Premiers contacts sur Slave Selection
Je m’appelle Pascal. J’avais vingt-cinq ans quand j’ai rencontré Véronique. Pour tout dire, mon désir pour les femmes dominatrices datait de l’adolescence. En fait, ce n’était pas qu’un fantasme, je ne pouvais bander purement et simplement qu’en imaginant devant moi une femme autoritaire. Je ne pouvais en douter. J’étais soumis jusqu’au plus profond de mon être. Je n’avais jamais hélas pu rencontrer réellement une femme dominatrice. C’est triste à avouer mais toutes mes tentatives s’étaient soldées par un échec.
Un jour par hasard, je tombai sur un nouveau site de rencontre destiné aux dominatrices qui recherchent des soumis « slave-selection ». Sans avoir trop d’espoir, je me suis inscris. Rapidement, je suis tombé sur un profil qui a exercé sur moi une véritable fascination. Elle s’appelait Véronique, elle avait tente et un an. Elle était belle, et surtout en regardant son profil, je me rendis bien compte qu’elle recherchait quelque chose de sérieux. Je lui envoyai un message le premier.
Dès le début, elle mit le ton. Quand nous discutions sur slave-selection, je devais la vouvoyer et me soumettre entièrement à ses disponibilités horaires. Je constatais avec enthousiasme que nous avions beaucoup de points communs, comme pour la poésie, pour le cinéma italien, pour la chanson française. Surtout ce qui nous unissait de manière indéfectible, c’était que moi j’étais un véritable homme soumis qui rêvait de servir ma reine depuis des années. Elle, c’était une femme qui ne rêvait que de prendre sa vie en main. C’est-à-dire de prendre seule toutes les décisions de sa vie.
Dans l’attente de la première rencontre !
Elle était faîte pour choisir son propre destin. Moi, j’étais fait pour le subir, sans rien faire d’autre qu’attendre les ordres d’une reine qui saurait où me conduire. Elle était jeune, fière et terriblement belle et surtout elle savait ce qu’elle voulait. Avant de pouvoir la rencontrer, j’avais dû passer des heures à discuter avec elle sur slave-selection durant plusieurs mois. Elle voulait un un homme véritablement soumis prêt à tout sacrifier pour vivre à ses côtés et être à son service vingt-quatre heure sur vingt-quatre et sept jours sur sept. J’étais terriblement impatient de rencontrer enfin ma maîtresse.
Cette foi, c’était décidé ! Nous allions nous rencontrer c’était sûr, un jeudi après-midi, nous avions prévu de nous rencontrer depuis une semaine. Je ne cessai d’y penser, mon zizi était perpétuellement en train de se durcir à la simple pensée que des années entières de fantasmes, de rêve, de désir allait pouvoir enfin se matérialiser, s’incarner en un être réel, en ma maîtresse. Oui ! sa voix, ses yeux, sa sévérité, tout cela allait devenir réalité.
Premier rendez-vous avec ma Maîtresse
Quand on fantasme, on n’est pas soumis car on est toujours le maître de son imaginaire. Voilà pourquoi, fantasmer et même se branler en songeant à une dominatrice est en soi une frustration terrible pour le soumis. Notre désir a pour objet le fait d’être soumis or on reste le maître et le créateur de son propre imaginaire. Voilà pourquoi, un homme ne peut se branler en pensant à une dominatrice sans être au fond de lui frustré. Il fait intervenir l’objet de son désir de manière capricieuse en fonction d’une impulsion momentanée.
Quand un soumis se branle en pensant à sa maîtresse, c’est elle qui obéit ! Un véritable soumis ne réalise sa nature profonde que devant la volonté d’une maîtresse qui sait le faire obéir et en face de laquelle il n’est qu’un objet docile. Et cela allait enfin se réaliser pour moi, c’était sûr !
J’arrivai chez elle un jeudi après-midi, terriblement excité. Je sonnai à la porte de son appartement. Quelques instants plus tard, je tombai nez-à-nez avec Véronique. Elle se trouvait être encore plus belle en vrai que sur les photographies ! Elle est grande, blonde, terriblement sûre d’elle. Ensuite, elle me fit pénétrer dans son antre et sitôt entré, elle me dit avec autorité :
- Alors, Pascal on ne salut pas sa Maîtresse ! à genoux !
Je m’exécutai sans perdre un instant.
- Lèche-moi mes chaussures, elles sont sales ! Tâche de les nettoyer au mieux avec ta langue !
Je tâchai de lécher avidement mais elle ne semblait toujours pas satisfaite :
- Ce n’est pas encore propre ! Allonge-toi !
Premier ordre pour le soumis
Je m’allongeai immédiatement, et je léchai le bas de sa chaussure qu’elle appuya contre mon visage. Jamais, je ne m’étais senti aussi faible, impuissant, totalement démuni face à l’autorité d’une femme. Pourtant, cela ne faisait que quelques minutes que je l’avais rencontrée. En quelques instants, l’homme social, respecté dans ses relations, dans son travail était purement et simplement devenu l’objet de sa Maîtresse, un toutou totalement soumis aux moindres de ses ordres. J’avais beau lécher ses chaussures et même avaler un peu de terre ou de poussière présents sur sa semelle, elle n’était jamais satisfaite, elle me trouvait « trop mou ».
Au bout d’une vingtaine de minutes, elle dut admettre que ma seule langue avait suffit à rendre ses chaussures impeccables. Ensuite, elle enleva ses chaussures et les mit dans ma bouche en appuyant son pied gauche contre ma tête. Quelques minutes plus tard, elle s’allongea sur moi et mit ses pieds contre mon visage. Je devais lécher ses pieds sans jamais m’arrêter. Seulement au bout d’une petite demi-heure, je commençai à ne plus en pouvoir, ma langue commençait à fatiguer. Cependant, à chaque foi que je commençais à faiblir, elle me donnait un furtif coup-de-pied au visage.
Au bout d’une heure, elle se leva brusquement. Je me sentis brusquement soulagé. Je n’en pouvais vraiment plus. Pourtant, je n’étais pas au bout de mes peines. Elle me fit voir le reste de son appartement qui était à vrai dire terriblement désordonné.
Le petit soumis se transforme en soubrette !
Elle me jeta alors un regard sévère et déclara :
- Et oui mon petit soumis, tu vois je suis trop fainéante pour perdre du temps à ranger mon appartement ou pour faire la vaisselle, surtout quand je sais qu’un petit homme soumis pourra s’en charger. Tiens mets-toi à poil et mets ce tablier, petite soubrette !
Je me déshabillai vite et sitôt qu’elle me vit nu, elle eut un sourire moqueur en voyant mon zizi et s’exclama :
- Même quand tu bandes, on voit bien que tu as une petite bite ! Quand elle sera enfermée dans sa petite cage, c’est moi qui déciderai quand tu bandes et quand tu ne bandes pas !
Je lui répondis timidement « oui Maîtresse » avant de finir d’enfiler mon tablier.
Je dus commencer par ranger les affaires éparpillées dans l’appartement en suivant ses instructions, ce qui me prit bien une bonne heure. Une foi le rangement terminé, elle s’allongea sur le canapé et déclara :
- Bon maintenant tu t’occupes de laver et essuyer ma vaisselle, de la poussière et tu laves le sol ! Et que ça saute, ne traîne pas !
Inspection du ménage!
Puis elle alluma la télévision et commença à m’ignorer totalement. Je bandai avidement. Je poursuivais ma tâche mais je restais distrait par mon excitation. Aussi, je faisais les choses un peu vite. Je commençai par faire la vaisselle accumulée depuis au moins plusieurs jours,
En faisant la vaisselle je prenais conscience du fait que j’étais véritablement devenu ce qui m’avait fait rêver depuis mon adolescence, un chien obéissant mis au service de sa maîtresse. Tout ce que j’étais en train de faire, je le faisais parce que ma maîtresse me l’avait demandé. Je n’étais plus maître de rien, pas même de mon propre corps. J’étais véritablement devenu moi-même, un soumis !
Au bout d’une heure et quinze minutes, tandis que j’étais en train de laver le sol, elle commença à s’impatienter:
- Bon écoute mon coco, j’espère que dans cinq minutes c’est fini !
Je me mis à finir le sol en vitesse. Tout d’un coup, je me suis rappelé d’une chose. J’avais oublié de faire la poussière sur les meubles ! Je n’avais plus la possibilité de le faire car elle se leva d’un seul coup et m’ordonna de m’agenouiller pour qu’elle puisse procéder à l’inspection de mon travail. Elle commença par regarder les couverts et constata qu’il restait une trace de doigt sur un verre. Certains couverts étaient mal essuyés mais surtout elle n’oublia pas que je devais aussi épousseter les meubles. Lorsqu’elle s’en rendit compte, pour la première foi, elle se mit véritablement en colère devant moi :
- Tu n’es même pas foutu de nettoyer la poussière sur les meubles et ce n’est pas parfaitement propre dans les coins ! Non mais pour qui tu te prends ! : me dit-elle avec un énervement visible.
- Oui Maîtresse ! : lui répondis-je.
Cravache pour le petit soumis
- Ecoute mon coco, je cherche un vrai soumis qui fait bien tout ce que je lui demande Si tu es venu juste pour t’exciter cinq minutes c’est même pas la peine de rester !
- Je vous demande pardon Maîtresse !
- Ta gueule ! Je vois que tu es un jeune soumis encore mal dressé ! C’est pourquoi je veux bien passer pour cette foi mais je vais devoir te donner une punition à la hauteur de ce que tu as fait !
Je la vis sortir une cravache d’un tiroir. Je fus pris d’un sentiment de panique !
- Bon, montre-moi ton petit cul nu et allonge-toi sur moi que je te mette une bonne fessée !
Elle commença par me frapper avec violence en utilisant sa main droite cinq où six fois. Ensuite, elle se mit à me donner un premier coup de cravache qui claqua contre la peau de mes fesses et elle ne s’arrêta plus pendant au moins huit minutes ! Chaque coup de cravache était affreusement douloureux et cette situation devenait de plus en plus insoutenable. On ne peut pas dire qu’elle cherchait à ralentir le rythme, où à m’épargner un brin de douleur au contraire. Puis, elle s’arrêta brusquement et me dit en me tapotant légèrement les fesses :
- J’ose espérer que tu as compris ce qui t’attends si tu fais mal ton travail !
- Oui Maîtresse!
Ultimatum pour le petit soumis
Après ce moment douloureux, elle me laissa une heure de tranquillité. Je pus même regarder la télévision à ses côtés, à condition de rester assis par terre. Il m’était interdit de m’asseoir sur le canapé sous aucun prétexte. Au bout d’une heure, elle m’ordonna d’aller lui chercher un verre d’eau. J’exécutai immédiatement son ordre.
- Bien soumis, tu vois que ce n’est pas difficile de faire ce qu’on t’ordonne de faire, allez masse-moi les pieds maintenant !
Je lui massai délicatement les pieds avec tendresse.
- J’aime quand tu m’obéis ! Maintenant masse-moi le dos !
Elle s’allongea délicatement sur le canapé et je dus lui masser le dos tandis qu’elle regardait la télévision. Pour le coup, je fus autorisé à monter sur le canapé. Elle commençait à s’assoupir. Ensuite, elle éteignit la télévision et nous commençâmes à discuter musique tranquillement tandis que je continuai à la masser. Au bout d’un moment, elle s’exclama avec gravité :
- Je vais aller me coucher ! Ecoute moi bien Pascal, désormais je vais te rendre un instant ta liberté. Tu peux rentrer chez toi, vaquer à tes occupations. Cependant, si tu rentres chez toi, j’exigerai de toi que tu ne revienne plus jamais me parler. Cela sera fini entre nous. Je ne voudrais plus jamais te voir ne serait-ce qu’un instant. Si tu restes dormir ici sur mon canapé toute la nuit, je veux qu’à partir de demain tu m’appartiennes et que tu voues le restant de tes jours à me servir… Ce que je te demande là ça n’est ni plus ni moins qu’une demande en mariage !
Déclaration d’amour
Je me sentis brusquement envahi d’un profond sentiment d’amour et de respect pour ma maîtresse. Je l’aimais, oui comme je n’avais jamais aimé personne ! Il y a quelques heures j’aurai pu encore douter si elle m’avait posé une question aussi grave. Cependant, à cet instant il n’était plus question de douter, oui j’étais définitivement prêt à vivre à ses côtés pour la servir. J’avais trouvé ma maîtresse, pas la maîtresse d’un fantasme, pas la maîtresse d’un instant d’émerveillement érotique mais bien la maîtresse de ma vie ! Je lui répondis alors :
- Je me refuse à choisir je vous aime Véronique, et toujours je voudrais que ce soit vous qui décidiez pour moi !
Elle me fit un large sourire et me prit dans ses bras. Nous restâmes ainsi, unis. Qu bout d’un moment, elle toucha ma bite et déclara avec verve :
- Je n’aime pas que ce petit oiseau puisse se durcir sans mon consentement, dès demain on achète une bonne cage de chasteté car désormais: tu es à moi !
ça sent le fantasme à plein nez ça
c’est clair !!!
mais c’est un beau fantasme, le genre qu’on aimerait bien vivre 🙂