C’était donc la Maîtresse suprême, Mademoiselle Sybille qui venait de prendre le relai, et qui tenait à manifester sa différence devant ses auxiliaires complices. Elle voulait m’administrer une correction qui se devait de surpasser les deux punitions précédentes.
En effet, il n’y eut donc, pas de préambule, ni de mise en chauffe pour l’exécutrice, qui était visiblement bien rodée à l’exercice.
J’avais l’impression d’avoir repoussé, au maximum, mes limites, lors de l’épreuve précédente. Cependant, je constatai que Maîtresse Sybille était en train de repousser mes limites, avec force et énergie.
Elle était, en train, de se déchainer. Ses amies, jeunes dominatrices novices dans cet exercice, ne purent s’empêcher d’exprimer un mélange d’admiration et de stupéfaction.
Les jeunes dominatrices, impressionnées par Maîtresse Sybille
Maîtresse Chloe lâcha la première :
- Oh, Sybille, j’avoue que tu m’épates, on a des cours à prendre!
Une autre enchaîna:
- ah oui, vraiment, ça ne s’improvise pas! On compte sur toi, Sybille, pour nous faire partager tes compétences. J’ai personnellement de plus en plus envie de m’investir dans cette superbe cause qu’est l’asservissement de la gente masculine à notre service.
Au bout des premières dizaines de coups, elle fit une pause. Chaque frappe m’avait fait hurler encore un peu plus. Cette pause me donna l’espoir d’une fin plus rapide que prévue. Je pensai que l’heure de la fin du châtiment était venue et que Maîtresse Sybille avait juste voulu montrer sa patte personnelle pour éblouir ses amies sans trop vouloir s’investir.
Malheureusement, il n’en fut rien. Une nouvelle frappe sur mon fessier, plus douloureuse encore, attesta de mon erreur, et je compris, finalement, la raison de la pause.
Maîtresse Sybille avait extrait de son sac un instrument redoutable qui produisit un effet immédiat. Je commençai à regretter les étapes précédentes. Elle avait décidé de me châtier avec un paddle et c’était donc une nouvelle expérience.
C’était aussi le cas pour les deux spectatrices, visiblement néophytes en la matière. Elles témoignèrent de leur excitation en m’imposant de déclarer:
- merci Maîtresse Sybille de me faire découvrir de nouvelles sensations permettant de mieux ressentir ce que va être ma nouvelle condition à vos pieds!
Explications de Maîtresse Sybille sur le matériel à utiliser pour les punitions
Maîtresse Sybille, visiblement très excitée, leur expliqua, qu’utiliser le bon matériel était indispensable pour exécuter certaines punitions.
Elle aimait utiliser différents outils, selon l’intensité du châtiment, mais aussi selon son humeur du moment.
Ainsi, elle avoua qu’un jour, elle avait décidé d’administrer carrément le fouet à un esclave qui n’avait rien fait de mal mais qu’elle en avait ressenti le besoin, pour son seul plaisir. De plus, elle voulait prouver qu’elle détenait le pouvoir absolu sur cet esclave.
Ces jeunes dominatrices m’avaient posé un bâillon car elles ne supportaient plus mes cris. Ainsi, je ne pouvais plus compter les coups.
Finalement, la (trop) zélée Maîtresse Chloe, crut bon de m’infliger une future punition à écrire « je dois apprendre à remercier mes Maîtresses lorsqu’elles oeuvrent pour mon bien, plutôt que de pleurer comme une gamine mal élevée ».
Maîtresse Chloe précisa:
- J’exige une rédaction soignée, sous forme de devoir. Sinon je te fais copier 200 fois une phrase humiliante d’excuses.
- Bonne idée, ajouta Maîtresse Marie-Sophie, ainsi tu la remettras à chacune de tes Maîtresses, car nous avons été toutes les trois incommodées par ton exécrable attitude de mijaurée. Cependant, Chloé, je te trouve bien gentille. En effet, moi, quand je donnerai des lignes à copier, ça sera au minimum 500.
Ainsi, je compris que j’allais pâtir de la surenchère que pratiquaient systématiquement ces deux jeunes dominatrices, qui voulaient d’éblouir leur amie. Cette dernière s’amusait ouvertement de cette situation.
Terrorisé par l’annonce de Maîtresse Sybille
Maîtresse Sybille finit par intervenir:
- Bien, bien, vous apprenez vite. Alors je pense qu’il serait salutaire pour delphine, demain soir, de se rendre au bar dont je vous ai parlé. Cet établissement est géré par une amie à moi et fréquenté surtout par des filles, et quelques mecs, qui se trouvent être des soumis en fait. Ces dames seront ravies d’assister à cette scène grandiose. Ainsi, elle nous remettra chaque exemplaire de sa punition et devra nous la lire à haute voix pour que tout le monde en profite. Je pense aussi qu’il serait équitable que la patronne ait sa part du gâteau et qu’elle ait droit à son exemplaire. Cela sera une occasion rêvée pour elle, de faire connaissance avec notre nouvelle acquisition. Sans préjuger de sa réaction, je sais d’expérience qu’il y aura forcément des conséquences pour delphine. En effet, entre elle et moi, je ne sais pas laquelle de nous deux est la plus vicieuse.
Maîtresse Sybille constatait avec satisfaction mon regard terrorisé.
Elle continua sur sa lancée avec un ton enjoué:
- Je t’ai dis delphine que je pratiquais avec délectation, l’humiliation publique. En effet, c’est indiscutablement lors de ce genre d’épreuve que la soumise assimile le mieux sa nouvelle condition. Plus on avance dans cette voie, plus le retour en arrière est impossible . D’autant que les rares velléités exprimées trop tardivement, enclenchent des punitions toujours plus sévères, qui finissent par avoir un effet dissuasif irréversible.
Ces paroles avaient pour but de me dissuader de tout mouvement de révolte. Je n’avais aucun doute sur le fait qu’il ne s’agissait pas de simples paroles en l’air.
Les jeunes dominatrices, curieuses et avides de détails sur les instruments punitifs
Les jeunes dominatrices voulurent en savoir plus sur la gamme des instruments punitifs à utiliser.
Maîtresse Sybille leur répondit qu’il n’y avait pas une hiérarchie aussi nette qu’on pourrait le croire. Par exemple, on retrouve, souvent, le fouet au sommet de la liste des instruments de punition. Cependant, il faut savoir qu’il n’existe pas seulement un type de fouet. On peut aussi l’appliquer avec une vigueur variable. De plus, il nécessite plus d’entrainement qu’une simple brosse à cheveux, bien sûr.
Elle considérait comme très redoutable la canne anglaise. Ainsi, cette badine flexible, fermement abattue sur les fessiers, provoquait assez vite des boursouflures douloureuses. C’était, ainsi, pour cette raison, qu’il s’agissait d’un de ces instruments de prédilection.
La canne anglaise avait beaucoup été utilisée dans les pensionnats britanniques traditionnels jusqu’à une période très récente. Ainsi, dans le monde BDSM, la canne anglaise est souvent utilisée lors de jeux de rôle type « écolière soumise /maîtresse d’école ». Ainsi, l’élève soumis qui n’a pas correctement récité sa leçon par exemple, peut recevoir une punition avec une canne anglaise.
Plus de détails sur la canne anglaise
Maîtresse Sybille donna, ensuite, plus de détails sur ses pratiques, avec la canne anglaise :
- Ainsi j’en ai fait usage assez fréquemment et je gradue la sanction en fonction de la note reçue à la fin de l’exercice. Je donne 3 coups par point manquant sous la moyenne; mais si la note est inférieure à 5/20, c’est 5 coups. Croyez-moi, 20 coups de canne, c’est terrible. Précision utile, il va sans dire, que je note très sévèrement et qu’atteindre la moyenne requiert un travail sérieux de préparation. Il y a une mise en condition avec cette tige flexible. Ainsi, on l’agite à côté de la personne qui est punie à plusieurs reprises. On peut entendre le bruit qui accompagne ce geste. Ensuite, on la passe doucement sur la peau, sans frapper! Tout cela contribue à préparer la punie à subir sa sanction. Cette phase préliminaire met le soumis dans un état d’angoisse facilement perceptible. Evidemment, chaque Maîtresse a son approche et ses préférences. Cependant, je voulais quand même vous montrer que même sans grand entrainement, une fessée pouvait s’avérer une punition exemplaire . Je peux vous garantir que l’épreuve de la canne rend un très grand service aux élèves. Ainsi, elles apprennent beaucoup mieux leurs leçons ensuite.
A la disposition de Maîtresse Chloe
Soudainement, Maîtresse Chloe s’agita curieusement.
Elle déclara, un peu gênée, qu’elle avait un besoin pressant.
Maîtresse Sybille alors spontanément se tourna vers moi et dit d’un ton sans réplique :
- delphine , tu vois ce qui te restes à faire?
Maîtresse Chloe, très surprise, demanda :
- oh, Sybille, vraiment, je peux?
- Bien sûr, si tu estimes que cela contribue à ton plaisir. Il est du devoir de ta soumise de se mettre à ta disposition.
Tétanisé, j’arborais un visage suppliant, mais silencieux voulant dire « je vous en prie, pas ça quand même »;
Maîtresse Sybille, ne s’y trompa pas, et menaçante gronda:
- il y a un problème, delphine? Tu n’es pas heureuse de permettre à ta Maîtresse de pouvoir se soulager et lui apporter la jouissance qui lui est due?
Cette dernière estima que je ne répondais pas assez vite et qu’il s’agissait d’un affront. Maîtresse Chloe comprit le message.
La nouvelle sentence tomba:
- Puisque tu es si enthousiaste, tu me lécheras mon cul, après t’être acquittée de ton devoir, et avec ferveur, je te prie de me croire.
Humiliation suprême pour moi
Son regard foudroyant finit par me convaincre.
Il s’agissait de l’humiliation suprême pour moi. Maîtresse Sybille, en mode doucereux, feignit de compatir à ma situation:
- voyons delphine, il y a un début à tout. Quand tu seras recrutée par mon amie, patronne du bar, comme demoiselle pipi, en charge de la maintenance de ses toilettes, tu verras combien c’est gratifiant d’être à la disposition des clientes lorsqu’elles auront leur besoin à satisfaire. D’autant que tu ne seras pas autorisée au moindre gaspillage à moins que tu préfères lécher le sol que tu auras souillé par ton imperfection fautive.
Maîtresse Marie-Sophie, qui ne perdait pas une miette de la scène, dit à son amie:
- Allez Chloe, j’ai hâte de voir la scène, je vais filmer ça sans plus tarder.
La vedette du moment, d’un ton sévère, m’ordonna de me mettre à 4 pattes!
Ensuite, elle se mit sur mon dos et nous prîmes la direction des toilettes. Elle me prodigua quelques claques sur mes fesses, pour accélérer ma cadence.
Pour mieux m’encourager, elle ajouta :
- Tu sais je suis gentille au fond. Je te préviens simplement, que je suis une vraie fontaine et que j’accepterais mal que tu perdes trop de ma précieuse rosée.
Maîtresse Marie-Sophie donna alors le coup de grâce:
- souriez vous êtes filmées!
A suivre
Bonjour Mesdames je trouve que ce monsieur « Delphine » a beaucoup de chance. J’aurai aimé être à sa place . Phil