Mise à l’épreuve, par Madame, Maîtresse domina (2)

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Madame, Maîtresse domina, n’a pas menti, ses amies sont bien pires qu’elle.

Je l’entends refuser avec soulagement.

  • Non, c’est trop tôt. Il n’a pas assez d’endurance encore. C’est juste un test.
  • Je pourrais m’en servir comme toilette, a demandé la petite asiatique ?

Madame répond, dans un premier temps :

  • Si tu veux.

Puis elle se reprend, très vite :

  • Non, je veux être la première. Tu peux l’utiliser comme papier-toilette pour commencer.

Testé pendant tout le week-end! Décision finale dimanche soir!

 

Maîtresse domina

Les deux femmes diaboliques me libèrent enfin de mon tourment. Mes muscles sont raides. Je ne peux m’empêcher de gémir lorsque mes bras et mes jambes sont libérés. Ma Maîtresse Domina me pose puis resserre, un peu plus, ma cage de chasteté en laissant le plug d’urètre en place. Ensuite, elle enferme mes bras dans une sorte de manchon lacé très serré les maintenant dans mon dos. Enfin, elle accroche une laisse à mon collier et me traine derrière elle jusqu’aux toilettes.

  • Considère que ton épreuve continue durant tout le week-end, me dit-elle tout faisant claquer ses talons sur le parquet. Je prendrais ma décision finale Dimanche soir quant à savoir si je te garde à mon service. Il va sans dire que tu dois, également, satisfaire mes amies de passage. N’oublie pas que tu es un accessoire au même titre qu’un balai ou un aspirateur. Tu l’as bien compris ?

En regardant ses énormes fesses onduler sous sa jupe pile devant moi, je ne peux que répondre par l’affirmative. Mon sexe est totalement verrouillé mais l’excitation que je ressens est infernal.

Madame ouvre la porte des toilettes et tend ma laisse à Naomi.

  • Il est à toi, dit-elle avec un franc sourire.

La petite asiatique me toise froidement et m’entraine derrière elle. A peine a-t-elle refermé la porte qu’elle aboie un

  • A genoux ! cinglant.

Je m’exécute et baissant la tête.

Utilisé comme papier toilette pour nettoyage!

 

Elle passe ensuite ses mains sous sa jupe puis descend ses collants et sa culotte avant de s’asseoir sur la lunette. J’entends alors son urine chanter gaiement. Cela ne dure guère. Elle retire ensuite mon bâillon, se met debout puis remonte sa jupe à la taille me dévoilant un sexe glabre humide et adorable.

  • Nettoie maintenant!

Je rampe sur mes genoux pour m’approcher et timidement dirige mon visage vers son entrejambe. D’un geste agacé, elle m’attrape les cheveux et me plaque la bouche contre ses lèvres.

  • Allez!

Je fouille alors ses chairs à l’aide de ma langue, lapant ses grands et petites lèvres. Le gout est amer mais l’odeur n’est pas si désagréable.

  • Fais ça bien, hurle-t-elle !

J’enfonce ma langue plus profondément, la retournant dans son vagin, me permettant même d’aller titiller son clitoris. Je m’attendais à être dégouté, n’ayant jamais fait cela jusqu’à présent, c’est presque le contraire qui se produit. Il faut dire que Naomi est très soignée, je ne sais pas si j’aurais autant de plaisir à nettoyer une femme négligée. Tant qu’elle ne me dit rien, je continue. A sa respiration, je comprends qu’elle y prend un franc plaisir, son bassin oscille de plus en plus sur mon visage à mesure que je sens son excitation montée.

Bientôt, je sens sur ma langue un autre goût que l’urine, sa cyprine très certainement. Elle finit par jouir abondamment en émettant une série de petits couinements puis elle écarte sèchement mon visage, remonte sa culotte, ses collants et redescend sa jupe sans m’accorder un seul regard.

Après vaisselle et ménage sous la surveillance de Maîtresse Domina!

Elle me traine dans la cuisine où Madame est en train de boire un thé.

  • Alors, demande-t-elle ?
  • Ça va, répond Naomi, mais il salive trop.

 

  • Il avait sans doute peur d’avaler au début. Considère que ce qui sort de nos corps est un cadeau. Bon ! Il y a de la vaisselle et du ménage à faire. Au travail ! Mais avant approche-toi ! Aide-moi Naomi, on va l’équiper pour sa tâche.

Ma Maîtresse Domina me libère les bras pendant que Naomi passe deux cordelettes autour de chacune de mes testicules qu’elle relie ensuite à des petits bracelets placés autour de mes chevilles. Puis elle tend les cordelettes de manière à ce que chacun de mes pas étire durement mes couilles. Mes mains sont attachées à une ceinture en cuir placée autour de ma taille avec suffisamment de mou pour que je puisse travailler même si l’ampleur de mes mouvements en est considérablement réduite.

Ainsi je me mets au travail. Vaisselles, nettoyage de l’évier, de la table, du four, du sol. Chaque déplacement est source de souffrance, je me déplace à petits pas seulement, grimaçant comme un beau diable mais j’ai à cœur de faire mon travail correctement.

Madame me surveille de temps à autre mais elle passe le plus clair de son temps dans le salon avec Naomi à médire sur des connaissances qui me sont inconnues.

Au bout de deux heures, la cuisine est enfin propre même si mes couilles n’en peuvent plus d’être étirées.

Madame vient vérifier minutieusement le résultat, une expression impénétrable sur le visage.

  • Qu’en pense-tu Naomi ?
  • C’est vaguement propre, répond l’intéressée avec une petite moue.

Madame soupire, déçu.

  • A chaque fois que je serais mécontente, nous feront un petit tour dans la salle des tortures que tu connais déjà. Passe devant.

 

Quinze coups de cravache car trop lent dans l’exécution des tâches ménagères!

Désemparé, je me dirige à petit pas vers la terrible pièce, me demandant ce que j’ai bien pu faire de mal.

Naomi prend un malin plaisir à s’emparer de ma laisse et à me tirer derrière elle, me forçant à accélérer le pas. Autant vous dire que mes testicules n’apprécient guère, je ne peux retenir mes gémissements.

Une fois dans la pièce, Madame passe mes mains dans des bracelets reliés au plafond puis appuie sur un petit interrupteur. Dans un léger vrombissement, je me sens tiré vers le haut et mes pieds finissent par quitter le sol, mon corps oscillant légèrement dans le vide. Naomi me libère les chevilles et les testicules pour pouvoir m’écarteler les jambes, fixant lesdites chevilles à des anneaux dans le mur. Me voilà donc suspendu dans le vide, à leur merci.

  • Si tu travailles mal, tu seras puni, continue Madame. Si je suis contente, je te récompenserais. Qu’est-ce que tu dirais de lécher mes gros seins par exemple ? Je peux t’accorder cela si tu me satisfais. Si ce n’est pas le cas, je peux te donner un avant-goût de ce qui t’attends. Voici mes reproches pour ton travail.
  • Tu as été trop lent, deux heures pour la cuisine, ce n’est pas possible. Ce sera donc dix coups de cravaches sur ton cul, la vaisselle n’est pas nickel non plus, il restait des tâches, cinq coups de cravache sur le gland. Et tu as trop salivé en nettoyant Naomi, elle se chargera elle-même de la punition. Trois minutes de malaxage de couille.

Je suis terrifié.

  • Es-tu d’accord avec ces règles ? Être à mon service est à ce prix.
  • Oui Madame.
  • Très bien.

 

Exécution de la punition

Maîtresse Domina

Elle s’empare alors d’une cravache, passe dans mon dos et commence à frapper durement mes fesses. Elle y va fort, laissant trois secondes entre chaque coup. Je gigote comme un fou au bout de ma corde, geignant comme un enfant. Naomi ne me lâche pas un instant du regard, goûtant ma souffrance avec une sale lueur dans l’œil. Après dix coups, mon cul est en feu, probablement durement marqué de zébrures rouges.

Madame passe ensuite devant moi, me retire ma cage de chasteté ainsi que le plug d’urètre, ce qui ne manque pas de m’arracher un couinement au passage, puis lentement mais sûrement comment à me branler. Mon sexe ne demandant que ça ne tarde pas à se raidir et se mettre au garde à vous. Elle me décalotte vivement, prend du recul et frappe mon gland d’un coup sec.

Je manque défaillir.

Chaque nouveau coup produisant un violent tressaillement de tout mon corps. Heureusement, il n’y en a que cinq.

  • Naomi, dit-elle enfin ?

 

Complimenté par Maîtresse Domina pour mon endurance à la douleur!

La petite asiatique s’approche de moi avec un mauvais sourire, sa main toute fine se referme sur mes couilles, commence alors un malaxage sans pitié de mes parties intimes. Elle est dure, écrase, tire, tord autant qu’elle peut sans quitter un seul instant mon regard. J’ai beau gigoter comme un damné dans mes liens, je ne peux échapper à sa cruauté. J’ai même l’impression de voir dans son regard comme un début d’orgasme face à ma souffrance.

Au bout de trois minutes, Madame l’arrête enfin, me laissant transpirant, à bout de souffle, le ventre noué.

  • C’est bien, dit-elle, tu sais endurer. J’en connais qui serait déjà parti en courant. Qu’en pense-tu Naomi ?
  • J’aime bien comment son visage se tord quand il souffre.

C’est tout ce qui l’intéresse manifestement au contraire de Madame qui compte m’utiliser à d’autres fins manifestement. Je suis heureux que ce soit elle ma Maitresse Domina et non pas ce petit démon.

  • Tu auras l’occasion de t’amuser avec lui, ne t’inquiètes pas, le week-end ne fait que commencer, ajoute Madame avec une lueur perverse dans le regard.

A suivre…

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