Mise en place de quelques règles par ma formatrice dominatrice
J’avais eu droit à cette première traite stimulée, je dis première, car ce ne fut pas la seule, bien au contraire. En effet, je la subissais une fois par semaine. De plus, j’étais exposé par Madame T à ses amis du moment, des connaissances de Madame T qui étaient parfois simplement venus prendre un verre chez Elle. Les visiteurs n’avaient le droit que de regarder et suggérer. Cependant, Madame T, ma dominatrice formatrice, était la seule à me stimuler électriquement.
Depuis cette première traite, une routine quotidienne avait été mise en place par Madame T, afin que je devienne la parfaite soubrette de Maitresse M., ma Dominatrice.
J’avais une petite cellule qui me servait de chambre. Dans cette cellule, j’avais un lit, une douche, une penderie pour ma tenue imposée et une coiffeuse pour me maquiller. Cette cellule était équipée d’une serrure automatique qui ne s’ouvrait que durant deux minutes le matin, à 7h exactement. Je devais alors avant de pouvoir sortir, avoir rangé ma cellule, pris ma douche (dont l’eau n’était pas vraiment chaude) et m’être maquillée et habillée selon les directives de Madame T.
La routine quotidienne pendant ma formation
A 7 h je sortais donc de ma cellule, apprêtée. Ensuite, je me dirigeais vers la cuisine pour préparer le petit déjeuner de Madame T. Jus d’orange pressé, pains frais légèrement toastés et un thé à bonne température étaient les basiques indispensables. Quelquefois, Madame T avait des demandes particulières pour son petit déjeuner.
A 8h, tout devait être prêt, puisque je devais alors venir me mettre à genoux près du lit où dormait Madame T et attendre son réveil.
Sans ordre particulier de sa part, lorsqu’elle claquait des doigt à son réveil, c’était le signe que je devais dans l’ordre :
- Embrasser ses pieds
- Me lever pour aller faire couler son bain
- Aller chercher le plateau de petit déjeuner et lui déposer sur le lit
- M’assurer que son bain était à bonne température
- Me remettre à genoux et lui embrasser les pieds pour lui signifier que tout était fait et que j’attendais les ordres.
Le reste de la journée se passait sans que je ne dise d’autres mots que « Oui Madame » ou « Bien Madame ». Je préparais les repas, servais Madame, débarrassais, rangeais, nettoyais.
Madame trouvait chaque jour une raison de me punir quotidiennement. Je recevais alors, accroché nu, en croix, selon son humeur, coups de cravache ou de badine.
Prêté à des Amies par ma formatrice dominatrice
Madame recevait régulièrement des Amies qui avaient alors autorisation de se servir de moi.
En général, celles-ci utilisaient ma langue entre leurs cuisses en préliminaires, puis venait le gode-ceinture que je devais prendre en bouche avant qu’elles ne me prennent. J’ai eu droit également à des « doublettes », lorsque deux Amies venaient ensembles. Je finissais souvent avec un gode en bouche tandis que la seconde me prenait par derrière.
Il n’y avait que peu de variantes, mis à part quelques contraintes, jeux de pincements, et/ou claques.
De temps en temps, Madame T me faisait allonger nu sur le carrelage, et Elle-même et ses convives se lâchaient en venant uriner sur mon torse et mon visage.
Bien sûr, je devais alors utiliser ma langue afin de nettoyer leur intimité.
Cependant, je devais très vite aller me doucher et me refaire une beauté. Je retouchais mon maquillage et mettais mes habits de soubrette.
Une nouvelle étape dans ma transformation en soubrette
Un midi, alors que je venais de finir la vaisselle, Madame T m’ordonna de venir au salon.
- Tu es devenu un bonne soubrette obéissante, me dit-Elle
- Merci Madame
- J’ai fait le point avec ta Maitresse dominatrice, et nous sommes arrivées à la conclusion que tu étais prête pour l’étape suivante.
- Merci Madame
- Avec mes Amies, nous t’avons préparée pour cela.
- Bien Madame
- Va te faire une beauté, mets toi en valeur, nous avons de la visite dans vingt minutes
- Bien Madame
Je filai dans ma cellule prendre une douche rapide. Puis, je me maquillai et enfin, j’enfilai la tenue la plus sexy que j’avais, sans oublier le talons qui cambraient encore plus mes reins.
J’étais prête et apprêtée.
J’allais dans l’entrée attendre la visite, comme me l’avait ordonné Madame T.
Arrivée d’un homme
Quelques minutes plus tard, la sonnette retentit. J’ouvris alors la porte à un homme d’une certaine prestance. Je m’effaçai pour le faire rentrer puis je l’accompagnais au salon vers Madame T.
- C’est elle?, lui demanda-t-il.
- C’est bien elle, répondit Madame.
Puis, s’adressant à moi :
- A genoux, mais dans le dos et plus un geste!
Je m’exécutai immédiatement.
L’homme s’approcha de moi. J’avais les yeux baissés, comme il était d’usage, lorsque j’étais dans cette position. Je voyais ses chaussures puis je sentis qu’il posait sa main sur ma tête.
Je vis son pantalon tomber sur ses chevilles. Il écarta mes lèvres d’une main puis son sexe vint se glisser dans ma bouche.
Au service d’un homme
La sensation était bien différente des gode-ceintures que j’avais l’habitude de prendre en bouche. Son sexe était chaud. Je sentais palpiter les veines alors qu’il grossissais entre mes lèvres.
Je me surpris à être plus délicat avec ma langue. Ainsi, je titillais ce gland puis prenais la verge à pleine bouche.
J’entendis alors Madame T me dire :
- Tu vois que tu es prête !
L’homme prit ma tête avec ses deux mains et il fit des va-et-vient dans ma bouche.
Je l’aspirai, que dis-je, je le pompai tellement j’étais excitée.
- Une vraie petite chienne en chaleur, dit Madame T.
Au bout de quelques instant, l’homme s’enfonça dans ma bouche. Pendant qu’il maintenait mes lèvres collées à son pubis, je sentis le sperme chaud couler dans ma bouche alors qu’il se libérait dans un râle.
- Avale !, ordonna Madame T
J’obéis immédiatement. Alors qu’il se retirait doucement de ma bouche, je pris l’initiative de bien le lécher et de l’aspirer pour nettoyer cette verge qui venait de « dépuceler » ma bouche.
- Tu as aimé ca, petite chienne, tu en redemandes… » me dit Madame T qui avait bien profité du spectacle. Ne tant fais pas, ce n’est qu’un commencement ! Maintenant, raccompagne notre invité!
L’homme s’était rhabillé. Il remercia Madame T, puis je l’accompagnai jusque la porte que je refermais derrière lui.
