Lesbiennes Dominatrices et Homme-jouet
Il m’est arrivé une chouette histoire cet été pendant les vacances et j’ai envie de la raconter. Je m’appelle Chloé, je suis une parisienne plutôt mignonne et j’étais descendue dans le Var avec une copine. Copine, en fait Béatrice est plus que ça. Béa est lesbienne. C’est une fille assez grande, sportive, un peu timide. Pour tout dire un peu soumise. C’est ce qui me plait en elle. Moi, je suis bisexuelle et de tendance dominatrice. Je suis mince, un peu plus petite que Béa, ce qui ne m’a pas empêché de la dresser à ma convenance comme une vraie petite chienne.
Nous revenions de la plage en voiture et nous roulions en direction de St Raphaël. Béa était au volant et je me prélassais à côté d’elle. J’avais ouvert ma vitre en grand, calé un pied contre le rétroviseur et je regardais mollement le paysage défiler en jouant avec une paire de menottes. Je crois que je manquais de distraction, j’avais envie de quelque chose qui nous sortirait un peu du train-train des vacances.
Nous n’étions plus très loin de notre destination lorsque j’ai vu un jeune homme qui marchait seul sur le trottoir qui longeait la chaussée. Je ne sais pas pourquoi, j’ai immédiatement eu l’intuition que c’était un homme qu’il nous fallait. Un homme comme lui, pas très grand, mince, jeune. Et seul. Lorsque nous l’avons dépassé, je lui ai jeté un regard appuyé. Il n’était pas vilain. Je me suis dit qu’il fallait tenter le coup. J’ai demandé à Béa de faire demi-tour. Je me rappelle qu’elle m’a regardée comme si j’étais devenue folle. Mais lorsque je me suis mise en colère et que je lui ai ordonné de faire ce que je disais, elle a tout de suite obéi. Elle sait qu’il est préférable de ne pas insister lorsque je me mets en colère. Nous avons donc fait demi-tour, avons redépassé l’objet de ma convoitise dans l’autre sens avant de reprendre le chemin inverse pour revenir à sa hauteur dans la direction voulue. Excitée, j’avais déjà balancé les menottes à l’arrière…
Il a été plutôt surpris lorsque Béa a rangé la voiture le long du trottoir et lorsque je lui ai proposé de le rapprocher de sa destination. Détail marrant, il ne semblait pas rassuré mais il n’arrivait pas à s’empêcher de regarder mon pied contre le rétro. Il a fini par accepter et je lui ai cédé ma place pour m’installer à l’arrière. Béa était renfrognée et ne comprenait pas le but de la manoeuvre. Mon plan était pourtant simple : j’avais envie de jouer avec un homme. J’adore ça, utiliser un homme comme un jouet. Si celui-ci se comportait convenablement, tout irait bien, sinon on l’éjectait. Simple.
Il était sympa. Méfiant, mais sympa. Alors quand il a dit qu’il allait prendre le train pour aller à Juan les pins, je me suis exclamée « quelle coïncidence, c’est là qu’est notre hôtel ! » Tu parles ! Nous étions à Fréjus, mais ça, ça ne le regardait pas. Béa avait renoncé à comprendre. Elle a pris en soupirant la direction de Juan les pins. De l’arrière, je pouvais détailler ma proie à mon aise. Il s’appelait Victor. Drôle de prénom pour un futur vaincu, pour un futur homme-jouet. Je le voyais bien regarder les pieds de Béa subrepticement. C’est que Béa adore être pieds nus. Elle retire presque toujours ses chaussures pour conduire, surtout quand il fait chaud. Pour m’amuser, je lui ai demandé pourquoi il regardait les pieds de ma copine. Il a rougi violemment et a donné une excuse bidon du style « c’est pas courant de conduire comme ça ». Béa a haussé les épaules tandis que je continuais à me moquer en lui demandant si il trouvait qu’elle avait de jolis pieds. Il était un peu gêné par mon insistance, mais a admis que oui. Du coup, j’ai carrément levé une jambe et posé mon talon sur le dossier de son siège, mettant mon pied à côté de l’appui-tête. Je lui ai demandé s’il aimait aussi mon pied. Ah il fallait voir ça ! Il ne savait plus où se mettre ! Il n’osait même plus tourner la tête pour me répondre, sachant qu’il aurait mon pied en pleine figure s’il le faisait… Je l’ai titillé encore un peu et puis j’ai retiré mon pied. Il a eu l’air soulagé.
Nous nous sommes remis à discuter de choses et d’autres, de banalités. Béa faisait toujours la gueule et répondait du bout des lèvres lorsque nous nous adressions à elle, mais ce n’était pas grave. Mon petit Victor a eu très peur lorsqu’il a senti la lame de mon couteau contre sa gorge. De l’autre main, j’avais empoigné ses beaux cheveux pour l’empêcher de se défendre, alors il est resté bien sage, comme je le lui demandais. Il devait vraiment avoir la trouille, normal. Les mecs n’ont pas l’habitude d’être traités ainsi. Béa au contraire semblait au contraire beaucoup apprécier ce retournement de situation. Elle devait craindre que je ne la délaisse. Voyant que mon intention n’était pas de draguer mais plutôt de maltraiter un homme, elle devint instantanément plus coopérative. Pour ne pas attirer l’attention, elle choisit toute seule de quitter la route principale et sa bonne connaissance du secteur (elle est de Cannes) fit le reste. Nous nous sommes arrêtés dans une zone tranquille, dissimulée aux regards par une végétation assez dense.
Victor se tenait très tranquille. J’avais promis de ne pas le saigner comme un cochon s’il se montrait coopératif. Béa est descendue de la voiture et a récupéré les menottes pendant que je tenais mon petit mâle en respect. Elle lui a immobilisé les mains dans le dos, puis a insisté pour le baillonner. Maligne… avec quoi ? Le gentil petit Victor s’est ainsi retrouvé avec la petite culotte de ma copine enfoncée dans la bouche, avec la promesse d’une ablation des couilles s’il s’avisait de la recracher. Ensuite, Béa l’a tiré de la voiture par les cheveux et l’a envoyé s’étaler la tête la première dans la poussière.
A ce stade, j’étais déjà tout humide d’excitation. J’adore maltraiter un homme, le savoir à ma merci. Je suis sortie de la voiture sans même remettre mes chaussures et je me suis approchée de mon petit Victor qui tentait de se redresser en gémissant. Avec les mains attachées dans le dos, ce n’était déjà pas facile. Avec mon pied sur sa nuque encore moins. J’ai appuyé sur sa nuque et il s’est allongé face contre terre. Je le maintenais bien avec mon pied et je me moquais de lui faisant mine de relâcher ma pression pour mieux l’écraser à nouveau chaque fois qu’il tentait de bouger. Béa regardait la scène en souriant. Les hommes, c’est pas son truc, sauf s’il s’agit de leur taper dessus. Comme je ne voulais pas être la seule à m’amuser, je l’ai invitée à venir profiter de l’occasion… Elle ne s’est pas faite prier. Elle a commencé à frapper mon Victor à coups de pieds tandis que je continuais à lui écraser la tête contre le sol. Béa frappait de bon coeur, du plat du pied et du talon et semblait apprécier les soubresauts et les cris étouffés de notre victime. Nous nous sommes ensuite soutenues mutuellement pour le piétiner, chacune son tour. J’éprouve toujours un plaisir intense à sentir le corps d’un homme sous mes pieds nus, marcher sur lui à ma guise, savoir qu’il souffre pendant que je m’éclate… C’était bon. Aidée par Béa, je l’ai foulé aux pieds comme du raisin. Je sentais ses muscles rouler sous la plante de mes pieds, je l’entendais gémir et râler. Je me suis tenue debout sur sa tête, les pieds joints, et j’ai embrassé Béa à pleine bouche pendant qu’il souffrait le martyre sous la pression de mes pieds…
Nous l’avons ensuite aidé à se mettre à genoux en le tirant par les cheveux. Béa le tenait par derrière et j’ai pu ainsi lui donner quelques bons coups de pied dans le ventre sans qu’il puisse se mettre en boule. Il faisait des bruits comiques avec la culotte de Béa dans la bouche. Quand elle a lâché ses cheveux, il s’est effondré comme un sac à ses pieds. Elle a posé un pied sur sa tête et a levé les bras en signe de victoire. J’ai trouvé ça drôle, alors je suis allée récupérer l’appareil photo et nous nous sommes amusées à prendre des poses. J’ai aussi pris un gros plan du pied de Béa écrasant la tête de Victor : c’était marrant, il avait le visage tout déformé par la pression, les yeux fermés et la mâchoire toute crispée. Je lui ai demandé un sourire pour la photo et j’ai pris un cliché très réussi.
Nous avons laissé notre défouloir récupérer un instant, le temps d’une cigarette et nous avons repris le carnage. J’avais envie de gifler cette petite lavette à tour de bras. Au bout de quelques gifles, j’avais la main en feu. Je suis retournée dans la voiture chercher une de mes sandales et j’ai continué la correction ainsi. Wow, ça claquait bien et c’était nettement moins douloureux. Pour moi bien sur, parce que le Victor avait le visage rouge comme une tomate et avait des larmes plein les yeux. Je m’amusais à lui poser des questions auxquelles il ne pouvait pas répondre à cause de la culotte dans sa bouche. Je faisais mine de croire qu’il avait mal répondu et pan, la semelle de ma sandale claquait sur sa joue ! Un vrai délice.
Finalement, j’ai estimé que le petit tas humain qui sanglotait dans la poussière avait eu son compte. Béa aussi était satisfaite. Je me suis accroupie près de lui et lui ai retiré la culotte de la bouche… beuh, elle était gluante de salive. Le premier mot qu’il a prononcé a été « pitié ». C’est drôle, il aurait pu nous insulter, nous menacer… Eh bien non ! il nous suppliait. Je me suis relevée. Il continuait à me supplier d’arrêter de le battre. Quel spectacle réjouissant, un homme vaincu, se traînant à mes pieds dans la poussière en implorant ma pitié. Béa proposa alors qu’on lui pisse dessus, mais je n’étais pas emballée : on n’aurait plus rien pu faire de lui après. C’est à cet instant que j’ai pris conscience de la saleté de mes pieds. Ils étaient couverts de poussière, les ongles noircis. J’ai alors décidé d’essayer un truc nouveau avec lui. Béa me lèche souvent les pieds, mais jamais lorsqu’ils sont si sales. Alors comme mon petit Victor pleurnichait qu’il ferait tout ce que je voulais (que j’aime entendre ça dans la bouche d’un homme !), j’ai décidé de me montrer magnanime, expliquant au petit tas servile qui rampait devant moi que je renoncerais à le torturer davantage s’il se montrait capable de me lécher les pieds jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement propres. J’ai regardé Béa. Elle avait un sourire jusqu’au oreilles.
Brave petit Victor, il a léché mes pieds comme un gentil petit toutou. Je ne faisais pourtant rien pour lui simplifier la tâche. Béa et moi nous étions réinstallées dans la voiture pour écouter la radio, le temps que notre esclave s’acquitte de sa mission. Ma portière était ouverte, il était agenouillé dans la poussière, les mains toujours attachées et devait suivre chaque mouvement de mes pieds pour mener sa tâche à bien. C’était amusant de le voir se contorsionner pour continuer à lécher les pieds que j’éloignais progressivement de sa langue… Lorsque j’ai été satisfaite, je lui ai accordé le privilège de me baiser les pieds et de me remercier de lui avoir montré sa vraie place dans la société, en tant que représentant du véritable sexe faible. Il a dû ensuite nettoyer les pieds de Béa. Pour rien d’ailleurs car à peine avait-il fini de lécher un pied qu’elle le refrottait dans la poussière en l’accusant d’être un bon à rien… Finalement, à force de lécher la crasse de nos pieds, il a du finir par avoir la langue tellement sèche que Béa s’est énervée. Elle lui a ordonné de se redresser, et l’a renvoyé au tapis d’un coup de pied en pleine figure !
J’ai estimé que nous nous étions sufisament diverties, il était temps de rentrer. J’ai pris la clé des menottes dans la boite à gants et appelé mon brave petit Victor pour qu’il la regarde. Comme il ne pouvait pas faire le beau, je lui ai ordonné de tirer la langue comme un chien s’il voulait que je lui laisse cette clé. Il a obéi. Sa langue était toute sale. J’ai ressenti un frisson de fierté en pensant à tout ce que j’avais fait subir à ce garçon qui ne m’avait rien fait, pour mon seul plaisir. J’ai pensé un instant redescendre de voiture pour lui donner un dernier coup de pied dans le ventre (j’adore ça), mais je ne voulais pas me salir les pieds de nouveau, maintenant qu’ils étaient tout propres… Je m’apprêtais à lancer la clé par la fenêtre, mais Béa m’a arrêtée. Elle m’a demandé si j’avais encore besoin de lui, « parce qu’il y a avait deux ou trois trucs dont elle avait encore envie… » Pas de problèmes. Béa a eu un sourire mauvais. Elle a pris la clé des menottes et elle est sortie de la voiture. Elle a remis Victor sur pieds en le tirant par les cheveux et l’a forcé à la suivre derrière un buisson. J’ai coupé la musique et j’ai tendu l’oreille. J’ai entendu un bref cri de douleur suivi de gémissements lancinants et j’ai entendu Béa rire méchamment. Ensuite, plus rien. Au bout de quelques minutes, Béa est revenue avec les menottes, radieuse. Elle m’a dit qu’on pouvait y aller, mais a d’abord refusé de me dire ce qui s’était passé derrière le buisson. Finalement, devant mon insistance, elle a souri et m’a juste dit qu’elle avait eu une envie pressante…