Parcours de soumis (1)

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À la maison, dès ma petite enfance, mes yeux et mes oreilles étaient subjugués par les femmes de caractère qui m’entouraient, ma mère, une tante envahissante et surtout ma nourrice. Enfant timide et réservé, contrairement à mon grand frère turbulent, j’étais le chouchou à la tête d’ange que les femmes à l’école et à la maison couvraient d’attentions. Entre deux rêveries, le jeune soumis que j’étais, les regardait et les écoutait, fasciné par leur grâce, leur beauté et leur élégance. En fait, je les admirais.

Mes premiers souvenirs de réelle excitation et d’érection sont très tardifs, je devais déjà avoir onze ou douze ans. Je me rappelle que j’imaginais une fille plus âgée que moi et très belle me lancer des défis, me donner des gages et me faire du chantage. À chaque rentrée des classes, je tombais amoureux de la fille la plus inaccessible et populaire de l’école; celle à qui j’osais à peine adresser quelques mots lorsque j’y étais contraint.

Et puis à l’âge de 13 ans, j’ai timidement invité une très jolie fille à sortir avec moi. Nous nous sommes embrassés maladroitement et j’ai appris le lendemain qu’elle était amoureuse d’un garçon qu’elle essayait de rendre jaloux. Je compris alors que les filles étaient de redoutables manipulatrices et j’avais encore plus peur d’elles. Quelques flirts épisodiques et sans importance se sont succédés mais c’était lorsque je me retrouvais seul que je prenais du plaisir. Je m’imaginais à genoux, en train d’embrasser les pieds d’une fille et de lui obéir au doigt et à l’œil. Je jouissais, très rapidement, quand je me masturbais et je le faisais, souvent plusieurs fois par jour surtout et ce grâce à internet. En effet, je parcourais les sites de Maîtresses professionnelles et je rêvais d’être à leurs pieds.

 

Première relation en tant que soumis mais virtuelle!

 

Cependant, comme j’étais trop introverti et désabusé, je me réfugiais dans un groupe d’amis exclusivement masculins et je me laissais aller à une adolescence plutôt chaotique, en masquant le plus possible ma nature soumise. Ce n’est qu’à l’âge de 20 ans qu’une fille très tourmentée se glissa maladroitement dans mon lit. Ce fut un échec complet car elle aussi était très soumise mais elle m’offrit de la tendresse et ça avait beaucoup de valeurs à mes yeux.

Je suis rapidement tombé amoureux d’elle, ce qui a eu pour effet d’accroître mon désespoir et ma mélancolie. Les années passèrent et je fantasmais toujours autant mais rien ne se passait. J’étais puceau et j’étais complexé par la taille de mon sexe. À partir de 25 ans, je consultai des annonces de jeunes femmes dominantes et envoyai des messages afin de devenir leur soumis. L’une d’entre elles, devint ma Maîtresse pendant un an environ entre 26 et 27 ans mais ni l’un ni l’autre ne pouvant recevoir, cette première relation fût essentiellement virtuelle. C’était une grande métisse très fine aux yeux verts. Elle était plutôt angélique mais elle était joueuse et elle prenait plaisir à m’humilier toujours un peu plus.

Au début, elle m’ humilia avec une de ses amies en se moquant de la taille de mon sexe puis très rapidement elle me demanda de me féminiser. Elle m’interdit de me masturber sans son autorisation et lorsque je lui apportais un café à sa pause déjeuner, elle m’obligeait embrasser ses chaussures ou ses pieds, me donnait quelques gifles et m’humiliait verbalement. Elle m’ordonnait d’acheter des sextoys et me choisissait, elle-même, mes sous-vêtements de salope. Les photos et vidéos que je lui envoyais étaient, de plus en plus humiliantes. Je nettoyais ma semence avec ma langue après avoir joui ou bien je me pénétrais dans les positions les plus suggestives. Je vivais enfin ma sexualité de façon plus assumée même si le virtuel se révéla vite inadapté à mon désir de soumission qui devenait de plus en plus obsessionnel.

 

Rencontre avec ma Maîtresse

 

J’accentuai mes recherches sur différents sites internet mais je ne tombais que sur des dominantes vénales ou virtuelles. Jusqu’au jour où sur un nouveau site, je découvre des femmes passionnées qui ne mettent pas la domination financière au centre de leurs relations SM. Très rapidement, une femme dominatrice se faisant appeler Calliope porte son attention sur ma personne. Rapidement, nous échangeons par téléphone. Ensuite, malgré la distance, je me décide de prendre le train pour vivre enfin une vraie séance de soumission.

Lorsque je rentre chez elle, je la découvre, assise sur un fauteuil, esquissant un sourire et les yeux étincelants. À genoux et nu devant elle, je réponds à ses questions et je me délecte de sa beauté. Je me sens comme un enfant quand elle s’approche de moi pour me serrer contre elle. Et là, je réalise que j’ai attendu ce moment depuis toujours. Elle joue avec moi puis elle m’enferme dans une cage pour la nuit. Enfin, elle va se coucher dans sa chambre. Au milieu de la nuit, elle vient me chercher, et elle m’invite, ainsi, à la rejoindre dans son lit. Cette nuit là, je perds enfin mon pucelage, de façon plus que maladroite, mais fort heureusement, guidée par celle qui deviendra ma Maîtresse.

 

soumis

Arrivée d’un autre soumis dans notre relation

 

Lorsque je viens chez elle, je m’occupe des tâches ménagères parfois en tenue de soubrette. Ainsi, je sers Maîtresse au lit et on joue un peu le soir. Ou plutôt elle joue, avec sa cravache, son gode ceinture, des plugs, etc… Et elle me fait porter une cage de chasteté.  J’adore cette sensation de me sentir lui appartenir, être sous son contrôle et devoir être aux petits soins pour espérer une éventuelle libération. Je suis excité en permanence et j’inonde sa messagerie de photographies et de dessins mettant en scène des soumis sous le joug de leur Maîtresse.

Au bout de quelques mois, un nouveau soumis apparaît et on devient tous les trois très complices. Maîtresse prend un malin plaisir à nous faire nous embrasser pour nous humilier.

L’idée de ramener un homme à la maison pour qu’il me baise excite ma Maîtresse et elle se délecte de ma gêne lorsque le sujet est évoqué. Cela fait déjà un moment que je regarde des vidéos dans lesquelles la Maîtresse cocufie son mari soumis devant lui et le contraint à servir son amant mais je n’ose pas encore avouer que ça me fait fantasmer. Pourtant je suis excité au plus haut point lorsque je m’imagine devenir la soubrette et l’esclave sexuelle de ma Maîtresse et de son amant.

Première fois en tant que soumis d’un homme!

 

Je commence petit à petit à regarder discrètement les annonces d’hommes recherchant des lopettes soumises à utiliser. Un jour, je décide de faire une surprise à ma Maîtresse adorée en franchissant le cap. Je me rends chez un homme et je préviens ma Maîtresse, au dernier moment pour lui dire qu’elle va, bientôt, recevoir des photos de sa petite catin dévergondée en train de donner du plaisir à un homme.

En fait, je suis stressé comme jamais, mais une fois à genoux et avec son sexe devant ma bouche, l’excitation reprend le dessus. Je m’en donne à cœur joie. Ainsi, je le suce comme une bonne petite salope en manque pendant qu’il prend des photographies de moi. Ensuite, il m’arrête pour me faire mettre à quatre pattes, me donner quelques fessées et pour me sauter. Cependant mon petit cul de pucelle est trop étroit pour son viril apparat. Il utilise, donc, de nouveau, ma bouche de petite chienne soumise pour se donner du plaisir jusqu’à jouir sur mon visage.

Je suis très excité de m’être offerte, de cette façon, et d’avoir satisfait ma Maîtresse avec des photos et des vidéos alors j’oriente mes recherches vers des hommes plus attirants.

Je passe donc la nuit chez un homme noir musclé et bien membré qui m’utilise en tant qu’esclave sexuel. Ainsi, je suis féminisé et je le suce pendant de longs moments. Je dois lui lécher les parties intimes ou les tétons. Enfin, il me fait faire des essayages et me donne des claques sur les fesses.

 

Rendez-vous manqué avec un couple de dominateur/dominatrice

Après y être retourné plusieurs fois, je tombe sur une annonce d’un jeune couple dominateur/dominatrice qui propose des séances hors de prix. Leur faisant part de mon incapacité à payer des séances aussi chères, je leur envoie mes plus belles photos et je leur propose de me prostituer afin de satisfaire leurs exigences pécuniaires. Rapidement, ils acceptent et me font venir chez eux, ils sont tous les deux très beaux, hautains et méprisants.

Ils me font porter une perruque blonde et me traite comme la dernière des putes. J’embrasse et je lèche leurs pieds. Ensuite, je le suce comme une bonne salope. Ils me crachent au visage en me disant que je suis une traînée et que je vais me faire baiser à la chaîne par des vieux pervers. Ils me font mettre au coin dans la chambre pendant qu’ils postent des annonces, mettant ainsi mon cul toujours vierge à louer. Je les entends se demander de quel nom ils vont baptiser leur nouvelle pute. Ainsi, ils choisissent tanya en déformant mon prénom Antoine. Enfin, ils me congédient tard dans la soirée après m’avoir permis de me rhabiller et de me démaquiller. Mais une fois rentrée chez moi, je prends peur et leur annonce que ça ne se concrétisera pas.

Première soirée fétichiste avec ma Maîtresse à Paris

 

À cette époque, Maîtresse vient de temps en temps me rendre visite à Paris lorsque ce n’est pas moi qui me déplace et nous formons un couple très complice et très joueur. Un soir, nous nous rendons à une soirée fétichiste, appelée « fantasmes et soumission ». Ainsi, une petite centaine personnes se réunissent dans un grand loft aménagé afin de laisser libre court à leurs envies, entre initiés. Nous commençons par boire un verre et discuter avec un ou deux soumis, puis Maîtresse me donne l’ordre d’aller au vestiaire pour que je me change. Lorsque je redescends l’escalier, tout le monde peut voir que je suis une lopette soumise. Je porte des bas opaques, une culotte en dentelle, un soutien gorge noir, mon collier rose et une laisse.

Une fois arrivée au pied de Maîtresse, elle m’emmène dans une petite pièce exiguë dans laquelle se trouve une table de billard. Elle me penche sur le bord du billard, baisse ma culotte et enfile son gode ceinture. Je prends plaisir à me faire sauter de cette façon et ça s’entend. Mes gémissements de petite pute en chaleur éveille la curiosité des personnes environnantes qui s’agglutinent autour de nous, des mains commencent à me caresser pendant que Maîtresse continue ses assauts. Très rapidement, un Maître plaque sa jolie petite soumise de l’autre côté de la table pour la baiser sauvagement, elle aussi tenue en laisse. Nos visages sont à quelques centimètres l’un de l’autre, alors que nos seins caressent le tapis du billard au rythme des coups de boutoir de nos adorables assaillants.

 

Suite des réjouissances à la soirée fétichiste

 

Ensuite ma Maîtresse m’ordonne de lui trouver une chaise afin qu’elle puisse assister au spectacle d’une Maîtresse d’âge mûr qui fouette de manière virulente et sans discontinuer son jeune soumis entièrement féminisé. Maîtresse est assise sur la chaise que je viens de lui apporter et moi je suis assise par terre à ses côtés, la tête posée de côté sur ses cuisses, profitant moi aussi du spectacle.

À la suite de cela, Maîtresse me ligote, entièrement, devant plusieurs soumis qui regardent. Et alors que je suis immobilisé au sol, Maîtresse ordonne à l’un d’entre eux avec qui nous avons échangé plus tôt de mettre son sexe dans ma bouche pour que je le suce. Au moment où il va jouir, il prévient ma Maîtresse en commençant à se retirer mais elle lui donne l’ordre de jouir dans ma bouche.

Cette soirée était délicieusement excitante et nous sommes pressés d’y retourner, mais ce n’est pas toujours évident à organiser…

 

Soumis à un Maître antillais

 

Par la suite, j’ai rencontré sur un site de petites annonces un antillais bien membré lui aussi. Je l’appelais Maître, il me traitait comme une chienne, toujours maquillée et avec mon collier et ma laisse. J’ai dû passer une dizaine de nuits chez lui. Il m’a dépucelé le premier soir et ce fut une véritable révélation de sentir une queue bien dure et toute chaude me pénétrer énergiquement. J’ai adoré. Je me sentais à ma place lorsque j’étais à son service, j’avais ma petite gamelle d’eau et il jouissait plusieurs fois chaque nuit, toujours dans ma bouche.

J’avalais tout jusqu’à la dernière goutte et je prenais plaisir à le servir de diverses façons. Il était souvent devant son ordinateur sur sa chaise de bureau pendant que j’étais allongée sur un matelas et il recouvrait mon visage avec ses pieds la plupart du temps. Il aimait bien aussi s’asseoir sur mon visage pour que je puisse lui lécher le cul, souvent il se retirait une seconde pour me laisser respirer et plongeait sa queue dans ma bouche pour que je le suce jusqu’à la jouissance.

Lorsque je venais chez lui, je lui apportais son dîner qu’il mangeait pendant que je mettais mes talents de suceuse à son service. Et lorsqu’il avait fini, il déposait généreusement ses restes dans ma gamelle et parfois même agrémentés de sa semence ou de quelques crachats afin de m’humilier. Il n’était pas rare qu’il me mette un plug dans mon petit cul de salope avant de repartir de chez lui.

 

Soirée à trois avec un des amants de ma Maîtresse

 

Il arrive à ma Maîtresse d’avoir des amants mais rares sont ceux qui tolèrent un soumis comme moi pendant leurs ébats avec elle. Cependant l’un d’entre eux a joué le jeu le temps d’une soirée, j’étais terriblement excitée car chaste depuis un mois et ce soir là Maîtresse me voulait en soubrette. Et c’est devant son regard amusé et les remarques humiliantes de Maîtresse que j’ai enfilé ma jolie robe, mon plug gonflable et mes pinces avec clochettes sur les seins.

Voyant dans quel état j’étais, Maîtresse en profitait pour me faire rougir les fesses et me donner des claques sur les couilles sans ménagement, si bien qu’elles ont fortement gonflés dès le début de la soirée. Je leur servais à boire et je leur apportais leurs verres pendant qu’ils s’embrassaient et se caressaient, c’était terriblement excitant. Une fois sur le lit, Maîtresse me donnait l’ordre de déshabiller son amant et de le faire bander fort. Il n’a pas fallu me le répéter, je l’ai sucé passionnément en bonne soumise en chaleur.

Une fois que Maîtresse était prête, elle a écarté les jambes pour que je fasse rentrer son sexe en elle. De façon répétée, il se retirait de Maîtresse pour se glisser dans ma bouche. J’étais surexcitée en voyant ma Maîtresse prendre du plaisir avec son amant. Lorsqu’il a eu fini, il a mis son sexe dans ma bouche pour que je le nettoie avec ma langue et j’ai pu nettoyer Maîtresse ensuite.

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