Voilà déjà près d’une heure que j’avançais tranquillement dans cette partie de la forêt de Chauné, sans me douter un seul instant que j’allais participer à une séance SM. J’étais dans une partie de la forêt, dans laquelle, j’avais l’habitude de trouver des coins garnis de cèpes bien charnus. Bien que nous soyons début octobre, le temps était curieusement chaud. Le ciel était bien dégagé, ce qui changeait, par rapport à ces derniers jours. Il avait, en effet, beaucoup plu, ce qui avait permis à aux champignons de se développer rapidement.
Je me penchai vers quelques feuilles formant un léger dôme, espérant trouver quelques cèpes cachés lorsque j’entendis soudain un cri sourd à peine étouffé et quelque peu plaintif. Cela semblait venir du bout de ce petit chemin herbu qui partait sur la droite et se dirigeait je ne sais trop vers où. Je me relevai et prêtai l’oreille plus attentivement. A nouveau, j’entendis d’autres cris, ou plutôt d’autres plaintes très humaines s’enchaînant régulièrement. On aurait dit le « han » d’un bûcheron abattant un arbre et rythmant ses efforts.
Je me décidai à abandonner un moment ma cueillette de champignons. J’étais curieux, d’aller voir ce qui se passait au bout de ce petit chemin.
Découverte d’une séance SM en pleine forêt
A mesure que j’avançai, la voix, ou plutôt la plainte, se fit plus précise. Il s’agissait, sans aucun doute, d’une personne de sexe masculin. Je vis un bosquet de châtaigniers un peu plus loin, et j’aperçus derrière un de ces arbres deux formes humaines.
Une vingtaine de mètres nous séparaient à présent. Caché derrière un buisson longeant le bosquet de châtaigniers, j’assistai là, à un spectacle auquel je ne m’attendais pas du tout, dans cette forêt réputée si calme et tranquille de Chauné, à savoir une séance SM.
Appuyé de face à un châtaignier au tronc assez volumineux, les mains en l’air, les poignets reliés et attachés à une branche, un dos d’homme nu apparût. Une des premières choses que j’aperçus en premier, ce fût ses fesses striées de marques fines rougeâtres. Tout près de lui, se tenait une femme, semblant plus grande. Elle avait le bras levé, et tenait ce qui me semblait être une badine.
En fait, elle était en train d’asséner visiblement, avec délectation, des coups rythmés sur ce postérieur bien viril mais ô combien dans une fâcheuse posture de soumission. La tenue de la femme me surprit quelque peu, dans ce lieu forestier.
Homme attaché à un arbre et fouetté !
Elle avait des cuissardes noires très hautes, attachées à un porte jarretelles, noir également, et pas l’ombre d’un slip. Comme je la voyais de trois-quarts et de dos, je pouvais admirer une croupe callipyge extraordinaire. Visiblement, elle avait le buste totalement nu, puisqu’aucune trace de quelque soutien-gorge ne venait troubler ce dos fantastique. Son visage semblait, également, être totalement découvert, bien qu’une longue chevelure quelque peu ébouriffée, m’empêchait d’en avoir la certitude.
Soudain, la femme s’arrêta brusquement de frapper avec sa badine les fesses de l’homme, comme si elle avait perçu ma présence, ou alors sur supplication de l’homme, dont les plaintes s’estompèrent petit à petit.
-Cela t’a plu mon chéri ? : demanda la femme d’une voix dans laquelle on percevait nettement une sorte d’excitation lascive.
Pas de réponse de l’homme.
-Réponds- moi, car je voudrais bien que nous passions à la suite de cette punition que tu as méritée et souhaitée aussi !
Punition sollicitée par l’homme !
J’étais éberlué par ce que j’entendais. Ainsi, l’homme avait non seulement mérité cette punition mais en plus il l’avait sollicitée.
-Je te demande encore pardon mais j’avoue que moi aussi je prends plaisir à ce que tu me fouettes ainsi : répondit l’homme d’une voix un peu sourde, car atténuée du fait de la position de son visage contre l’arbre.
D’autre part, je n’avais même pas vu qu’un petit foulard beige lui cerclait la tête et donc devait cacher ses yeux.
-Bon, c’est parfait alors. Je vais détacher tes mains de la branche et je vais passer à la suite du programme de cette petite séance SM.
Aussitôt dit, aussitôt fait, séance tenante. La femme, se rapprocha derrière l’homme, détacha ses poignets de la branche, mais ne le libéra pas complètement, bien au contraire. Elle glissa ses bras autour du tronc, au niveau de ses épaules, et rattacha ses poignets derrière l’arbre. L’homme sembla ainsi plus petit et surtout, un peu abaissé. La femme lui écarta soudain les jambes, d’un bon mètre. Un peu plié dans cette position et visiblement peu à l’aise, l’homme présenta ainsi une courbure accentuée de son dos, offrant à la femme son fessier plus ouvert.
La femme s’éloigna quelque peu vers un sac en cuir marron, posé à quelque mètres et que je n’avais pas remarqué auparavant, bien trop occupé à assister à cette punition, laquelle commençait d’ailleurs à me procurer quelqu’émoi. Elle sortit de ce sac un tube de couleur bleue, et un gode ceinture double avec lanières.
La femme se pare d’un gode ceinture !
Elle se retourna et elle m’apparut de face. C’était une très belle femme, avec une belle chevelure brune, ébouriffée, un visage très sensuel, aux traits fins et doux, mais également curieusement assez durs. De face, ainsi, sa beauté apparaissait évidente, des seins peu volumineux mais bien implantés, ceux d’une femme épanouie. Elle paraissait avoir dépassé la trentaine, voire plus. Elle avait un sexe épilé juste comme il faut, sous un mont de vénus qui attirait le regard. Elle se baissa, enfila la lanière du godemiché autour d’une jambe, puis l’autre. L’objet se trouva ainsi devant elle, m’apparaissant d’une monstruosité énorme mais très excitante. Elle saisit la petite partie du godemiché et l’introduisit dans sa bouche pour l’humecter, puis elle écarta son sexe en enfila dedans ce bout du gode.
Ainsi, elle avait un morceau dans son sexe et l’autre, plus long et plus large devant elle. Cette femme était tout simplement ahurissante de sexualité féminine et masculine tout à la fois et diable ! comme elle m’excitait ! Je sentis mon sexe, lequel avait durci déjà tout au long de la punition du fouet, grossir encore, comme s’il allait éclater. Je me dégrafai, baissai mon jean et mon slip et découvris ainsi mon sexe, chaud et dur, puis je me remis en position d’observation.
La femme se retourna, se dirigea vers l’homme, lequel ne bougeait pas. Elle se baissa derrière lui, ouvrit le tube, le pressa et s’enduisit plusieurs doigts de la main droite d’une sorte de gel. Elle écarta les fesses de l’homme. Je la vis titiller son anus doucement mais avec fermeté. Elle le pénètre avec un, puis deux doigts afin de bien le lubrifier. Puis elle étendit à nouveau du gel sur la partie du godemiché en érection devant elle.
Plaisirs partagés pour l’homme et la femme
Elle écarta à nouveau les fesses de l’homme, qui se mit à bouger de droite à gauche. La femme s’appuya derrière lui et, tranquillement, avec précision elle le sodomisa.
La réaction de l’homme fût extraordinaire. Il gémit, mais non de plainte ou de douleur, mais au contraire, il semblait visiblement éprouver un plaisir évident, et si fort d’ailleurs que la femme, toujours enfilée dans son anus, passa une main sous les fesses de l’homme, entre ses cuisses et elle ramena en arrière son sexe en érection. Je pensais qu’il devait souffrir, ainsi sodomisé et le sexe érigé, ramené ainsi derrière lui. Il se courba d’ailleurs un peu plus, certainement gêné par son sexe ramené en arrière et ainsi ses fesses se trouvèrent plus offertes encore au va et vient du godemiché qui le pénètrait.
L’homme émit des gloussements de plaisir, la femme semblait éprouver un plaisir violent à posséder ainsi cet homme. Quant à moi, je ne tenais plus en place, je me levai, mon sexe en main.
Je dus faire du bruit, car soudain la femme s’arrêta de sodomiser l’homme et se retourna brusquement vers moi. Je n’eus pas eu le temps de me rabaisser pour me cacher derrière le buisson. La femme m’aperçut, et me fixa avec des yeux durs mais attirants à la fois. Elle lâcha le sexe de l’homme qu’elle tenait toujours ramené vers elle puis elle leva la main et avec son index droit et me fit signe d’approcher.
Invitation à participer à cette séance SM
Je fus stupéfait, car je m’attendais plutôt à une attitude défensive de la part de cette femme, surprise en train de sodomiser cet homme. Et bien, pas du tout! Son self contrôle était affolant. Elle continua à me faire signe d’approcher, son regard ayant perdu de sa dureté et elle attendait visiblement que je réponde favorablement à son invitation à participer à cette séance SM.
Je ne me retins pas longtemps. J’ôtai complètement mon jean et mon slip, et je me dirigeai vers elle, juste vêtu d’un tee-shirt et de mes bottes. Drôle d’allure ! De plus, j’avais un peu froid tout de même car nous étions en octobre. Mon sexe avait perdu de son excitation. L’homme était toujours dans la même position. Elle s’était retirée de lui, et elle se retourna complètement vers moi.
-Chéri, nous avons un invité surprise, tu ne dis rien et tu acceptes qu’il soit là, ç’est la partie imprévue de ta punition : dit elle à l’homme.
Il ne répondit pas, mais visiblement il n’avait pas le choix. Il devait accepter cette nouvelle situation.
-Je vais faire ce dont j’ai envie, tant avec toi, qu’avec notre nouvel invité, et tu n’a rien à dire, c’est ainsi.
La femme continue de diriger la séance SM !
Elle s’approcha de moi, se mit à genoux, saisit mon sexe dans sa main gauche, puis elle prit mes testicules tous gonflés dans sa main droite. Ensuite, elle approcha sa bouche de mon sexe, lequel se mot à grossir de nouveau. Elle me suça lentement, tranquillement, pendant qu’elle malaxait mes testicules.
-Tu vas me sodomiser, pendant que je sodomiserai à nouveau Alex.
Elle se baissa, reprit le tube de gel, et se retourna de dos vers moi. Elle écarta ses fesses, enduisit son anus d’un peu de gel. Puis elle repartit vers le sac de cuir et elle revint avec une plaquette de préservatifs. Très excité par son intervention sur mon sexe et sa promenade sur son anus, elle n’eut aucun mal à m’enfiler un préservatif.
Elle se retourna vers l’homme (Alex donc..) et lui pénétra à nouveau l’anus.
-Approche-toi derrière moi, écarte mes fesses et sodomise-moi. Attention, tu n’as pas le droit de jouir, tant que je ne te le dirai pas, sinon tu auras droit à la même punition qu’Alex !
Je m’exécutai. Ainsi, je m’approchai d’elle, lui écartai ses fesses extraordinaires. Ensuite, je pris mon sexe avec ma main gauche et l’introduisit doucement dans son anus. Elle ne se cabra pas, bien au contraire, elle colla sa croupe contre mon ventre. Je m’introduisit en elle, et pendant qu’elle sodomisait Alex, je la sodomisai. J’adoptai le rythme facilement. Alex gémit, la femme semblait apprécier hautement cette situation. Elle hoquetait doucement. Elle ressaisit le sexe d’Alex entre ses cuisses avec sa main gauche, et avec sa main droite elle me prit les testicules.
-Attention à toi ! ne jouis pas, surtout pas, sinon, gare !
J’ai désobéi aux ordres !
C’était trop me demander. Emporté par cette situation, je sentis que je n’allais plus me retenir longtemps, d’autant plus qu’elle semblait de plus en plus excitée. et Tout à coup, elle se mit à se cabrer, à pousser des feulements extraordinaires, et je la sentis partir soudain dans un orgasme puissant. Je ne me retins plus non plus et je me délivrai dans le préservatif et son anus.
Quelle jouissance, quel plaisir extrême. Même Alex semblait avoir apprécié la situation, car visiblement, il avait joui dans la main de la femme.
Quelques instants plus tard, nous semblions tous apaisés. La femme se retira de l’anus d’Alex, et je me retirai du sien. Elle se retourna et d’un regard étonnamment menaçant, elle me dit :
-Je t’avais ordonné de ne pas jouir, il me semble, non ? Visiblement tu n’as pas obéi !
J’étais penaud, mais que répondre à cela.
-Bon, tant pis pour toi et pour moi. Pour aujourd’hui, nous en resterons là, car il fait de plus en plus froid et je ne suis plus d’humeur à continuer. Mais n’oublie pas que je te dois une punition sévère. Je pourrais t’inviter gentiment à ce qu’on continue ce qui a été inachevé, mais je préfère t’en intimer l’ordre, afin que tu y penses régulièrement et que je puisse te châtier lorsque le moment sera devenu opportun. Je te donne mon N° de téléphone, tu m’appelleras dès que tu sentiras qu’il est devenu indispensable pour toi d’être puni.
Fin de cette intense Séance SM
La femme repartit vers le sac en cuir, prit un stylo, un bout de papier et inscrivit dessus un numéro° de téléphone. En m’embrassant sur la bouche, elle glissa ce papier dans ma main.
-Maintenant, repars d’où tu es venu, ne cherche pas à nous suivre et à très bientôt, mais avant dis-moi comment tu t’appelles ?
– Patrick, lui répondis-je.
Dans le sac de cuir, elle récupéra un pull gris et une sorte de gabardine crème. Elle se rapprocha d’Alex, le délivra de ses liens, lui passa la gabardine sur les épaules. Ensuite, elle enfila le pull et me fit signe de m’éclipser. En repartant vers mon buisson récupérer, mon jean, mon slip, mon panier à champignons, mon bâton, je me retournai et je la vis qui enlevait le bâillon qui couvrait les yeux d’Alex.
Je récupérai mes effets et je repris le chemin herbu en sens inverse. Ensuite, je me dirigeai vers l’autre sentier plus large menant à ma voiture. Enfin, je récupérai les clefs cachées dans un taillis tout à côté. Je n’emmenais jamais avec moi mes clefs lorsque j’allais aux champignons, de peur de les égarer. J’ouvris ma portière et m’assis sur mon siège, complètement anéanti par cette séance. Les souvenirs se bousculaient dans ma tête.
Je n’ai pas cherché à suivre la femme et Alex. Je me posai beaucoup de questions : où avaient-ils stationné leur voiture ? sont –ils restés encore un peu ? sont-ils repartis et vers où ?
Que de questions auxquelles je pourrais obtenir une réponse en téléphonant à cette femme, car déjà l’envie de la revoir pour une autre séance SM. Subir sa punition me taraude l’esprit…
Une très belle histoire avec des vrais éléments,je pense que la beauté de cette scène réside dans sa simplicité, tout est à la place qu’il faut.
vive l’automne est ces surprise.
au plaisir de lire cette suite
CETTE CEUILLETTE ÀUN CHAMPIGNORE A ÉTÉ BONNE MAIS Y A
T IL EU UNE SUITE À CETTE HISTOIRÉ ?? VOUS AVEZ SON TELE PHONE VOUS L AVEZ RAPPELLER ?? SI OUI ON VOUDREZ LA SUITE
houla ça donne envie de se promener en foret ça….maiq quellle est la place preferé celle de patrick ou d’alex…moi je prefererais etre patrick dans le doute d’une rencontre prochaine ne pas savoir ce qui l’attend tout ça…