L’anniversaire de mariage
Dans un mois c’est notre anniversaire de mariage. Je suis à la peine pour trouver une idée de cadeau. Tous les jours, je cherche et trouve de petites choses pour plaire à mon épouse dominatrice. Ainsi, je fais les corvées comme le ménage et les courses. Je lui propose, également, des sorties au restaurant, au théâtre, au cinéma et des fleurs toutes les semaines. Cependant, là, il faut que je fasse plus fort. Je finis par trouver l’idée ; lui offrir un amant pour une soirée.
Elle a parlé plusieurs fois d’avoir des relations sexuelles avec d’autres hommes. Cependant, malgré sa liberté, et sa très grande beauté (peut-être je ne suis pas totalement objectif sur ce point !) il me semble qu’elle n’est pas passée à l’acte. Ainsi, je ne pense pas être encore cocu. En dépit de mon appréhension de la perdre, je me mets à la recherche d’un homme pour passer une journée avec elle puis éventuellement la soirée. Aussi, je passe des heures sur mon ordinateur. Ensuite, je sélectionne des candidats puis après avoir dialogué avec eux, je les rencontre.
Je suis nerveux car je ne veux pas qu’elle me surprenne ou qu’elle s’imagine que je suis retombé dans mes travers sur des sites pornographiques. Je finis par rencontrer un homme, (après plusieurs tentatives malheureuses), Étienne, la quarantaine, qui me semble parfait. Il est beau, décidé, direct, honnête, et a bien compris la philosophie de ma démarche. Le rendez vous est fixé.
Le cadeau pour mon épouse dominatrice !
Il arrive avant le repas de midi que je viens de préparer. Il apporte une bouteille de champagne, ce qui est une bonne initiative !. Quand je le présente à ma princesse, elle nous regarde avec étonnement. Et sans rien préciser de plus, je plante un baisé sur les lèvres de Nat. Ensuite, je m’éclipse, immédiatement, en lui glissant à l’oreille «bon anniversaire princesse, si tu as un problème, appelle-moi je ne suis pas loin ».
C’est très dur pour moi. Je reste dans la voiture à deux pas de la maison. En fait, j’aimerais qu’elle m’appelle, ou qu’Etienne ressorte de la maison seul. La journée passe, la nuit passe ! Je n’en peux plus, dix fois, cent fois je suis prêt à me précipiter dans la maison. Cependant, je me répète « Elle sait aller jusqu’au bout de ses initiatives, je dois y arriver ». J’ai mal à en pleurer, et si je la perdais par ma propre faute!
Au petit jour Etienne s’en va. Je devine un sourire sur ses lèvres. Je me rue dans la maison, Nat dort calmement dans un lit en désordre. Aussi, je m’installe à ses pieds. Je la regarde, indéfiniment, mais je ne suis pas calme. En effet, je me pose des questions. Deux fois elle se réveille, me sourit, et se rendort. Quand elle se lève enfin, elle ne fait aucun commentaire. Je suis encore plus frustré !
Une nouvelle choquante !
La vie ne reprend pas tout de suite son cours. Durant, les deux jours qui suivent, il n’y a pas de croix verte. Le troisième jour, je lui donne un premier orgasme et je dis « ouf ! ». Elle me regarde me sourit et dit :
-tu étais inquiet ? Il ne faut pas c’est normal chez moi. Il me faut toujours deux jours après… regarde sur le calendrier les trois derniers mois !
Je regarde et repère deux trous de deux jours dans les croix vertes quasi journalières !
-Et oui ! tu as déjà été cocu deux fois !
Cette remarque la rend joyeuse.
-Mais j’ai bien aimé ton cadeau, bon choix, c’était un très bon coup !
Je pense à mon cadeau, je trouve qu’il est dévalorisé. Je me sens comme un enfant à qui on cache plein de choses, trahi, très humilié. Ainsi, je ressens une rage sourde en moi et une envie de révolte. Pour la première fois depuis longtemps, je doute de ma capacité à tout accepter. Je ne suis pas bien. Elle le voit et s’en amuse.
-Il faudra t’y faire, mon doudou, tu peux mettre des croix oranges ! ça sera plus gai !
Je me renferme. Je n’arrive pas à dépasser ma rancœur.
des coups de pied dans les couilles
L’intonation change ! Son regard est devenu sombre.
Cocufié par mon épouse dominatrice !
-Oui, il est plus facile de vivre dans l’ignorance, facile pour toi de ne pas voir la vérité en face ! Pourtant, tu l’as bien programmé ta propre déchéance en me jetant dans les bras d’Etienne. Il faut que tu assumes ton statut. En effet, je ne te laisse pas le choix. Et puis, ce choix, tu l’as fait définitivement en acceptant de me donner les pleins pouvoirs. Aussi, maintenant, tu ne peux plus contester. Aujourd’hui, tu es troublé, plus par le fait que tu ignorais ce qui se passait entre moi et mes amants, que par le fait que tu sois cocu. J’étais partagé entre le sadisme de ne rien te dire, et celui de me délecter en te racontant tout. En effet, ça m’aurait bien plus de me le remémorer en ta compagnie.
Cependant, vu ton attitude, je penche pour la première solution, avec cependant, un aménagement. Tu seras juste au courant de chacun de mes rendez vous. Visiblement, c’est ce qui te fait le plus souffrir et donc te rendra plus attentionné, et tu seras cocufié à volonté.
Ceci est applicable jusque à acceptation totale. Je te conseille, fortement, de te remotiver, de te concentrer rapidement sur mes plaisirs. Sinon des déboires, et des désillusions t’attendent , ainsi que beaucoup de croix violettes et oranges.
En prononçant ces derniers mots, elle m’assène un violent coup de genoux dans les couilles. Aussi, je me tords de douleur puis m’écroule au sol, plié en deux. Elle tourne nerveusement autour de moi.
-tu sais si bien me rendre heureuse et tu en es heureux aussi ! Enlève les mains de tes couilles, écarte les jambes puis met tes mains sous tes fesses !
Raillé par mon épouse dominatrice !
Elle titille mes couilles du bout de ses escarpins. De temps en temps, elle fait semblant de vouloir frapper. A chaque fois, je me recroqueville et me contracte ce qui la fait rire. Ensuite, elle retire sa culotte, la pose sur mes yeux puis recommence son jeu. Sauf que je ne vois pas arriver un coup violent qui me coupe la respiration. Je roule au sol, et immédiatement après son sexe se pose sur mes lèvres. J’oublie tout, la douleur, les angoisses, mon stress pour notre avenir…je suis tout à elle !
Entre deux orgasmes, elle me dit ;
-à quoi te servent tes couilles ? Tu n’as quasiment plus aucune orgasme ! Ils sont sous mon contrôle !
-Il n’y a pas si longtemps j’avais besoin de les vider tous les jours ! Maintenant c’est de tes orgasmes dont j’ai besoin et comme tu jouis plus d’une fois par jour, je n’en ressens plus la nécessité : lui dis-je
-Pour le moment, moi, je leur trouve deux fonctions : te contrôler parce qu’elles sont vite douloureuses ! Cependant, quand tu seras parfaitement dressé, elles ne serviront plus. J’espère ne plus avoir à te punir bientôt ! Seconde fonction : permettre de fixer ta cage ! Mais il existe d’autre solution pour ça ! Alors peut être qu’un jour, je te castrerais, comme j’ai castré un tas de chien et chat pendant ma vie professionnelle. Je t’accorderais une croix violette par couille !
Elle éclate de rire.
Utilisation du cadeau d’anniversaire !
Plus d’un mois plu tard, elle vient d’avoir un orgasme. Elle me demande si j’ai gardé les coordonnées d’Etienne. Elles sont cachées dans mon portable. Je lui indique comment y accéder. Aussi, elle s’empare de mon Smartphone. Du doigt, elle m’indique que je dois me remettre à l’œuvre. Elle transfère toutes les données de ma cachette. Il n’y a pas que le numéro d’Etienne. Il y a, aussi, toutes les coordonnées des hommes qui avaient répondu à mon annonce pour son anniversaire.
-Petit cachotier ! : dit-elle en souriant.
Ensuite, elle compose un numéro.
-allo, bonjour Étienne, c’est Nat ! celle à qui tu as si bien souhaité bon anniversaire ! Merci c’est très gentil ! Tu peux te libérer en ce moment ? J’ai très envie de toi !
Elle commence à s’agiter. Elle n’est pas loin de l’orgasme. Je ralentis mes caresses pour le retarder, mais je maintiens ce qui faut pour qu’elle reste tout près de l’explosion !
-C’est quand tu veux, je suis totalement libre moi ! Arrange toi comme tu l’entends mais ne me fait pas trop attendre ! C’est très bien, à jeudi après-midi !
Elle raccroche. J’accélère et elle explose instantanément dans un titanesque orgasme, dont je sais ne pas être la seule cause. Cependant, c’est magnifique ! Je la regarde avec admiration. Je le lui dis puis elle me sourit tendrement.
Rendez-vous avec son amant !
-Cela fait un mois que je galère pour me trouver des mecs. Ceux que me plaisent ne s’intéressent pas à moi, seuls les gros, grossiers, et vieux me draguent. Je commence à être vieille pour les beaux mecs. Je n’ai pas envie de te cocufier avec n’importe qui ! Tu as dû bien galérer pour le dégoter, Etienne !
-Il avait accepté que parce que c’était qu’un coup unique, mais je ne suis pas surpris qu’il accepte de te revoir. Quand on te connait, on ne peut plus te résister.
Elle me sourit et m’indique du doigt qu’elle a encore envie.
Le jeudi matin, elle consacre tout son temps à se faire belle. Je la regarde évoluer. Elle est comme une adolescente se préparant à son premier rendez-vous. Ainsi, elle est concentrée, vaguement inquiète, déjà avec lui. Cela est étonnant pour une femme de 60 ans. Mais qu’elle est belle. Je l’aime ! Elle n’a plus besoin de moi, je crois. Je me prépare à laisser ma place. Ainsi, j’ai l’impression que notre histoire est fini. Aussi, je suis malheureux. Elle ne s’en rend même pas compte ; elle est sur son petit nuage.
Je ne veux pas gâcher son bonheur. Aussi, je prends quelques affaires pour partir discrètement. Elle me retient par le bras, avec un sourire !
-je crois que tu es prêt ! Tu as bien progressé, met ça !
Elle me tend ma ceinture de chasteté.
-enlève tout le reste, mon doudou ! on a quelqu’un à recevoir !
Spectateur des ébats de ma femme avec son amant !
Je n’ai plus de stress, la jalousie m’a quitté. Je suis son objet et je suis heureux, car elle semble vraiment m’apprécier. Elle dirige ma vie et c’est toujours plein d’imprévu. Je la regarde avec dévotion.
En début d’après-midi, elle me donne comme consigne de me mettre discrètement dans un coin. Dès son arrivée, ils se jettent l’un contre l’autre et s’embrassent goulument, longuement. Leurs mains caressent passionnément. Pendant de longues minutes, leurs corps se cherchent, fusionnent. Ils se dénudent progressivement. Je constate que c’est effectivement un bel homme. Il bande, il a un beau sexe. Ils sont nus sur le canapé.
Nat me lance des coups d’œil complices, avec un sourire sadique. Il ne semble pas m’avoir remarqué car il est concentré sur ses caresses. Elle s’empare de son sexe avec la bouche, le suce goulument, l’enfourne au plus profond de sa gorge. Ensuite, elle me jette une œillade. Je suis atterré ! Voilà bien des années, bien avant le début de sa prise de contrôle, qu’elle refuse de me faire des « pipes », trouvant cela trop humiliant.
Longs ébats !
Etienne vient de s’apercevoir de ma présence. Il a un mouvement de refus, puis il s’abandonne aux caresses de plus en plus rapides de Nat. Enfin, il éjacule dans la bouche de ma princesse ! Jamais, même lors de nos débuts passionnés, elle n’a fait ça. Elle me disait n’aimer ni la consistance, ni l’odeur, ni le goût. Ensuite, elle me provoque encore plus en me montrant la bouche entrouverte la quantité de sperme qu’elle avale ensuite ! Elle cherche à me montrer quoi ?
Ensuite, ils ont un long conciliabule. Leurs ébats continuent pendant plus de deux heures. Il a plusieurs orgasmes, ce dont je n’ai jamais été capable. En effet, il m’a toujours fallu du temps entre chaque éjaculation. C’est encore plus flagrant avec l’âge. De ce côté là, je fais le parcours inverse de ma petite Nat !
Elle émet beaucoup de soupirs mais je ne reconnais aucun orgasme de sa part. Il faut dire qu’il ne s’intéresse pas trop à son clitoris.
Après son départ, je m’installe entre ses jambes.
Avec une douceur infinie, je nettoie son sexe et je m’occupe de lui donner de vrais orgasmes.
Ma mission : trouver de nouveaux amants pour ma femme !
-Tu l’aimes ta salope de princesse ?
-Oui je suis fou de toi !
-Tu as abandonné ta ridicule jalousie ? Mais en sera-t-il de même si je trouve un mec capable de me faire jouir aussi bien que toi ?
-Je ne pense plus qu’à ton bonheur, je dois pouvoir résister à tout…j’aime ta façon de me faire découvrir de nouveaux jeux sexuels !
-J’ai besoin de ça pour faire fonctionner ma libido à plein, sans ça on finirait rapidement dans l’ennui de notre précédente vie sexuelle.
-Oui ma princesse, je veux te suivre jusqu’au bout !
-Alors cherche moi, d’autres amants et vite je ne veux pas me contenter d’Etienne une fois par mois. En effet, je viens de rayer ta queue des possibilités ! Plus d’orgasme pour toi ! Je vais bien m’amuser à voir ta frustration te tarauder. Il va falloir compenser par plus de câlins pour moi ! N’oublie pas de rajouter la croix orange pour Étienne. Et j’ai bien l’intention de m’amuser à tes dépends.