Maîtresse Patricia, dominatrice sévère

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Bonjour je m’appelle James et j’ai trente cinq ans. Je suis gynarchiste dans l’âme, enfin surtout au niveau sexuel, et un peu (beaucoup) fétichiste des pieds féminins. D’aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours été attiré par les femmes « dominatrices » et fasciné par leurs pieds.

Si je fouille dans ma mémoire je crois pouvoir dire que cette attirance s’est développée quand j’etais plus jeune. Ma mère qui suivait une formation rentrait tard le soir. Ainsi, elle avait demandé à Sylvie, une de mes cousines, de venir faire me surveiller. Ma soeur allait chez mes grands parents en sortant de l’école. Nous n’étions pas proches. En effet, je la connaissais à peine. Au début elle m’ignorait un peu.

Un soir de la première semaine alors qu’elle finissait ses devoirs, elle me dit qu’on va jouer au jeu de « la maîtresse et l’esclave ».

  • c’est quoi? Lui demandai je alors.

 

  • bah tu sais Cléopâtre, elle avait des esclaves qui devaient faire tout ce qu’elle demandait. Ainsi, on va dire que c’est moi Cléopâtre!  C’est comme « Jacques a dit » t’as compris?

 

  • Oui

 

  • alors maintenant, je t’ordonne d’aller me chercher un yaourt! allez !: me dit elle d’un ton directif et d’un geste du doigt désignant la cuisine.

Lorsque je lui apporte le yaourt, elle m’explique le reste des règles. Ainsi, quand elle vient, je dois l’appeler « Maîtresse » pour m’adresser à elle tandis qu’elle m’appellera « esclave ».

Découverte de ma passion pour les pieds et la femme dominatrice!

dominatrice

 

Au bout de quelques jours de « services », elle instaure une nouvelle règle. Après ses devoirs, je devrais lui masser les pieds pendant qu’elle regarde la télévision car cela fait partie des devoirs d’un esclave paraît il.

Je découvris ce jour là que j’avais une passion pour les pieds. En effet, je me rendis compte que j’aimais cette situation.

Si elle n’était pas contente du massage, je devais renifler ses pieds de longues minutes. Elle riait et se moquait de moi mais elle a du finir par comprendre que ça ne me déplaisait pas car un soir, elle s’est mise pieds nus avant de faire ses devoirs et m’a dit que ce soir j’étais prisonnier. Ainsi, je devait rester sous la table à renifler ses pieds jusqu’à ce qu’elle ait fini son travail.

Je prenais vraiment goût à cette situation. De temps en temps, elle m’interpellait :

  • je ne t’entends pas renifler!

Je respirais fort. Elle riait tout en remuant ses pieds. Cela se reproduisit souvent! A force, quand je la voyais arriver, j’espérais être « prisonnier » ce jour-là. Cela dura jusqu’aux vacances de pâques où elle est venue dormir quelques jours chez nous.

Ma soeur était là. On ne jouait plus à « maîtresse et esclave » et Sylvie se comportait comme si de rien n’était avec moi.

Je me rendis compte que « ça » me manquait. J’avais envie de sentir ses pieds.

 

De plus en plus de fantasmes sur les pieds des femmes!…

 

Un matin, je monte dans la chambre de ma soeur dans laquelle Sylvie dormait pour la réveiller à sa demande.

J’entre assez bruyamment mais ça ne la réveille pas. Elle est allongée sous la couette, un de ses pieds dépasse.

Constatant qu’elle ronfle, j’ose! Je me mets doucement à genoux à côté du lit et je commence à sentir son pied. Ensuite, dans un excès de confiance, j’embrasse son pied, en essayant de faire le moins de bruit et de mouvements possibles.

Je ne saurais jamais si elle dormait ou faisait semblant! Quoi qu’il en soit, ma soeur n’a pas fait semblant d’entrer dans la chambre et de me surprendre. Elle m’a engueulé et ma cousine aussi! Le soir, ma soeur l’a dit à mes parents et il ne s’est plus jamais rien passé avec ma cousine par la suite. Elle n’est n’est pas revenue après les vacances car ma mère n’avait plus les mêmes horaires et pouvait rentrer plus tôt.

A partir de cette époque, je commençai à regarder les pieds des femmes avec envie.

 

A la recherche d’une vraie Maîtresse dominatrice!

 

En vacances chez de la famille dans le Var j’ai « flashé » sur Christine, une cousine de ma mère. Elle se promenait souvent seins nus mais le reste du temps elle était toujours bien habillée de la tête aux pieds.

C’était d’ailleurs ces derniers qui retenaient le plus mon attention, de longs ongles vernis presque chaque jour d’une couleur différente et toujours sublimés dans d’innombrables paires de chaussures sexy, en tout cas à mes yeux.

Je crois que j’aurai été prêt à payer pour y poser mes lèvres. Malheureusement, je dûs me contenter d’une paire de bas subtilisée dans son panier à linge le matin de notre départ, après que nous ayons passé, ma soeur et moi même, une soirée avec elle en boite de nuit.

De retour chez moi, je les reniflais en me masturbant pendant plusieurs jours.

Ça peut paraître pathétique mais moi je trouvais ça excitant.

Je n’ai pas trouvé de femme avec laquelle partager mes fantasmes, pourtant, grâce au porno et surtout grâce à Internet, ils s’étaient affinés.

Je rêvais d’une « vraie Maîtresse dominatrice », genre habillée de cuir, en talons haut, avec un fouet, une femme « cruelle » pour être son esclave sexuel, mais autant dire que ça ne court pas les rues.

A une époque, j’avais une « sexfriend ». Nous étions tous les deux en couple de notre côté et étions amants. Nous avions une sexualité assez débridée et je lui avais fait part de quelques fantasmes.

Malheureusement, elle préférait nettement être dominée et nous n’étions pas très crédibles en essayant de combler les attentes de l’autre. Pire, elle trouvait dégoûtant que je veuille lui sentir ou embrasser les pieds et d’ailleurs elle aimait pas qu’on les voient!

Quel dommage, ils étaient tellement beaux!

Consultation des petites annonces

 

Je pus assouvir mes envies sans son avis un soir où on avait pas mal bu.

Elle était dans « le gaz ». Je l’avais déshabillée pour la coucher dans le lit de notre chambre d’hôtel et j’en avais alors profité pour sentir, embrasser, et même, lécher ses pieds, c’était super excitant!

Dommage que ça se soit passé dans ces conditions!

J’ai recommencé autant que faire se peut, à chaque soirée arrosée passée ensemble sans jamais oser lui dire

Un jour, j’ai rencontré la future mère de ma fille et nous avons coupé les ponts.

Ma nouvelle compagne et moi avons d’abord été amis et avons appris à bien nous connaître avant de se mettre en couple.

Le hasard faisant parfois bien les choses, il se trouve qu’elle est très sensible des pieds et que le massage fait partie intégrante de nos préliminaires. Je n’ai, donc, plus besoin de me cacher pour embrasser et lécher des pieds, elle adore ça!

Malgré tout, j’ai toujours envie de plus, d’une vraie relation dominatrice/soumis.

Les années passent. J’ai bientôt trente ans et je parcours, régulièrement, les sites sado-maso. Je consulte les petites annonces pour trouver une « maîtresse » dominatrice. Ainsi, j’échange par mail avec beaucoup de femmes, parfois même des photos mais souvent se sont des amatrices qui cherchent juste à se faire de l’argent facile.

Quant à celles qui ont l’air « réelles », soit elles sont à l’autre bout de la France soit elles exigent des sommes astronomiques sans garantie de passer un bon moment.

Un jour où je discutais de mes envies avec d’autres personnes sur un forum dédié au SM, Rémi, un homme partageant me fantasmes, me dit qu’il connait une prostituée dans Paris qui pratique ce genre de choses.

 

Rendez-vous avec une prostituée à Paris

 

Nous discutons alors en privé. Il me dit qu’elle s’appelle Catherine, qu’elle est blonde, un peu forte et il m’explique où et à quelle heure, je peux la trouver.

Quelques semaines plus tard, profitant d’un rendez vous médical dans Paris, je me décide à aller la voir.

En sortant de mon rendez vous, je visite un peu, et tout en me dirigeant vers son arrondissement, je retire une somme d’argent assez conséquente ne sachant pas du tout ce que ça pourrait me coûter.

Arrivé au lieu et à l’heure indiqués, je ne tarde pas à remarquer une femme correspondant plus ou moins à la description, blonde, pas très grande, plutôt forte, voire grosse par rapport à sa taille, environ la cinquantaine.

Je me dis que ça ne doit pas être elle vu son âge mais je me rappelle alors que l’homme du forum ne m’avait pas donné tant de précisions.

Je décide de passer une première fois devant elle, je la détaille. C’est une belle femme, très maquillée, un genre de fourrure cachant un corset, une jupe très courte, des bas résilles et des chaussures à brides et talons hauts laissant entrevoir les orteils, comme je les aime.

Si ce n’est pas elle, une chose est sûre, c’est qu’elle n’a pas l’air d’attendre ses enfants à la sortie de l’école.

Je fais alors semblant de téléphoner pour repasser plusieurs fois devant elle afin de la regarder mieux, enfin surtout ses pieds, je l’avoue.

Je n’ose pas lui parler, je n’ai jamais fait ça. La seule fois où je suis allé voir une prostituée c’était avec un ami et c’était lui qui était allé la voir pour moi.

En plus les circonstances sont particulières, je ne sais pas comment lui demander ce pourquoi je suis venu.

 

Premier contact timide avec la prostituée

 

Je repasse tellement devant elle en la regardant qu’elle finit par remarquer mon manège. Arrivant pour la énième fois devant elle, toujours « au téléphone, elle me fait signe de son index de venir à elle.

Je me sens tout con. Ainsi, je fais semblant de raccrocher puis je m’approche. Timidement, je lui demande:

  • que voulez vous?

 

  • c’est plutôt toi qui veut quelque chose, il me semble vu comment tu me tournes autour.

J’hésite une seconde avant de répondre, je ne sais pas comment m’y prendre. Enfin, je lui dis:

  • vous êtes Catherine? C’est Rémi sur un forum SM qui m’a conseillé de venir vous voir.

Elle me regarde de la tête aux pieds avant de me dire en tout en mâchant son chewing-gum:

  • ok, je vois le genre, suis moi!

Sans un mot, nous passons sous une porte cochère déboulant sur une petite cour. De chaque côté des petits logements et des escaliers mènent à d’autres logements à l’étage. On dirait un hôtel.

Je la suis dans l’escalier et je sens l’odeur de son parfum. Elle « roule » ses grosses fesses en montant les marches. Je commence à être excité.

Nous entrons dans une toute petite chambre. A peine la porte fermée, elle m’interpelle d’un ton légèrement agacé:

  • bon alors c’est quoi ton truc?uro?scato? Tu veux que je te »baffe »?que je te crache dessus?

 

A genoux devant la prostituée!

 

Autant abasourdi qu’excité, j’allais balbutier quelque chose quand elle poursuit:

  • non toi c’est les pieds qui te font bander mon cochon, t’as pas arrêté de me les mater dans la rue.

Avant que je ne dise quoi que ce soit, elle me désigne le sol devant ses pieds près du lit et m’intime d’un ton ferme:

  • Mets toi à genoux!

Je m’exécute.  J’ai tellement rêvé d’entendre ces mots de la bouche d’une femme!

Elle enlève alors sa fourrure et la pose sur un fauteuil à côté du lit. Ensuite, elle rabat sa chevelure vers l’avant puis, tout en dégrafant son corset, elle me dit sèchement:

  • normalement, je prends soixante euros pour une passe « normale ». Pour ce prix la, je te laisse t’éclater vingt minutes avec mes pieds et si tu veux plus, faudra rajouter. Et je veux l’argent maintenant!

Pendant que je cherche l’argent dans mon portefeuille, elle enlève son corset, dévoilant ainsi une forte poitrine tombante sur un ventre « potelé ».

Je ne crois pas m’être trompé sur son âge mais ça n’a aucune importance, elle m’excite.

Tout en se baissant pour prendre l’argent que je lui tends, elle me crache au visage puis me gifle fortement.

  • ça c’est cadeau : me dit elle d’un air hautain!

Je ne réplique pas, après tout, c’est un peu ce que je suis venu chercher.

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…en extase devant ses pieds!

Me tournant le dos, elle descend sa jupe lentement en remuant les fesses découvrant un aussi gros que magnifique « cul » dans lequel se perd la ficelle de son string, je suis subjugué!

Passant sur le côté du lit, elle m’intime de ne pas bouger pendant qu’elle s’installe. Ensuite, elle place alors les oreillers de sorte à faire dépasser ses pieds du lit en s’allongeant. Je les ai littéralement « sous le nez ».

  • Je te laisse enlever le reste : me dit elle en croisant les jambes.

En farfouillant dans son sac à main pour en sortir son portable, elle ajoute d’un sourire moqueur:

  • à moins que tu sois de ceux qui veulent juste lécher les talons?

La situation est terriblement excitante, pourtant je ne sais pas trop comment commencer.

Timidement, à genoux au pied du lit, je lui embrasse les orteils d’un pied en lui caressant l’autre. Dans le même temps, je la regarde. Elle s’occupe sur son portable en mâchant son chewing-gum.

Sans daigner me regarder, elle me dit d’un ton sec:

  • t’es timide toi! dis donc, enlève mes chaussures!

Voilà ce dont j’avais besoin, des ordres!

Je lui enlève ses chaussures l’une après l’autre avant de les poser délicatement au sol. Les jambes toujours croisées, elle remue lentement ses pieds et ses orteils toujours « enfermés » dans les bas résilles.

Je commence à embrasser le dessous de ses pieds, du talon jusqu’aux orteils tout en les reniflant, mais doucement, comme si par honte, je n’avais pas envie qu’elle s’en rende compte.

L’odeur de ses pieds m’enivre. Les souvenirs avec ma cousine me reviennent mais la c’est bien plus excitant. Je suis à genoux en train d’embrasser et sentir les pieds d’une inconnue, qui plus est que j’ai payé pour! C’est trop bon! J’ai une forte érection.

Massage des pieds!

 

Sans me parler ni me regarder, elle descend chacun de ses bas au niveau des genoux. Je ne me fais pas prier pour lui ôter doucement le premier. Ainsi, je prends soin de ne pas lui retourner comme une vulgaire chaussette. Je découvre son premier pied. Ses orteils sont vernis d’un violet foncé, ce que je ne voyais bien à travers les bas. C’est sexy.

Je dépose quelques baisers sur le dessus de son pied avant d’entreprendre d’enlever le deuxième bas.

Je le descends tout aussi lentement et minutieusement, ça y est, je me retrouve face à ses deux pieds nus, ils sont beaux!

Elle croise, de nouveau, ses jambes tout en se replaçant bien dans les oreillers, toujours sans un regard vers moi.

De nouveau, j’embrasse ses pieds à tour de rôle du talon aux orteils tout reniflant doucement et en les caressant.

D’un coup elle bouge légèrement pour me coller son pied droit sur le visage.

  • tiens! tu sentiras mieux comme ça! : me lance t-elle en daignant me regarder.

Je me sentais un peu honteux qu’elle s’en soit aperçue.

  • Allez renifle! : m’ordonne t-elle alors avant d’ajouter, et t’oublieras pas l’autre pied!

Je suis aux anges! Avec sa « permission », je me délecte de l’odeur de ses pieds, je les couvre de baisers. En fait, j’ai très envie de les lécher mais je n’ose pas!

Je me permets, pendant un moment de lui masser les pieds. Elle ferme un instant les yeux. J’ai l’impression qu’elle apprécie.

Comme pour me contredire, elle m’interpelle:

  • encore cinq minutes!

Je me dis: « merde déjà? »

 

De plus en plus excité par la situation!…

 

Aussi, je décide de me lancer. Je commence à lui lécher les orteils du bout de la langue, puis, comme pour les baisers, je lui lèche le talon en remontant le long d’un pied jusqu’aux orteils. Je fais de même sur l’autre. Ils ont un goût légèrement salé, c’est agréable.

Je suis très excité. Ensuite, je prends ses orteils un à un en bouche pour les enrouler de ma langue.

Toute bonne chose ayant une fin, elle replie ses jambes sur le lit tout en me disant que si je veux plus il faut repasser à la caisse. Elle me propose alors:

  • si tu veux pour vingt de plus, je te branle pendant que tu lèches mes pieds! Pour quarante, je te suce en même temps où alors tu me redonnes soixante pour une pipe, l’amour plus mes pieds!

Je n’avais pas prévu de tromper ma compagne à proprement parler, mais à ce moment là, je suis trop excité.

  • J’ai envie de vous! : lui répondis je tout en sortant soixante euros supplémentaires.

 

  • Ok alors enlève ton froc et mets toi sur le lit tête-bêche! : me dit elle tout en prenant les billets.

Je me déshabille rapidement et je m’allonge sur le lit, la tête près de ses pieds.

Tout en sortant un préservatif de son sac, elle pose ses pieds sans ménagement sur mon visage, enfile le préservatif sur mon sexe et commence à me sucer.

Quel bonheur! J’ai déjà fait ça souvent avec ma compagne mais c’est beaucoup plus excitant avec une inconnue.

Elle me frotte ses deux divins pieds sur le visage tout en me suçant, je me laisse faire, je les embrasse, les lèche, les sens!

…jusqu’à la pénétration!

 

Au bout de quelques minutes(?), elle se replace plus haut sur le lit et enlève son string. Tout en écartant les jambes, elle se frotte le sexe quelques instant avant de me faire signe d’approcher de son index.

Approchant d’elle, je regarde cette femme qui pourrait être ma mère, ses gros seins pendants semblent comme écrasés par la gravité. Je remarque une légère cicatrice de césarienne qui se perd dans une petite toison blonde en « ticket de métro », dommage que ce soit une prostituée car j’ai envie de me jeter à pleine bouche entre ses jambes!

Je me contente de commencer à la pénétrer à la façon du « missionnaire ». Elle ne cherche même pas à faire semblant d’apprécier. Ainsi, elle regarde ailleurs, la tête tournée tout en mâchant son chewing-gum.

Sa grosse poitrine ballotte à chacun de mes « assauts ».

Soudain elle lève ses deux jambes, elle place son pied droit tout contre mon torse et me titille les têtons avec ses orteils tandis qu’elle amène son pied gauche à mon visage toujours sans me regarder.

Pour moi c’est comme si elle m’avait dit: »tiens éclate toi »,mais je pense qu’elle s’est surtout dit que de cette façon je « finirai » plus vite.

Quoi qu’il en soit, je prends son pied et je le maintiens contre mon visage. Ensuite, je le déguste littéralement.

Très vite, l’excitation d’être en elle ajoutée à celle de ses pieds est trop forte et j’éjacule tout en « roulant des pelles » à ses orteils.

A peine ai-je « terminé », qu’elle me demande de me retirer, de jeter le préservatif dans la poubelle, de m’habiller et de partir afin qu’elle se lave.

 

Très satisfait de la prestation de la prostituée!

 

En remettant mes vêtements, je lui dis que j’aimerais revenir la voir.  Tout en se coiffant, elle s’allume une cigarette et me répond sèchement:

 

  • tant que t’as du fric moi je te pisse à la gueule même si ça te fais bander!

J’avoue que ça me tente assez. Néanmoins, je ne réponds pas. Une fois habillé, je me dirige vers la porte. Elle me suit toujours toute nue.

  • bon bah merci et à bientôt : lui dis je en sortant.

Et elle de répondre nonchalamment, avant de refermer la porte à clé derrière moi:

  • ouais ok, à plus tard!

Sur le chemin du retour, je repense à cette petite entrevue. Je suis satisfait, et de la prestation, et de la personne.

J’ai aimé son indifférence. Ainsi, j’aurai même aimé qu’elle me « traite » plus mal que ça.

Je me dit qu’après tout ce n’est pas une « vraie maitresse », juste une prostituée s’adaptant aux fantasmes de ses clients, bref je ne suis pas déçu.

Par contre je me dit que ça va être compliqué de retourner la voir, tant pour trouver un créneau que pour le financement car, l’excitation redescendue, je me rends compte que cette petite folie vient de me coûter cent vingt euros. Je ne pourrai pas me permettre ça souvent.

Arrivé chez moi, j’ai des remords vis à vis de ma compagne mais très vite je repense au plaisir ressenti plus tôt et les remords laissent place à l’envie de recommencer au plus vite.

Ne pouvant pas retourner sur Paris avant un bon moment, je me remets « en chasse » sur les sites spécialisés et les petites annonces.

Petite annonce : »Femme forte, dominatrice… »

 

Mes envies se sont encore un peu plus précisées, depuis ma rencontre avec Catherine. Ainsi, je fantasme sur les femmes fortes. Je me mets alors à regarder des pornos de dominatrices « bbw » et à rechercher des annonces comprenant ce mot clé.

Malheureusement, je ne trouve pas grand chose à part à l’étranger.

Quand un jour, au hasard d’une recherche sur un site de petites annonces, un intitulé attire mon attention: »femme forte, dominatrice à ses heures perdues, cherche homme à dresser ».

Intéressé, je clique sur l’annonce. J’y découvre les photographies d’une grande et forte femme brune, le visage flouté, toute de cuir vêtue, le fouet à la main, en plus de diverses photos de ses pieds, toutes plus belles les unes que les autres.

L’annonce en dessous des photos était dans ce style:

« Je suis une belle et grande femme aux formes généreuses, la quarantaine, je sais pertinemment ce que je veux, des hommes à mes pieds, au propre comme au figuré!

Je ne suis pas une dominatrice « professionnelle », néanmoins je sait être sévère et comment faire obéir un homme voire même une femme.

Je peux te dominer en réel comme en virtuel, alors si tu ressens un besoin de soumission à une femme supérieure, contactes moi esclave!

A très vite à mes pieds.

Maîtresse Patricia »

Contact puis réponse de Patricia, Maîtresse dominatrice!

 

Voilà tout à fait le genre de femme que je recherche depuis tant d’années, le petit plus c’est qu’elle réside dans mon département.

Je la contacte donc immédiatement en me présentant de cette façon: »bonjour maitresse, je m’appelle James et j’ai trente ans.

Je reconnais la supériorité féminine, je rêve d’être sous le joug d’une Maîtresse dominatrice sévère et d’être son esclave. Les photographies de votre annonce sont magnifiques et même si je ne vois pas votre visage, j’ai déjà envie de me jeter à vos pieds.

Quelles sont vos pratiques? »

C’est un peu maladroit mais j’envoie le mail comme ça tout de même.

Trois jours après elle me répond enfin: « salut à toi qui rêve de te jeter à mes pieds.

Saches que je me fous de ton prénom car je ne t’appellerais jamais autrement que esclave.

Et si tu voulais vraiment une Maîtresse dominatrice sévère, tu ne me demanderais pas mes »pratiques » car sache que la Maîtresse dispose de son esclave comme elle l’entend.

Il va donc falloir changer de ton si tu espères ramper un jour à mes pieds!

A bon entendeur. »

 

Très excité par la réponse de cette Maîtresse dominatrice!

 

Rien que sa réponse m’excite, j’ai envie de garder le contact. Je fais donc très attention à mes mots pour lui répondre.

Je lui écris donc à nouveau: »bonjour Maîtresse, je vous prie de me pardonner ma maladresse, je ne m’étais jamais adressé à une dominatrice telle que vous.

Je suis bien conscient que l’esclave n’a rien à demander à sa Maîtresse, je ne sais pas ce qui m’a pris et j’espère sincèrement que vous me pardonnerez. Je garde l’espoir que vous m’autorisiez un jour à me prosterner devant vous.

Je vous prie de croire, Maîtresse, en ma totale soumission.

Esclave. »

Ce à quoi elle me répond le lendemain: »je ne pardonne jamais mes esclaves, il paient leur dette à mon service! »

Nous échangerons par la suite pendant plusieurs semaines par mail. Elle finira par me raconter tout ce qu’elle me fera subir quand « j’aurai les couilles » de me déplacer.

Elle n’est pas vénale, elle aime simplement « humilier et asservir ses esclaves » comme elle me le dira au détour d’une conversation.

Je suis pressé de la rencontrer, reste à trouver le créneau.

À suivre…

 

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