s’humidifiait doucement. Samantha me saisit alors par les cheveux et, d’elle-même, fit bouger ma tête de haut en bas, ma langue sortie faisant office de sex-toy. Ensuite, elle frotta mon visage contre son cul de plus en plus vite, allant jusqu’à me faire grimacer de douleur.
-Hummm… Il est bientôt prêt ce bain, Léa ? : demanda Samantha sans arrêter son mouvement.
-Oui Maîtresse, encore quelques minutes !
-Pour chaque minute de plus, tu… Oooh, oui… Tu recevras trois coups de fouet ce soir ! C’est clair ?
-Très clair Maîtresse.
Samantha arrêta son geste et me repoussa. Elle se retourna sur le dos et tira sur ma laisse pour que je me rapproche encore plus d’elle. Elle inséra un doigt dans son anus, le fit tourner à plusieurs reprises et le ressortit.
-Ouvre ! : ordonna-t-elle.
Ainsi, j’obéis et elle plongea son doigt dans ma bouche.
-Je ne m’en lasse pas, dit-elle en riant et en me poussant violemment, à tel point que je tombai du canapé.
Le bain de ma Maîtresse
Son bain ayant terminé de couler, elle se dirigea vers la salle de bain à l’étage. Ensuite, je la suivis à quatre pattes, le seul mode de déplacement qui m’était autorisé. Léa attendait devant la baignoire, à genoux, les bras dans le dos et les yeux baissés.
Ensemble, nous aidâmes notre Maîtresse à se déshabiller et à entrer dans le bain moussant. Nous avions tous les deux froids à force de nous traîner sur le sol et passer notre existence nus, et la chaleur de l’eau du bain nous donnait extrêmement envie mais nous n’en laissions rien paraître.
Ensuite, Samantha se prélassa, étendant ses jambes dans la baignoire et se caressant les seins.
-Caressez-vous, esclaves ! Divertissez-moi !
Dociles, Léa et moi commençâmes à nous embrasser et à nous masturber mutuellement. La jeune fille tenait fermement mon pénis et effectuait des allers-retours brusques avec sa main. De mon côté, je l’embrassais dans le cou et pétrissait ses seins de mes deux mains libres.
Les caresses dures et dépourvues de douceur que m’offrait Léa n’étaient en rien agréables car Samantha n’aimait pas que nous prenions vraiment du plaisir sans son intervention. Ainsi, ce que nous faisions avait pour unique but de la divertir, pas de nous satisfaire nous.
Petit divertissement pour Maîtresse Samantha
Elle tourna la tête vers moi.
-Encule-la, esclave. Léa, je veux t’entendre donner de la voix.
Je saisis ma compagne esclave par les hanches et insérai mon sexe désormais dur et en érection entre ses cuisses, le faisant doucement pénétrer dans son cul. Il était très étroit.
Je me mis à la sodomiser vigoureusement, poussant un peu plus loin mon pénis dans son anus à chaque mouvement. Léa gémissait de plaisir et se frottait le clitoris énergiquement. Les sons qu’elle produisait contentaient visiblement sa maîtresse car Samantha se masturbait elle-aussi, sous l’eau, en nous dévorant du regard.
Elle alla même jusqu’à sortir à moitié du bain pour asséner des claques sur le derrière de Léa, alors que j’accélérais mon mouvement.
Cela dura presque dix minutes avant que Samantha ne m’ordonne d’arrêter et de laisser Léa me sucer. Durant tout ce temps, j’avais dû me retenir d’éjaculer, ce qui était très douloureux, et je savais que Samantha ne m’autoriserait pas à le faire autrement que sous l’action de ses pieds ou de ses propres mains.
C’était donc extrêmement frustrant et désagréable.
Après une bonne demi-heure passée à se relaxer en observant son esclave me sucer, Samantha sortit du bain. Léa descendit au salon préparer ses vêtements tandis que je m’occupai de l’essuyer et d’enduire ses pieds, ses jambes et ses mains de crème.
Samantha avait bien aimé cette matinée car elle me caressa la tête et me glissa un morceau de chocolat entre les lèvres.
-Tiens, c’est pour ta performance, esclave, me dit-elle.
Est-ce que nous pourrions savoir s´il vous plait dans les moindres détails comment
s´est déroulé l´enlèvement de ces jeunes proies devenues esclaves de leur maitresse.
Leur kidnapping ressemble-t´il á ceux organisé par les services secrets?
On veut absolument connaitre la suite de cet histoire car j´en suis friand.
j ai adoré j aimerai moi même être enlevé qu’ el pieds mais je crois que pour moi c est trop tard mais cela est plaisant a lire cela fait fantasmé a default merci pour ces histoires
Très plaisante cette fiction, merci d’avance pour la suite !