Une charmante dominatrice et son ex-professeur (5)

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Une charmante dominatrice et son ex-professeur (4)

Le week-end suivant !

Ma Maîtresse dominatrice m’appela le vendredi pour que je vienne la servir dès la fin de la journée et pour tout le week-end !

Quelle joie pour moi mais quelle appréhension aussi !…

Désormais, nous avion un rituel. Lorsque je sonnais, Maîtresse m’ouvrait la porte. Ensuite, j’allais dans la salle de bain pour me déshabiller et la rejoindre, nu à quatre pattes.

charmante dominatrice

 

Ce jour-là, lorsque je la rejoignis, elle mangeait des tapas qu’elle cracha par terre pour me nourrir. Cependant, elle en mit aussi dans le creux de sa main qu’elle me tendit. Manger dans sa jolie main était vraiment, un acte intime. Je me sentais, encore plus, comme un animal domestique, à sa merci, tributaire de sa bonne volonté, même pour me nourrir!

Je sentis sa peau lorsque je passai ma langue dans sa main douce. C’était si bon d’être son chien! Ensuite,  elle s’allongea dans le canapé pour que je la lèche. C’était probablement le moment que j’appréciais le plus. Une dizaine de minutes plus tard, elle me repoussa et me demanda de me mettre à quatre pattes.

Elle enleva sa chaussure et son bas, lubrifia son orteil et commença à jouer avec mon anus. Elle prit plaisir à l’enfoncer un peu, puis un peu plus, à le bouger, à faire quelques va-et-vient, et à m’entendre gémir.

Encore une situation qui me faisait sentir comme un moins que rien!

Record battu de coups de martinet!

Enfin, elle m’attacha pour me fouetter.  Ce jour-là, ma Maîtresse dominatrice battit son record, certes en plusieurs mini-séances, dans la même soirée. Je reçus, exactement, 600 coups de martinet! J’ai recompté, ensuite, chez moi en regardant la vidéo !

Après avoir enduré tous ces coups, j’étais, littéralement, épuisé! De plus, bien que mon dos me brûlait en m’allongeant sous le siège-WC, Maîtresse n’eut aucun pitié et déféqua dans ma bouche. Elle prenait beaucoup de plaisir à déféquer dans ma bouche, et , aussi, à m’en faire manger un peu !

Mais ce soir-là, Maîtresse Elsa déborda de perversité !

Après être allée « aux toilettes dans ma bouche », elle en avait retiré le contenu et l’avait gardé dans une assiette. Ainsi, j’avais été surpris de la voir partir dans la chambre avec cette assiette.

Cependant, j’en compris très vite la raison lorsqu’elle tourna le dos au miroir, se pencha et étala des morceaux dans la raie de ses fesses.

  • J’ai adoré me salir devant le miroir, tout en m’imaginant à ta place, découvrant l’ampleur de la tâche, tout ce que tu allais devoir lécher, nettoyer… Allez, au travail !

J’étais terrifié! Avaler des morceaux était déjà très compliqué même si, avant de le vivre, j’imaginais ça absolument infaisable ! Cependant, nettoyer me semblait encore pire car je ne pouvais pas seulement avaler, je devais vraiment le récupérer en appuyant avec ma langue, et le goûter, le manger…

En train de m’habituer à ces jeux scatos!

Cependant, je fis mon devoir et léchai toutes les traces brunes et épaisses que ma Maîtresse dominatrice avait volontairement étalées.
Dès que ce fit propre, elle retourna en prendre dans la fameuse assiette pour s’en étaler une couche supplémentaire.

Je léchai de toutes mes forces en gémissant, en m’accommodant des petits morceaux qui jonchaient son anus. Je voyais dans ses yeux qu’elle jubilait. Parfois, je poussais le masochisme à la regarder dans les yeux et à secouer la tête positivement pour lui faire comprendre que j’en redemandais, ce qui la rendait folle d’excitation !

A mon plus grand étonnement, je m’habituais à ces jeux scatos! Je dois même confesser que, seul chez moi, j’y repensais avec une grande excitation!

La fin de soirée arriva très vite. douche, ma Maîtresse se coucha dans son lit, et moi par terre à ses côtés. Il ne se passa rien de plus. La séance « nettoyage » nous avait épuisés !

Utilisé comme un tapis par ma Maîtresse dominatrice

Le lendemain matin, je dûs servir de tapis à ma Maîtresse dominatrice. Allongé sur le ventre, elle posa ses pieds sur mon dos et mes fesses pour déguster son petit-déjeuner! Sentir ses pieds sur moi me rappelle ma condition d’esclave, je n’étais rien pour elle.

La journée du samedi fut assez tranquile. En effet, Maîtresse devait travailler pour ses études et j’étais attaché dans un coin, sans qu’elle ne me prête la moindre attention.

Il lui arrivait parfois de venir me chercher pour me conduire sous la table où elle travaillait afin que je lui serve de paillasson, ou que je lèche un petit peu ses pieds, pour être rapidement reconduit dans mon coin!

La soirée fut très simple, Maîtresse mangea, puis elle regarda la télévision. J’étais couché à ses pieds, par terre, immobile mais prêt à l’emploi.

J’étais son animal de compagnie. Ma soumission s’inscrivait dans un quotidien naturel qui supposait qu’on ne s’occupe pas tout le temps de moi, et c’était bien ainsi!

Puis elle se leva et alla chercher quelque chose dans la cuisine et dans les toilettes. Elle revint en me disant :

  • Quelque chose pour moi, et quelque chose pour toi!

Une petite assiette de saumon pour elle avec une coupe de champagne, et une petite crotte à même le sol pour moi :

  • Allez, déguste ! Et souviens-toi d’où ça vient !

 

En train de « bouffer » la merde de mon ex-étudiante!

Effectivement, je ne pouvais oublier que cela venait des jolies fesses de ma belle Maîtresse, et je devais m’appliquer.

Le contraste était tellement saisissant : les jambes croisées, elle dégustait sa coupe avec cette supériorité et beauté féminine qui me donnaient l’impression de rétrécir… et me regardait prendre sa crotte entre mes lèvres, dans ma bouche…

  • Hum, si on m’avait dit il y a 7 ans qu’un prof boufferait ma merde, j’aurais éclaté de rire ! Qu’en penses-tu mon mon petit soumis ?

 

  • C’est vrai Maîtresse, dis-je, honteux.

Même si le morceau n’était pas gros, cela reste quelque chose de difficile à faire et je pris pas mal de temps pour y parvenir.

  • Je suis sensible à tes efforts et à tes progrès! Dans mes rêves les plus fous, j’aimerais qu’un jour, si nous prenions la route des vacances ensemble et que je ressente l’envie de me soulager, tu puisses arrêter la voiture quelque part dans la campagne, ouvrir la bouche et manger tout d’un seul coup…

 

  • Oui Maîtresse!

 

Ma réponse fut automatique. En fait, je ne m’en sentais absolument pas capable.

Nous allâmes nous coucher.

 

Congédié, à la fin du week-end, par ma nouvelle Maîtresse

Le lendemain matin, ma Maîtresse eut encore envie du pire pour moi, probablement excitée par les pratiques scatos de la veille.

Contre toute attente, elle partit aux toilettes et revint avec l’assiette pleine.

Ensuite, elle alla chercher ses attache-poignets, ainsi que des attache-chevilles et des cordes. Elle m’attacha sur son lit, sur le dos, et j’attendis la suite.

Je la vis prendre une partie du contenu de l’assiette et se l’étaler dans sa raie une fois de plus. Puis elle vint sur le lit, à califourchon sur mon visage, son regard vers mes pieds. Enfin, elle s’assit sur mon visage, appuyant volontairement ses fesses, frottant sa raie salie et son anus noirci sur mon nez, ma bouche.

Elle remuait son bassin de l’avant vers l’arrière et inversement.

Je l’entendis dire:

  • humm, c’est comme monter un cheval !

Mon visage était maculé de ses matières, et sous le poids de son corps je peinais à respirer. Cela dura un bon moment car elle y prenait un réel plaisir, se salissant deux autres fois.

Ensuite, elle se retira :

  • Quelle expérience ! Quelles sensations! J’ai adoré !

Maîtresse partit se laver, puis je fus autorisé à me rendre dans la salle de bain pour me laver également. Je fus placé sous le siège-toilettes et une partie de la journée se passa ainsi : pas de nourriture, aucune possibilité de manger, boire ou aller aux toilettes.

Maîtresse devait travailler pour ses études. De temps en temps, elle venait s’asseoir sur le siège- toilettes pour se soulager. Je restais immobile, ouvrais la bouche et buvais puis elle repartait étudier.

Au cours de la journée, Maîtresse reçut plusieurs appels téléphoniques qui la mirent de bonne humeur.

Elle me libéra tout à coup :

  • Allez, rhabille toi et rentre chez toi! La prochaine fois, tu devras me prouver que tu m’appartiens et tu devras me rendre fière de t’avoir pour soumis, pas seulement de toi à moi.

Cette déclaration mystérieuse me fit cogiter pendant deux semaines, car la semaine suivante, je n’eus aucune nouvelle de ma Maîtresse dominatrice.

 

A suivre

 

 

 

 

 

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