Un an plus tard…
En ce début septembre, un an s’est écoulé depuis le début de mon éducation et de ma transformation en Sissy Aline.
Un jour, après le repas, nous débarrassons la table, un ordre fuse:
- le café au salon, les Sissies, avec la tenue prévue!
Nous arrivons en tenue stricte, mini jupe noire très courte, chemisier blanc transparent. Bien sur, nous n’avons pas oublié le soutien-gorge push-up, demi-balconnet qui laisse nos tétons visibles et accessibles pour nos Maîtresses. Des bas noirs à couture hauts talons de 12 cm cadenassés complètent notre tenue.
Bien sur, un plug de bonne taille est en place. Il est vibrant par télécommande. Dès notre apparition, il est mis en marche avec interdiction d’émettre le moindre son de notre part.
Pourtant, au bout de quelques minutes, « la chose », ainsi que Sissy Hortense se mettent à geindre.
Aussitôt, sa Maîtresse lui ordonne de se rendre au sous-sol. C’est à ce moment là que nous apprenons son nom, Sissy Michelle. Sissy Hortense suit le même chemin. Maîtresse Anne-Marie accélère les impulsions et vibrations du plug mais je préfère me mordre les lèvres pour me taire que de subir une séance au sous-sol. Pas un son ne sort de ma bouche malgré la douleur que j’endure.
Maîtresse Anne-Marie déclare:
- bien Sissy Aline, tu auras donc une séance allégée, mais tu seras, aussi, à côté des autres « sissies ». Tu subiras l’éducation prévue pour vous.
Séance au sous-sol
Dès notre arrivée, sur ordre de nos Maîtresses, j’attache les deux punies. Je les mets en extension avec bâillon, collier de posture et pinces lestées aux tétons.
Pour leur chatte anale une machine est mise en place. La taille du god et sa largeur à la base en disent long sur ce qu’elles vont endurer.
Les machines sont mises en route. A peine cinq minutes se sont écoulées que des gémissements sourds déplaisent à nos Maîtresses. Ordre m’est donné de les bâillonner puis de leur asséner, chacune, trente coups de cravache.
J’essaye de m’appliquer pour les cravacher. Cependant, ma Maîtresse Anne-Marie trouve que je ne mets pas assez se cœur à l’ouvrage.
Je me retrouve dans une posture identique sans la machine mais bâillonnée. La cravache s’abat sur moi. Les autres Maîtresses s’occupent de leur Sissy de même manière.
Ceci n’est que le début de notre après-midi d’éducation et de punition.
Une cinquantaine de coups s’abattent sur mes fesses et mes cuisses devant.
Ayant fait une erreur dans le décompte de cette flagellation, je reçois un supplément de dix coups mais par chacune des Maîtresse présentes. Cette fois, le compte est bon. Je suis en pleurs car Maîtresse Maryse ne retient pas ses coups pour les trois derniers.
Lorsque Maîtresse Maryse, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Odette sont ensembles, leur imagination n’a pas de limite.
Nous faisons connaissance avec leurs fantasmes de tortures envers nous.
Le donjon très bien équipé de Maîtresse Odette!
Propriétaire d’un sex-shop, Maîtresse Odette a très bien équipé son donjon. Les pinces arrivent sur nos tétons, des poids viennent les rejoindre.
Nos Maîtresses prennent plaisir à les agiter. Des élancements et irradiations autour des aréoles font monter les larmes à nos yeux.
Notre maquillage s’en ressent ce qui nous donne droit à une punition complémentaire.
Ensuite, nous avons droit chacune à un plug à serrure, qui s’ouvre après son intromission. De plus, ce plug est muni d’un cadenas et de bonne taille. Nous sommes remplies et notre chatte dilatée. Nous ressentons sa présence par la taille et le poids.
Maîtresse Odette nous demande si on le sent bien. Ensuite, en riant, elle nous annonce son poids:
- – »485 grammes mes chéries, vous l’avez jusqu’au coucher ».
Nous nous regardons et réalisons que nous devrons le supporter pour au moins six heures. Il s’agit d’un vrai supplice! Ma chatte dilatée ainsi se rappelle déjà à mon souvenir, et mes seins, également.
Toutes les trois, en larme, nous nous regardons et nous nous soutenons du regard. Nous savons qu’il nous faut endurer ce moment et arrêter de pleurer si nous ne voulons pas énerver Maîtresse Maryse, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Odette.
Une sonnette retentit. Maîtresse Maryse, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Odette sourit et partent toutes trois.
Des voix et des rires retentissent. Nous attendons anxieuses dans ce sous-sol. Le temps parait s’écouler au ralenti. L’attente dure une éternité pour nous.
Arrivée de trois hommes!
Après un temps qui nous parait interminable, des pas retentissent dans l’escalier. Ensuite, des voix nous parviennent mêlées à celles de nos Maîtresses. Ce sont des voix d’hommes, trois hommes exactement.
Ils rient en nous voyant exposées.
- Voici donc pourquoi nous sommes là s’écrient-ils dans un ensemble parfait.
Attachées, les menottes de poignets à celles des chevilles, nous voilà à genoux.
Sans tarder, leur sexe apparait, chacun vient vers une de nous. Nous savons ce que nous devons faire.
Je dois sucer ce pénis qui grossit un peu trop à mon goût. Cependant, je me souviens de l’an dernier et de « minus ». C’est avec application que je l’avale le suce te joue avec le gland pour l’amener à la jouissance et qu’il éjacule dans ma bouche.
A part son « pré-cum », il arrive à se retenir. je suis frustrée.
Il semble vouloir autre chose mais, le plug interdit la visite. Il revient dans ma bouche.
Je recommence à l’exciter, titiller son gland pour le rendre fou de désir. Ce que je fais bien apparemment car il ne tarde pas à m’inonder de son sperme. Je sens bien ses contractions. Je le regarde et avale son sperme.
Ma chatte se met à vivre toute seule et des spasmes de plaisir me secouent.
Maîtresse Maryse, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Odette voyant cela me cravachent pour avoir eu cette réaction sans permission.
Malgré tout ils demandent l’accès à nos chattes.
Maîtresse Maryse, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Odette se regardent, finalement ôtent nos plug. Mais nous annoncent – »après la séance ils vous seront remis ».
Visite, exceptionnelle, de ma « chatte » par un mâle!
Maîtresse Anne-Marie me précise :
- bon, c’est un anniversaire! Tu vas avoir le droit à nouveau à la visite de ta chatte. Rappelle-toi que nous acceptons, exceptionnellement, que ce mâle te prenne. En effet, normalement, tu n’as pas le droit à un vrai mâle. N’oublie pas que tu es au service des femmes, uniquement. De plus, tu dois vivre, féminisée, tout le temps.
J’allais à nouveau avoir le droit. Un nœud de plaisir me noue au ventre. Je suis comme sur un petit nuage, j’attends avec impatience la disparition de ce plug.
Maîtresse Anne-Marie ôte l’olisbos. Aussitôt ma chatte se met vivre de nouveau. Elle est prête pour la visite.
Détachée, il m’amène vers le sling m’installe dessus. Je le reprends en bouche pour une érection qui ne tarde pas je m’aperçois alors de la taille de son engin.
Une belle taille réellement au moins vingt centimètres de long mais surtout cinq à six de diamètre.
Un plaisir de le voir je pense à tout à l’heure, Je vais le sentir venir.
A nouveau, il y a un va et vient dans ma bouche. Je manque d’étouffer, mais je suis heureuse, comblée de gouter à un vrai mâle, moi qui ne suis qu’une Sissy.
Dix minutes plus tard, il vient au niveau de ma chatte. Il titille ma rosette avec son gland.
Je sens ma chatte se dilater et vouloir la visite. Lui aussi ressent mon envie mais il me fait languir. Brutalement, il me pénètre.
Même traitement pour Sissy Hortense et Sissy Michelle
Je ressens un spasme, violent, sourd de mes entrailles. Sa visite me remémore un souvenir ; vu que je n’ai eu qu’une visite depuis que je suis Sissy Aline, il y a un an.
Cette fois ci, je veux profiter de cet instant. Tout mon esprit et mon corps sont tournés vers lui et son sexe en moi.
Mon corps s’emballe, je n’ai plus aucun contrôle. Maîtresse Anne-Marie, avec son god, ce n’est rien, en comparaison de ce que je ressens à ce moment là.
Sentir vivre son pénis dans ma chatte me fait partir. Je crie de plaisir et je lui demande de me prendre à fond. En effet, je veux sentir ses bourses me frapper les fesses et le sentir en moi.
Il m’ensemence la chatte, je sens son sperme en moi. J’atteins les étoiles.
Je chavire complètement.
Je sais, maintenant, en découvrant ce plaisir là, ce que je suis. En effet, je n’étais jamais arrivée à de tels moments de plaisirs, avant.
Je suis devenue une vraie Sissy, totalement, épanouie. Le goût, dans ma bouche, ne m’écœure plus contrairement à la première fois.
J’aimerais que Maîtresse Anne-Marie ma fasse rencontrer plus souvent des vrais hommes.
Sissy Hortense et Sissy Michelle subissent le même sort et semblent heureuse, également, de ce traitement.
Mais le plug est remis, suite à cette intermède et nous devons le garder jusqu’au coucher.
Extrême bonheur pour toutes les trois!
Le soir, toutes les trois, à voix basse, nous parlons de cet après-midi. Sissy Hortense et Sissy Michelle me font la bise pour me remercier. Elles me disent:
- C’est grâce à ton anniversaire que nos Maîtresses ont invité ces trois Mâles.
Sissy Hortense me dit même :
- Cela fait presque trois ans je n’ai pas connu une telle rencontre.
Pour Sissy Michelle, elle annonce deux ans.
Nous nous dépêchons de faire le diner car ce soir c’est pour six. Nos Maîtresses semblent vouloir gouter aussi au plaisir défendu.
Une fois, le diner terminé, elles annoncent:
- Vous serez attachées aux pieds des lits. Vous devrez le mettre en forme et nettoyer notre chatte ensuite.
Attachées dans les chambres!
Comme prévu, nous sommes attachées dans les chambres. Notre plug remplacé par un autre, télécommandé.
Je m’évertue à faire bander ce sexe, le suçant, lui excitant le gland tant et si bien qu’un début d’éjaculation de sa part arrive. Maîtresse Anne-Marie est furieuse. Elle éjecte ce personnage de la chambre.
Je me mets à genoux et m’occupe de sa chatte car elle se dit frustrée, agacée par ce sous-mâle qui ne sait pas contrôler ses bas instincts, ne pensant qu’à son plaisir.
Je m’applique et je la fais vibrer et jouir tellement fort que sa cyprine inonde mon visage. En remerciement ,j’ai le droit de dormir à côté d’elle.
Avant, elle me remet le plug qui s’ouvre bien grand dans ma chatte. Elle le cadenasse. Ma chatte n’en peut plus, je jouis à nouveau, un spasme violent me secoue.
Le jour du départ
Le matin, le jour du départ, Maîtresse Anne-Marie me réveille puis elle ôte le plug. Je suis désorientée et je me sens nue sans lui. En fait, j’avais pris plaisir à l’avoir en moi.
Je me dépêche à faire ma toilette. Tout doit être prêt, dans deux heures, pour le départ.
Notre tenue à Sissy Hortense et moi doit être parfaite et identique : jupe crayon courte, chemisier transparent, soutien-gorges, culotte et porte jarretelles, le tout en rouge. Il en va de même pour les bas à couture et les chaussures.
Le Collier et les boucles d’oreille marqués Sissy sont en place ainsi que la chaine à la cheville.
A la cuisine, Sissy Michelle nous attend pour un dernier petit déjeuner à faire pour nos Maîtresses. Elle nous demande de l’excuser pour le début. Elle regrette notre départ. En effet, notre présence était pour elle une joie. Elle ne peut parler de sa condition ses espoirs qu’avec des personnes qui comprennent. Nous l’appelons, également, par son prénom car elle fait partie du groupe.
Au retour, c’est Sissy Hortense qui est choisie pour conduire. Je suis contente car si elle fait une erreur de conduite, ce sera elle qui recevra la punition.
Cependant, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse précisent que pour toute faute de conduite, nous aurons droit toutes les deux à une punition. Mon optimisme a été de courte durée.
Depuis le perron Maitresse Odette et Sissy Michelle nous disent au revoir. Il est prévu de se revoir soit ici, soit au magasin. Nous serons, toutes trois, le clou du spectacle.