Maîtresse Roxanne

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Maîtresse RoxanneEt oui voila, comment tout a commencé. J’étais jeune étudiant et je le suis encore. À l’époque (trois ans déjà) je venais d’avoir mon bac et pour malheur je ne savais pas encore dans quelle université j’allais aller. C’était pour moi un gros stress, car mes choix étaient tous loin de chez moi, et à de grande distance les uns des autres. Or vous savez tous que trouver un hébergement lorsque l’on est étudiant est déjà une tâche digne d’hercule, mais le trouver en moins de trois mois cela s’avérait, pour moi, une tâche impossible. J’habitais déjà dans la banlieue parisienne mais assez loin de Paris quand même et faire plus de trois heures de trajet par jour étaient incompatible avec les études.

Par chance, un jour, je lus une annonce où il y avait écrit « appartement au cinquième étage, élégant avec belle vue au cœur de paris. Loyers négociables avec la propriétaire. « . Cette annonce sonnait comme un miracle pour moi. Elle était près de ma fac. J’appelais donc la propriétaire pour pouvoir avoir un rendez-vous et je priais pour que celui-ci ne soit pris.

J’entendis une voix douce et sensuelle au bout du téléphone, mais avec une certaine autorité qui me laissait de marbre. Après lui avoir expliqué ma recherche et mes besoins, elle me fixa un rendez-vous.

Viens samedi à 11 h et ne sois pas en retard j’ai d’autres personnes et je n’ai pas envie de perdre mon temps avec toi si tu n es pas intéressé : me dit elle d un ton sec.

Je la rassurais en lui disant que je serais là à l’heure.

Samedi était venu, j’étais déjà sur place 30 minutes à l’avance. Bien habillé, chemise, pantalon, rasé, parfum, bref tout pour faire bonne impression. 11 h arrivait puis 11h30, toujours personne. L’inquiétude me saisit, je pensais déjà que l’appartement était loué à quelqu’un d’autre. Midi sonna, je me résignais à partir lorsque je vis une femme d’une trentaine d’années, avec une jolie robe, un vernis rouge écarlates et des petites sandalettes. Il faisait chaud en cette fin du mois d’août. Elle arriva à ma hauteur et me dit

C’est toi le jeune étudiant qui vient pour la visite?  oui, dis je en bredouillant.

Sa beauté était saisissante, ses yeux verts avec sa chevelure blonde la rendait radieuse. Elle me paraissait comme un ange venu me sauver.

je m’appelle Roxane et toi? , Marc dit je timidement.

En montant les escaliers, je ne pus m’empêcher de regarder ses fesses se dandiner sous sa robe. arrive en haut, elle me fit rentrer. C’était un très bel appartement, moderne, contemporain. les meubles étaient blanc nacrés, la lumière se propageait à l’intérieur. Il y avait dès l’entrée une grande pièce à vivre avec une cuisine ouverte. Au fond une salle d’eau assez spacieuse où on pouvait bouger sans trop de soucis. Fait d’un seul tenant comme les salles de bain japonais. Un petit vestibule à l’entrée pour pouvoir déposer ses affaires. Les toilettes, le lavabo et la douche ne faisaient qu’un dans une seule et grande pièce. Ceci était peu commun, mais j’aimais assez ce style. La chambre possédait un lit double et une petite armoire.

En regardant bien, l’appartement ne devait pas dépasser le 30m carré mais l’agencement le rendait bien plus grand. Nous nous installions dans le canapé du salon.

-Alors cet appartement te plaît? Il devrait convenir à un jeune étudiant comme toi : me dit-elle.
-Beaucoup Madame. Cet appartement est magnifique, mais j’ai bien peur que le loyer soit trop cher pour moi et mes parents
– N’avais-je pas dis que le prix était négociable!  fit elle d’un ton sec,  Tu es jeune et je sais que tu as peu de moyens.  

Elle prit un long moment de silence. Je baissais la tête un peu gêné.

-Voilà ce que je te propose. J’ai vu comment tu reluquais mes fesses lorsqu’on montait l’escalier

Je balbutiai quelques mots et elle m’interrompit sèchement

– tais toi, je ne t’ai pas dit de parler! Voilà comment on va faire.  Je suis prête à te laisser vivre ici gratuitement en échange de ton obéissance totale. Pour te laisser réfléchir, je vais te punir pour avoir reluqué mes fesses. Mets toi à poil et plus vite que ça! 

Je ne savais que faire. je connaissais mon côté soumis. J’aimais bien le monde du BDSM mais je ne m’étais jamais préparé à l’affronter. Je voulais fuir très loin, mais je ne pouvais point. Elle me l’ordonna encore une fois. Pris de peur et de panique, je m’exécutai. Je me déshabillais devant une femme inconnue, me retrouvant nue en face d’elle. Elle m’ordonna de m’allonger sur ses genoux. Je le fis en fermant les yeux, inquiet, une boule au ventre. Mon imagination tournait à fond. Mon esprit se troubla encore plus lorsque je sentis sa main se poser fermement sur mes fesses. Puis une deuxième fesse, puis trois, quatre! Mon esprit se vidait peu à peu. Elle s’arrêta et explosa de rire.

-Alors petit pervers, on aime ça!

En effet sans le remarquer mon sexe avait gonflé et il était devenu bien raide. La honte me submergeait. Une pluie de coups s’abattit sur mes fesses, plus la douleur était grande plus mon sexe grossissait. À la fin, elle s’arrêta. J’étais tout rouge, et pas que sur mon visage.

-À genoux! me dit-elle d’une voix calme.

Je me surpris à lui obéir si rapidement, comme si mon cerveau était déjà sous son emprise.  

-Voilà comment ça va se passer. Tu habiteras ici gratuitement en échange de ta totale obéissance. Tu y logeras pendant un an renouvelable. Je garderais un double des clés et je pourrais profiter de toi à loisir. Je ne te demanderais pas d’argent. Sache que je te surveille jour et nuit par le biais de caméra, la moindre désobéissance sera sévèrement punie. Si tu refuses, je te laisserais retourner chez toi mais plus jamais tu pourras revenir. Acceptes-tu? 

J’essayais de réfléchir. L’idée qu’une femme pouvait profiter de moi ne me plaisait guère mais il fallait se rendre à l’évidence, cette humiliation par fesses m’avait énormément plus et je n’avais presque plus aucune chance de trouver un autre appartement en si peu de temps, aussi beau et aussi bien place que celui-ci. J’acceptai donc en hochant la tête.

-Très bien! Signe ici!.

Elle me tendit une feuille qui était posée sur un meuble près du canapé.

-C’est ton contrat d’appartenance. Tout y est inscrit. Lis-le et signe.

Je commençais à le lire. Après quelques lignes je m’aperçus que Madame avait les jambes légèrement écartées et que je pouvais voir sa culotte. Elle croisa mon regard et rigola. 

– si tu es sage peut-être que tu l’auras.

Pendant que je lisais les termes du contrat, elle écarta sa culotte et commença à se masturber lentement. Mon sexe se remit à gonflé devant cette si belle vue. Le contrat était strict, mais on sentait qu’il protégeait non seulement sa maîtresse mais aussi le soumis, c’est à dire moi. Il reprenait tout ce qu’elle avait dit en plus approfondie. Après avoir lu attentivement le contrat, je relevai la tête et vis Maîtresse Roxanne (c’est ainsi que je devais l’appeler suivant le contrat, ou Madame en public) se masturber frénétique. Sans perdre une seconde, je signais. 

– C’est bien mon chien, viens là. Viens lécher la chatte de ta maîtresse. Tu as intérêt à me faire jouir.  

Je m’approchais de son vagin. Elle avait de jolies petites lèvres roses qui recouvraient son intimité. Son clitoris était fin et caché par ses grandes lèvres. Je mis ma langue contre son sexe chaud et humide. Son odeur était douce et agréable, on pouvait sentir sa cyprine. Elle était sucrée et agréable à lécher, pas trop forte ni trop épicée, elle se laissait délecter facilement, ce que je fis. Je la léchais goulument, ses petits cris aigus m’excitaient encore plus. J’introduisis ma langue dans son antre. Elle se cambre dans un grand cri d’exaltation. Elle prit ma tête et m’appuyait contre sa chatte.

Plus fort sale chien, je vais jouir .

Sans hésiter je mis toute mon énergie à essayer de la faire jouir. Après quelques minutes intenses, elle se cambrait et jouit dans un grand cri d’excitation. Mon visage était recouvert de sa mouille, c’est bête, mais j’étais heureux.

Après s’être rhabillé, Maitresse Roxanne s’approcha de moi et me tendit les clés.

Comme tu l’as lu cette appartement m’appartient comme toi. Je te donne ses clés pour que tu puisses bouger tranquillement, mais ici tu devras toujours être nu. Je te contrôlerais à distance grâce à des micros. Je t’autorise à te branler et jouir, profite c’est rare. À demain!

Puis elle claqua la porte. À peine partie, je me masturbais frénétiquement en repensant à son vagin. En quelques minutes, tout au plus, je jouis comme jamais. Je me levais et je commençais à m’installer et à prendre mes marques. Soudain une voix se fit entendre. Je reconnaissais celle de Maîtresse Roxane.

Ce soir rentre chez toi et prend tes affaires. Demain, tu emménageras ici.

 je me levai et j’entendis Maitresse me dire :

On dit quoi!  

-euh.. Merci Madame

-Voilà, c est bien!

Effectivement, elle pouvait tout voir et tout entendre.

Après m’être rhabillé, je repartais chez moi avec une sensation étrange. Demain j’allais vivre une nouvelle vie, et je me demandais si j’allais y survivre.

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1 réflexion au sujet de « Maîtresse Roxanne »

  1. Une histoire tellement puissante et qui fait envie… vivre sous l’emprise totale d’une Maîtresse….

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