Surdouée et née pour être une domina redoutable ! (2)

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domina redoutable

Proposition de soumission

Toute guillerette, elle se rechausse, et son autre pied, avide, quitte sa sandale et vient se poser sur mes genoux… (en visant toujours le même point précis, elle pourrait devenir une domina redoutable !).

– Patronne… serviteur… Madame Louise, cognac ou pas, plus belle femme du monde ou non, je vous assure, je suis prêt à me mettre entièrement à vos ordres. Mais carrément comme un esclave, sur lequel sa Maîtresse a tous les droits.
Vous n’avez jamais dominé totalement ? Imposé à votre partenaire ce qui vraiment vous fait vibrer ? Vous avez devant vous, à vos pieds, l’esclave qu’il vous faut.
Je suis docile et je comprendrai vite ces fantasmes qui pourront vous amener à la jouissance.
Si j’exécute mal vos ordres, vous n’avez qu’à me punir, ce sera pour moi un réel plaisir et vous verrez que
faire souffrir un mâle à genoux, le piétiner, le gifler… ça vous « chauffera le ventre », beaucoup plus que quelques biceps moulés dans un T-shirt !

– AHAHAHAHAHAHAAAAA, je n’y crois pas : tu aimes être comme ça ? Un larbin obéissant au doigt et à l’œil ? Un esclave ? Tu te moques !
Qu’est-ce qui me prouve que tu ne vas pas me violer, abuser de moi ?

– Maîtresse, attachez-moi les mains dans le dos, j’ai une corde solide. Cachez mes fringues et mon portefeuille, je ne sais pas… appelez une amie ! Mais vous verrez vite que c’est inutile, je suis d’une certaine manière en votre pouvoir, un peu comme vous l’avez dit : amoureux.

Refus de Madame Louise

– Une amie ? Ma voisine m’a dit qu’elle avait eu une expérience sado-maso. Un type lui a tendu un fouet pour qu’elle le batte. Elle s’en foutait, du mec, et elle l’a fait !

Et bien elle dit avoir ressenti du plaisir à l’entendre crier ! Elle l’a même bâillonné à cause des voisins. Du coup, elle frappait de toutes ses forces pour le voir se crisper de douleur…

Dingue, non ? Pour moi, elle est malade, ahahaha ! Linda… marrante, mais tarée.
Alors toi aussi, tu fais partie de ces fous, mais de l’autre côté ? T’ES COMPLETEMENT CON, OU QUOI ? Grrrr, pervers, masochiste ! Tiens, tu m’énerves, là !… CASSE-TOI, tu m’énerves tellement que je vais te cracher au visage.

– Ooooh, si vous faites ça !…

– SI JE FAIS ÇA QUOI ? TU NE JOUES PLUS, HEIN ? TU VEUX que je reste là, à écouter tes histoires de psychopathe ?

– Mais… mais… mais je ne joue pas, Maîtresse…

– « MAIS » ? TU RÉPONDS « MAIS » à ta Maîtresse ?
Y’a pas de « mais » ! TIENS, sale porc ! SCHLIKTT ! 

Louise me crache sur la figure puis éclate de rire.

Ahahaha, non, Jean-Louis, je crois que je ne peux pas, excusez-moi, ce n’est pas naturel chez moi, j’ai l’impression de jouer mal une mauvaise pièce !

– Maîtresse, continuez, je vous en supplie. C’est ce jeu, ridicule pour l’instant, qui vous excitera par la suite, quand ce ne sera plus un jeu ! Quant à votre crachat…

Première gifle

Je m’essuie le visage avec le revers de la main et lèche lentement le crachat de Louise en la remerciant des yeux…

MERCI, Maîtresse ! J’en accepterai des dizaines, de votre bouche de Reine, c’est du miel.

Et votre indignation méprisante est un autre délice, vous êtes très douée pour dominer !

Où et quand vous voulez, attaché ou non, essayez moi, avec ou sans votre voisine… Faites-vous plaisir, simulez, jouez ou libérez justes vos envies cachées pas toujours avouables… Les hommes sont méprisables, des chiens : moi, je ne fais que l’assumer, donc allez-y franco, abusez de moi !

Avez-vous déjà giflé un homme en sachant qu’il ne répliquera pas ? Qu’il vous dira « Merci Maîtresse » ? Imaginez-vous que sa récompense pour avoir fait la vaisselle sera d’être fouetté jusqu’au sang,  juste pour faire l’expérience de tout inverser ?

Tout simplement, vous qui êtes la sensualité-même, essayez d’entrer dans le jeu par le plaisir, la jouissance : je ferai tout ce que vous m’ordonnerez pour vous procurer les orgasmes les plus fantastiques, car c’est le spectacle dont j’ai toujours rêvé.

– ÇA SUFFIT ! SCHLLACKK ! 

Louise me gifle… puis constatant les regards des gens autour de nous, se remet à rire et me caresse la joue. Elle confirme que c’est une plaisanterie :

Ce type est fou ! AHAHAHA, tu me fais rire, Jean-Louis, tu es complètement fou !

Je murmure : – fou de vous, Maîtresse, de vous, de vous faire découvrir les plaisirs de la domination… si je n’étais pas votre esclave, je vérifierai votre excitation comme vous l’avez fait pour mon érection… je suis sûr que cette gifle vous a fait mouiller autant qu’elle m’a fait bander…

– SCHLLACKK !!…  

Deuxième gifle

Une deuxième gifle cingle, masquée tout de suite par le même rire un peu forcé.

Elle murmure en réponse : – c’est vrai, et je crois même que ça traverse mon jean…
et bien paye, esclave, ahaha… et surtout rejoins-moi aux toilettes pour dames, qu’on joue la pièce à huis clos…

Louise se lève et demande où sont les toilettes. Je crois tomber dans les pommes : je vais lécher cette pure merveille, elle va jouir dans ma bouche ! Arrivé devant la porte, je frappe doucement.

– Entre, c’est ouvert. Sa voix est timide, mal assurée, presque tremblante.

Louise a juste baissé son jean au niveau des genoux. Je referme la porte sans la verrouiller pour ne pas effaroucher Louise… Elle ne sait pas quoi dire :

– Euh, comment on fait, Jean-Louis, tu… tu veux que je te suce ?

– Je ne m’attendais pas à ça, Maîtresse. Vous ne préférez pas un cunnilingus ?

Moi, votre odeur me saoule, me rend fou, laissez-moi me mettre à genoux devant votre chatte et la lécher comme je viens de le faire à vos pieds… je vous en prie… je suis votre esclave, vous dominez, profitez, appréciez !

– Humm, le cunnilingus, chez le mâle dominant… très rare… si je te disais que je n’ai jamais joui comme ça ? Certains le font par politesse, trente secondes… ça m’énerve !

Ah oui, c’est vrai, j’oubliais, tu es à mes ordres. J’ai vraiment du mal à m’adapter à ce jeu de rôles…

Vas-y, alors ! À genoux ! Prosterne-toi devant moi, que « j’apprécie » ce que ça me fait !

T’as aimé mon crachat ? Moi j’ai apprécié ta tête pleine de salive, tout honteux, et quand tu léchais ta main comme un animal reconnaissant…

Tiens, tiens, et tiens, petit esclave ! Refais-moi ça, je te l’ordonne, ahahaha !

Fou de désir pour cette domina redoutable

De là-haut, elle me crache dessus, plusieurs fois, certains crachats m’arrivent directement dans la bouche… un rêve, un nectar, le goût intense de sa suprématie. D’autres grosses gouttes de salive blanche dégoulinent le long du petit triangle de poils crépus qui orne son mont de Vénus.

Je les lèche lentement, en la fixant d’un regard de chien soumis plein de gratitude…

Elle m’observe, ne rit plus du tout. Son regard est perdu, presque inquiet… Elle doit s’étonner d’être capable de faire ça…

Soudain, elle agrippe ses seins et les presse en haletant, puis renverse la tête en arrière contre le mur en gémissant.

Fou de désir, affolé par l’odeur puissante de sexe qu’elle dégage, je lèche avidement son sexe aux lèvres noires, brûlantes, gonflées mais collées… et quand ma langue s’insinue en bas, par l’ouverture magique, un petit flot de cyprine chaude et acide s’en échappe, emplissant presque ma bouche de son délice musqué.
Un homme qui n’a pas la passion du vagin, le goût des sécrétions féminines, dirait que « ça pue »… Sans parler des propos racistes sur le sexe des africaines.

Madame Louise jouit !

Moi, je n’en laisse pas une goutte, je me régale de la sauce qui remplit l’entrée du vagin, antichambre de ce monument de la féminité…
Je déguste de même sa sueur musquée, couvrant sa peau tout autour du sexe, jusqu’aux plis des cuisses…

Les petites lèvres ont aussi dégagé son minuscule clitoris rose presque blanc, je plonge mon nez dans la chatte et le remonte lentement…. dès qu’il entre en contact avec le petit organe magique, les mains de Louise, en train de presser ses seins à les faire éclater, descendent brusquement pousser ma tête contre.

Glissant entre les pages roses ourlées de noir, je remonte et j’ouvre la bouche pour l’embrasser, l’aspirer…

Alternant avec de grands passages dans la fente délicieusement humide, ma langue vient le titiller, jouer avec le capuchon pendant qu’un de mes doigts pénètre et cherche la zone la plus sensible à l’entrée du vagin.

Mon Dieu ! Je l’ai trouvée tout de suite ?

Elle m’avait dit qu’elle était chaude bouillante, son orgasme arrive comme prévu, presque immédiatement :

Un spasme violent, et Maîtresse Louise se raidit tout d’un bloc.
Elle jouit en m’écrasant littéralement. Avec toute la force de ses deux mains, elle frappe convulsivement ma tête entre ses cuisses .

AAAAaaaaahhhhh… OUI… OUI… BOUFFE MOiii ! fait jouir ta Maîtresse, esclave ! RRrrrrhaaaaa….

Un halètement contenu… dans un cri étouffé, rauque, grave, comme une douleur !

Suivi d’un halètement, immobile… bouche ouverte sur un gémissement, elle en bave… je capte la longue glaire de salive qui descend. Elle est d’un goût différent… pour elle, le goût de l’orgasme… pour moi, le goût d’un amour qui commence, très fort.

Je savoure longtemps cet amour, j’en tapisse mes joues et mon palais, le caresse de la langue avant de le laisser couler en moi…

Madame Louise, domina redoutable !

Reprenant ses esprits, et découvrant ce type en train d’avaler sa bave, Louise éclate de rire ! Un rire formidable, son charme immense.

Elle est sonnée, surprise, semble ne pas croire à ce qu’il lui arrive, mais elle rit…

Et reprend le dessus, me regarde de haut, pouffe, frotte sa touffe, frotte frotte touffe-touffe sur mon nez en se moquant, hilare… puis imite la voix et la posture d’une Reine victorieuse :

– Alors, esclave Jean-Louis, c’est décidé, j’essaie la domination. Tu m’appartiens? Tu vas me suivre chez moi, tu vas m’obéir et me faire jouir de toutes les manières que je t’ordonnerai. Pendant toute la nuit et plus si affinités, ahahaha !

Et gare à toi si tu rates une seule des jouissances ordonnées par ta Maîtresse ! Je n’ai pas encore essayé les punitions, esclave de ma chatte, AHAHAHAHA !

Cette femme est douée, elle deviendra sous peu une domina redoutable… je vais en baver ! (à mon tour, éhéhé…)

(à suivre)…

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