La punition.
Dans la première partie de mon récit, les maîtresses ont voulu m’éduquer pour que je devienne une vraie danseuse de cabaret et ceci devant la caméra. Elles ont mené le jeu, chacune canne anglaise en main, accompagnant les brimades de la canne. Elles prenaient un malin plaisir à soulever le jupon et asséner un coup de cette barre fine mais si sévère en travers de mes fesses. Je me suis appliqué pour jouer le rôle. Malgré les coups et les brimades, la difficulté de marcher sur ces talons hauts et si fins, je me sentais bien dans cette robe de satin rose. Elle était belle cette robe, bien scintillante, bien en forme grâce au jupon en frous frous. A la fin de cette partie, je me sentais vraiment devenu femme, call girl de luxe. La magie des maîtresses dominatrices : transformer un simple garçon en catin de luxe comme elles disent. Oui, elles ont l’art de la transformation, l’art de créer le rêve, de le rendre réel pour qui vient à leur service.
Mais voilà, cette première partie du scénario est terminée. Maintenant, c’est l’heure de la punition. La caméra a arrêté de tourner le temps de changer de place. Me voilà, entièrement nu, la cagoule de latex portant le maquillage est retirée par les maîtresses pour être remplacée par la cagoule de cuir épais. Elle est serrée d’une main experte et déterminée. J’ai la tête bien serrée, pas de trou pour la bouche, seulement 2 petits trous pour les narines, la respiration s’en trouve freinée, 2 petits trous pour les yeux, la vue est des plus réduites. Cela change du tout au tout, mais quand on est soumis, on est obligé de s’adapter dans un temps record. Mais avec l’habitude, cela n’est pas difficile.
Pour la suite du scénario de cette vidéo SM, elles ont prévu d’utiliser le chevalet, cet appareil qui ressemble à un appareil de salle de gym. Une poutre en bois recouverte d’une bonne épaisseur de cuir noir, posée sur 4 pieds en biais, en bas de chaque pied un anneau. A la différence que l’on ne l’utilise pas dans la longueur, mais à la perpendiculaire. De la main elles me placent devant, la barre recouverte de cuir touche mon bas ventre, je plonge la tête vers l’avant, les bras bien tendus vers l’avant. Me voilà suspendu par le ventre, les mains et la tête pendant dans le vide d’un côté, et les jambes pendant dans le vide de l’autre côté. Comme je suis en place le photographe crie action, la caméra recommence à tourner, les maîtresses entrent dans le scénario en plaçant les bracelets de cuir à mes chevilles et poignets qu’elles relient aux anneaux du chevalet par des maillons rapides. Me voilà attaché bien serré, la tête en bas, les fesses nues bien à l’horizontale sur la poutre. Les maîtresses peuvent taper dessus, elles ne risquent pas se dérober. Et elles vont frapper, et frapper encore et encore et sans arrêt. Les coups pleuvent secs, rapides, je sens mes fesses chauffer, rougir, elles ont eu droit à canne anglaise, cravache, paddle. C’est long, ça dure, mais il faut endurer. C’est pour le plaisir des maîtresses, pour le plaisir des internautes. J’endure, car là pas de trucage possible.
Enfin tout s’arrête, combien de temps ainsi ? Aucune idée, en scénario, on perd la notion du temps. Mais il faut bien avouer que lorsque l’on souffre c’est quand même long. Je suis libéré des attaches, de la cagoule, la lumière me fait mal aux yeux, je me sens un peu vaseux. Les maîtresses ne disent rien mais à leur sourire, je comprends qu’elles sont satisfaites.
Elles se débarrassent de leurs cuissardes, corsets, combinaisons de latex, qui maintenant jonchent le sol, privilège de maîtresse, passent à la douche et ensuite à la collation. Comme j’ai été bon dans le rôle j’ai ma place à table, les actrices, l’acteur, le photographe, autour de cette table pas de différence, l’instant d’un repas, pas de maîtresse, pas de soumis, simplement la satisfaction d’avoir fait un bon travail d’équipe. Pour cette collation, tout comme les maîtresses, j’ai repris ma tenue de ville.
Après ce repas rapide, je reprends ma place de soumis en faisant la vaisselle. Ensuite, pendant que le photographe range son matériel, je ramasse les vêtements qui jonchent le sol. Je mets la robe de satin rose et le jupon à frous-frous dans la corbeille à linge, ainsi fini le rêve. Je lave rapidement le latex, le suspends, demain quand il sera sec un autre soumis l’imprègnera du produit spécial pour le latex. Je repasse du cirage sur les cuissardes avant de les suspendre à leur emplacement.
Ensuite, pendant que les maîtresses ont droit à une prévisualisation brute avant montage de la vidéo SM, je continue à ranger, nettoyer le donjon. Dans un donjon, toujours quelque chose à faire. Maîtresse F passe, repasse, inspecte et dit « c’est bon ». C’est là la permission d’arrêter ma journée de soumis, elle a le sourire, c’est que la vidéo a l’air de lui plaire.
Quelques jours plus tard un coup de téléphone me prévient que la vidéo est en ligne. Le scénario est en ligne tel que prévu, l’internaute n’y verra que du rêve. Il verra 2 maîtresses, canne anglaise en main, apprenant à une sissy à devenir une call girl de luxe, il y verra qu’un simple garçon peut être une vraie femme de cabaret et qu’un garçon peut aussi faire un strip tease comme une vraie femme. Ensuite il verra la punition, appréciera les coups portés par les maîtresses, n’imaginera pas toute la journée de travail que le soumis a vécu.
Moi je le sais, je vous ai fait vivre une vidéo SM de l’intérieur, des coulisses à la scène. Est-ce intéressant ? Est-ce gratifiant ? Je réponds oui, des vidéos, j’en ai fait d’autres, j’en ferai d’autres.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là et connaîtra un rebondissement quelques mois plus tard, et je serai contraint de faire à nouveau un strip tease pour les maîtresses dans d’autres circonstances. Sous leur domination j’ai réalisé le scénario qu’elles imaginaient, elles savent bien que le rôle est difficile pour un garçon, et j’ai réussi et elles en sont heureuses. Alors elles exigeront qu’un soir je recommence le scénario lors d’une sortie en club SM. Je vous raconterai dans quelques jours.