Alain n’eut pas le temps de réfléchir à comment il avait pu se laisser enfermé dans le placard de la cuisine par Virginie, qui semblait s’être transformée en une dominatrice sévère en un claquement de doigts. En effet, quelques minutes plus tard, Alain put entendre quelqu’un sonner. Ensuite, il put entendre une voix d’homme.
Virginie était dans le salon avec son amant. Ils s’installèrent sur le canapé.
Alain les entendait discuter puis au bout d’un moment ce fut le silence. Alain était dans une position inconfortable et commençait à trouver le temps long. Il ne pouvait pratiquement pas bouger d’autant plus qu’il avait peur de faire du bruit et il ne voulait pas que cet homme le voit, ainsi, nu sous l’évier.
Au bout d’un certain temps le couple sembla prendre du plaisir. Alain entendait les gémissements de plaisir de Virginie et les râles de son amant. ils firent bruyamment l’amour, prenant leur temps.
Au bout d’une heure, Virginie se mit à jouir bruyamment. Puis le silence se fit à nouveau. Alain se dit qu’ils étaient passés dans la chambre. Il n’entendait presque plus rien.
La nuit fut longue et Alain ne put trouver le sommeil du fait de sa position sans parler de sa nervosité liée à toute cette soirée qu’il venait de vivre et qui était forte en émotions. Sa position ne manqua pas de créer différentes douleurs en plus de la fatigue. Dans la nuit, il eut une très forte envie d’uriner et passa énormément de temps à faire glisser son sexe par l’ouverture de la bouteille pour enfin se soulager en faisant bien attention.
Les heures passèrent jusqu’au matin. Alain dut attendre encore plusieurs heures avant d’enfin entendre du bruit.
Enfin libéré le lendemain matin!
Virginie venait de se lever et passa dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner. Elle prit son temps. Ensuite, elle quitta la cuisine pour la salle de bain et prit une longue douche. Elle choisit minutieusement sa tenue: Un pantalon noir moulant, un chemisier blanc avec un joli décolleté et une paire de bottes noires au bout pointu et des talons fins.
Il était environ 10h quand elle ouvrit enfin le placard après avoir retiré la ficelle des poignets.
- Sors de là!, ordonna Virginie.
Alain mit un certain temps à s’extirper du placard. Il était épuisé et courbaturé. La douleur et la fatigue le faisaient se cogner et il finit par se tenir à 4 pattes devant elle avec difficulté.
- A genoux!, dit-elle
Il se mit à genoux et attendit. Elle se tenait devant lui, les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartées avec un léger sourire sur son visage.
Alain n’arrivait plus à penser.
- Je t’ai préparé ton petit déjeuner, dit-elle alors avec douceur.
Alain fut surpris.
Elle enfila une paire de gants en cuir noir et prit une boîte sur la table. C’était une petite boîte en carton. Elle ouvrit la boîte devant lui. Alain put distinguer un préservatif usagé à l’intérieur.
- Prends-le!, dit-elle.
Alain regarda le préservatif qui lui inspirait le dégout. Il pouvait sentir l’odeur du sperme.
- Vais-je devoir me fâcher ?, demanda-t-elle menaçante.
Alain prit le préservatif du bout des doigts et le tint ainsi devant lui.
- Bien, dit-elle. Maintenant vide son contenu au sol entre mes bottes et qu’il n’en reste pas une goutte à l’intérieur.
Obligé de lécher le sperme de l’amant de Virginie…
En même temps Virginie s’empara d’une cravache posée, également, sur la table.
Alain fit couler le sperme entre ses bottes au sol. Il racla le préservatif de ses doigts pour en faire sortir tout le contenu.
- C’est très bien, dit-elle. Remets le dans la boîte.
Il déposa le préservatif dans la boîte qu’elle referma et posa sur la table.
- Très bien, dit-elle en souriant.
Elle faisait claquer sa cravache dans sa main gantée de cuir.
- Maintenant rampe!, ordonna-t-elle.
Alain s’allongea sur le ventre. Son visage était proche de la flaque de sperme entre les bottes de Virginie.
- Nettoie moi ça, dit-elle. Avale tout et qu’il n’en reste pas une trace.
Alain s’approcha du sperme. Il pouvait entendre le bruit du cuir tandis que Virginie bougeait légèrement ses pieds dans ses bottes. Le dégout et l’excitation de l’humiliation l’envahissait. Il ne savait plus quoi faire. Il restait sans bouger, le visage juste au dessus du sperme. Un coup cinglant de cravache le ramena à la réalité. Il sentir la brulure intense sur ses fesses. Il poussa un cri de douleur.
- Lèche, dit elle sèchement.
Un autre coup de cravache retentit sur ses fesses, plus fort cette fois.
Alain était dans tous ces états. Il n’arrivait pas à se résoudre à obéir. Rien que l’odeur de ce sperme lui soulevait le coeur.
Virginie leva le pied et écrasa sa main qui était au sol. La douleur fut très intense et Alain pousser un cri.
– Pitié, cria-t-il.
– Lèche, répéta-t-elle en donnant plusieurs coups de cravache sur ses fesses et sur son dos.
…sous les coups de cravache de cette dernière!
Le talon de sa botte appuyait encore sur sa main.
Il finit pas obéir et plongea sa langue au sol pour nettoyer le sperme. Il avala le plus rapidement possible pour ne pas avoir à le gouter tant cela le répugnait. virginie continuait à le cravachait tandis qu’il se dépêchait de tout nettoyer.
Finalement il termina de lécher le sol débarrassé du sperme qu’il venait d’avaler. il n’y avait plus une goutte mais Alain continuait de lécher tandis que Virginie le cravacher durement. Elle s’arrêta.
- Pousse-toi que je vérifie dit-elle.
Alain recula pour lui laisser la place. Il sentait encore les brulures sur son dos et sur ses fesses. Son excitation était très forte et son sexe était tendu.
Virginie regarda le sol et fut satisfaite.
- C’est bien, dit-elle. Maintenant à 4 pattes dans le salon.
Alain se mit à 4 pattes et se dirigea vers le salon. Virginie lui donna un coup de pied aux fesses ce qui provoqua une forte douleur et il se précipita dans le salon.
Virginie s’approcha lentement.
- Mets toi sur le dos.
Alain s’exécuta rapidement et s’allongea sur le dos, son sexe tendu au maximum. Virginie se mit à rire en voyant son sexe. Elle posa sa semelle dessus? le talon appuyant sur ses boules.
- Je suis impressionnée, dit-elle. Moi qui pensais qu’il te restait un peu de dignité, de fierté, voire même de virilité. Tu viens de confirmer que tu n’as rien de tout cela. Tu n’es pas un homme, tu es une larve et ton but est d’obéir.
Elle appuya légèrement sur son sexe.
- Tu oses me montrer ça alors que tu n’en es pas digne ? Alors que tu n’es pas un homme ?
Totalement contrôlé par Virginie, transformée en Dominatrice sévère!
Elle bougea sa semelle sur son sexe pour l’exciter.
- Regarde comme il est facile pour moi de te contrôler…. Sache que c’est un honneur pour toi d’avoir avalé ce sperme. Le sperme d’un homme viril. C’est ton rôle de faire ce genre de chose. Je vais t’aider à être toi même, à exprimer ta vraie nature, celle d’un esclave.
Elle retira sa semelle de son sexe.
- Dorénavant, tu m’appelleras « Maître » en toutes circonstances. Pas « Maîtresse » mais bien « Maître » car je te suis supérieur et tu n’es plus qu’une chose à mes yeux. Une chose dont je dispose. Cela te rappellera ta condition d’être inférieur, de chien obéissant à son Maître….
Alain était encore plus excité.
- Oui Maître, dit-il. Merci Maître.
- Bien! Il est temps de prendre ta douche. Nous allons sortir faire du shopping.Va dans la salle de bain et attends moi dans la baignoire.
- Oui Maître.
Alain se mit à 4 pattes et se dépêcha d’aller dans la salle de bain puis s’installa dans la baignoire. Virginie entra quelques minutes plus tard. Elle ouvrit uniquement le robinet d’eau froide et aspergea Alain. L’eau était glaciale et Alain ne put s’empêcher de bouger dans tous les sens.
Virginie tendit alors la cravache tout en continuant de l’asperger.
Encore plus de fermeté dans le dressage d’Alain!
Le premier coup claqua violemment sur la peau d’Alain, laissant immédiatement une trace rouge.
- Plus tu gigotes et plus tu subiras, dit Virginie en assénant le deuxième coup de cravache.
Elle le cravacha ainsi pendant plus d’une minute. Alain était couvert de traces rouges et souffrait terriblement. Il criait plus fort à chaque coup.
Virginie coupa alors l’eau. Alain était recroquevillé dans la baignoire et il pleurait. Virginie posa son pied au bord de la baignoire.
- Je veux bien entendre tes cris mais je ne supporterai pas de t’entendre gémir et pleurer ainsi, dit-elle froidement. Tu es faible et inférieur, mais cela ne te donne pas l’autorisation de me déranger en pleurant ainsi.
- Pardon Mâitre, dit Alain tentant de se ressaisir.
- Tu dois me remercier au contraire, dit-elle. C’est un honneur pour toi d’être dressé par moi et j’attends que tu me montres à quel point tu es reconnaissant.
Alain se redressa péniblement.
- Et ne me fais pas attendre, dit-elle. Cela ne fait que me montrer que ton dressage nécessite plus de fermeté.
Voyant son pied au bord de la baignoire, il se précipita pour l’embrasser.
- Je vous remercie Maître pour cet honneur, dit-il.
Virginie le regardait en souriant.
- Termine de te préparer tout seul, dit-elle. Et je veux que tu sois impeccable.
Puis elle sortit de la salle de bain et referma la porte derrière elle.
Shopping dans une boutique spécialisée dans les articles BDSM
Le shopping se fit en deux étapes. Tout d’abord pour Virginie dans des grands magasins de marque pour acheter des vêtements, une paire de gants longs en cuir ainsi qu’une paire de genouillères de marques en cuir également. Alain n’eut bien sûr pas voix au chapitre si ce n’est celui de payer et de porter les sacs. Tout se passait normalement et personne ne faisait attention à eux. Alain prit du plaisir à regarder Virginie essayer différentes tenues, la plupart très élégantes et certaines très excitantes.
Pour la deuxième étape, ils allèrent dans une boutique spécialisée dans les articles BDSM. Cette partie concernait Alain. Virginie lui sélectionna plusieurs cages de chasteté, un collier en cuir avec une laisse assortie, une cravache longue et une autre de taille moyenne, un fouet en cuir, un gode de bonne taille et vibrant, une cagoule en cuir et enfin un bâillon boule. Finalement elle se décida à prendre un short en cuir moulant qu’elle fit essayer à Alain. Le short le serrait et Virginie estima qu’il était à la bonne taille. Il repartirent ensuite à l’appartement de Virginie.
Alain se sentait presque normal et voyait le côté positif de cette relation étrange qui se dessinait. En revanche il ne savait plus trop quoi penser de Virginie et ce qui la poussait à être cette dominatrice sévère alors qu’auparavant il n’avait jamais décelé ce caractère chez elle.
A suivre
Puis je espérer un jour que mon texte »soubrette male » soit publié un jour? Ça fait presque un an qu’il est en attente,si vous ne voulez pas publier des textes trop anciens dites le tout de suite
Mais quelle est la motivation de Virginie.
Alain doit comprendre
J’ai hâte de lire la suite de son asservissement
Merci
Très intrigué 🤔 comment être à vos pieds maîtresse …