Ma nouvelle Dominatrice, Ma voisine lesbienne (5)

| |

Ma voisine lesbienne, ma nouvelle Maîtresse dominatrice (4)

Ma nouvelle Dominatrice vient de me demander si j’étais prêt à tout accepter sous ses ordres. Sans même prendre le temps de réfléchir, je lui réponds que oui. Je suis à la fois terrifié et terriblement excité.

Son mince sourire a de quoi m’inquiéter toutefois. De plus, je dois constamment me souvenir qu’elle déteste les hommes et que sa préférence va aux femmes. La petite blonde boulotte ligotée sur le lit devant moi, jambes écartées et là pour me le rappeler.

Obligé de m’occuper de la soumise de ma Dominatrice

dominatrice

 

Madame me libère de mon banc et me passe une camisole en cuir. Je me retrouve avec les bras attachés dans le dos. Ensuite, elle me passe un collier pour me trainer en laisse. Je me laisse évidemment faire. Le goût de la soumise est encore sur ma langue. Ma Dominatrice place un tabouret entre les jambes de sa prisonnière et m’invite du menton à m’asseoir dessus.

  • Tu vas la lécher en profondeur, m’ordonne-t-elle. Je veux que ta langue entre le plus possible dans sa chatte sans jamais t’arrêter, quoi que je fasse c’est compris ? Allez au travail.

Pour me faciliter la tâche, madame pose des pinces sur les grosses lèvres de la petite blonde, reliées à des chainettes. Elle rattache ces dernières à la base du lit de manière à les écarteler au maximum, maintenant ainsi le sexe de sa victime exagérément ouvert.

Une fois cela fait, je me penche en avant et entreprends mon travail de léchage de manière consciencieuse. Je laboure les chairs roses, puis je titille, de temps à autre, son clitoris tout gonflé. La prisonnière devant moi a beau avoir intensément joui quelques minutes auparavant, elle ne tarde pas à gémir de nouveau, remuant son bassin au rythme de mes coups de langue.

La soumise fouettée par Madame!

Cela ne semble plus du tout la gêner que je sois un homme. Sans cesser mon cunnilingus appliqué, j’observe du coin de l’œil madame lier la base des gros seins de la blonde à l’aide d’une corde, assez serré. Sa poitrine prend un volume assez spectaculaire tout en devenant rapidement cramoisi.

Et voilà que ma Dominatrice prend un fouet à neuf lanières et commence à flageller vigoureusement la chair tendre. Elle y prend un plaisir évident dans de grands gestes amples, ne retenant nullement ses coups. Les lanières claquent, les seins tressautent et la prisonnière sursaute à chaque fois en gémissant dans son bâillon.

J’ai droit pour ma part à un violent coup de bassin sous le menton mais conformément aux ordres de madame, je ne m’arrête pas. Elle tient manifestement à ce que sa victime ressente autant de plaisir que de souffrance. Alors je m’applique, une seconde avant que le coup ne se s’abatte, je gratifie le clitoris de la victime d’un coup de langue.

Très vite, le sexe que j’explore se mouille de nouveau, abondamment. Cette fille est une vraie maso. En fait, elle crie dans son bâillon boule certes mais elle semble de nouveau prendre le chemin d’un orgasme ravageur.

Il faut que je me tienne prêt car je serais aux première loges.

  • Qu’en penses-tu, me demande Madame, essoufflée par tant d’effort ?

D’où je suis, je peux voir les stries légèrement violacées sur les seins de la petite blonde, seins qui tressautent à chaque coup vicieux.

  • Penses-tu pouvoir endurer le même traitement ?

Je ne comprends pas.

  • Depuis longtemps j’ai très envie de fouetter les couilles d’un homme de cette façon, ce serait une belle preuve de ta soumission tu ne crois pas ?

Je suis terrifié, je ne suis pas du tout certain d’être maso à ce point. Soumis oui, prêt aux pires tâches dégradantes, à dormir aux pieds de ma Dominatrice, à être enfermé dans une cage ou un placard, avaler n’importe quoi mais ça…

Elle s’arrête, épuisée et m’accorde un mauvais sourire.

  • Alors?

Je ne sais quoi répondre, je ne veux pas mentir ni la contrarier.

  • Imagine que ce sont tes couilles, dit-elle.

Petit rappel de mes devoirs en tant que soumis

Et la voilà qui abandonne son fouet, empoigne les seins de sa prisonnière pour les tordre et les malaxer sans aucune douceur. La blonde gigote sur le lit en couinant.

  • Ton devoir sera d’assurer l’entretien de mon appartement mais également de me servir de « défouloir ». Tu ne peux pas imaginer ce que j’endure au travail. Il y a des idiotes comme elle qui m’exaspèrent mais ce n’est rien comparé à ma hiérarchie. Ce ne sont que des hommes suffisants qui m’épuisent par leur bêtise. Tu leur ressembles sur bien des points, ce sera un plaisir de te faire souffrir. Je vois que ça ne t’enchante guère. J’aime bien l’idée d’avoir un jouet, disons que l’on va procéder par paliers d’accord ? La flagellation des couilles, c’est un peu extrême je te l’accorde. Ce sera ton châtiment si tu refuses de m’obéir, ce qui veut dire que tu auras l’obligation d’accepter tout le reste. Me servir de WC par exemple ou de papier toilette, pour moi, pour mes invités, pour mes esclaves comme elle. De subir toutes les expériences tordues qui me passent par la tête et j’ai l’esprit particulièrement tordu, surtout quand je rentre du travail énervée. Tu viens d’accepter d’être à mon service, tu es toujours d’accord ?

Abnégation totale

Elle ne me laisse même pas le temps de répondre et poursuit:

  • Parce que mon seul intérêt pour toi, c’est que tu sois mon souffre-douleur. Parfois comme aujourd’hui, tu peux aussi être mon assistant quand je travaille mes petites esclaves. Lorsque je rentre le soir du travail, je veux que tu sois chez toi quand je sonnerais à la porte. Pas d’absence ou d’excuses bidons, désormais tu vivras pour moi. Tu seras constamment sous cage de chasteté et tes week-ends me seront réservés même si tu en passeras de nombreux ligoté dans un placard sans voir le jour. C’est compris ?
  • Oui maitresse.

 

  • Très bien, nous verrons si tu tiens paroles, au moindre manquement tu seras banni ou tu accepteras d’offrir tes couilles à ma cravache.
  • Oui maitresse. Dois-je continuer à lécher maitresse ?

 

  • Elle a suffisamment joui pour aujourd’hui, nettoie-lui plutôt son petit trou avec la même énergie. Je veux que son cul soit nickel, je vais bientôt m’en occuper.

Je m’exécute sans tarder, plongeant dans les abîmes de la petite blonde avec enthousiasme en évitant de prêter attention à ce que ma langue rencontre.

De l’abnégation, voilà ce dont je dois faire preuve. Un jour je ferais de même à ma Maîtresse, la promesse d’avoir enfin droit à ce privilège me donne du cœur à l’ouvrage, ce qui semble terriblement satisfaire la prisonnière ligotée devant moi.

Previous

Gynarchie : Exploration d’un Pouvoir Consensuel (1)

Gynarchie : Exploration d’un Pouvoir Consensuel (2)

Next

1 réflexion au sujet de « Ma nouvelle Dominatrice, Ma voisine lesbienne (5) »

Laisser un commentaire

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

 

Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …