Témoignage d’une jeune dominatrice (3) : soumission éternelle

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bonne dominatrice

Libération du pauvre Ethan

Le lendemain matin, j’étais fatiguée et je me suis réveillée vers onze heures, soit deux plus tard que d’habitude. J’avais dormi très tard à cause de la soirée de la veille, et je voulais éviter d’être trop fatiguée car le manque de sommeil me rend irritable. Aujourd’hui, je voulais en apprendre davantage sur la nature fraîchement dévoilée de mon compagnon, et établir les bases d’une vraie relation de soumission, entre une jeune dominatrice et son esclave soumis.

Une fois mes esprits libérés de la somnolence, je me suis approchée de lui. Je caressais son front avec ma paume

-Ça va, mon chéri ?

-Non…

Il était toujours dans un état d’excitation intense et ne voulait rien d’autre à part jouir. Il était un peu agressif.

-Mon chou, reste calme, détends toi. T’agiter ne sert à rien.

-Kagura, j’en peux plus. J’ai pas dormi de la nuit tant je voulais jouir. Je suis fatigué et à bout. Je veux bien t’obéir, faire ce que tu veux, mais laisse moi jouir, je t’en supplie !

J’étais tiraillée. En effet, Le voir désespéré m’excitait et m’incitait à le laisser dans cet état. Inversement, je crevais d’envie de lui offrir la satisfaction d’un orgasme puissant. Mais si je voulais le soumettre, je ne devais pas encore céder. Je l’ai solidement attaché et je suis partie me brosser les dents.

-NON !

-Sois patient, un peu.

J’ai volontairement pris tout mon temps. J’ai fait tout ce que j’avais a faire, et je suis revenue à lui deux heures après. Je devais le laisser jouir, et ensuite aborder la discussion pour parler de notre nouvelle vie.

-Mon chéri, tu veux que je te masturbe de quelle manière? Tu as été sage, choisis !

-Avec ta main gantée de latex s’il te plait. Avec l’autre main, laisse moi sucer tes doigts humidifiés par ta salive en même temps, et stimule ma prostate par la suite.

Laisser le choix permet de donner un sentiment de victoire au soumis. Il se sent empli de mérite d’avoir réussi l’épreuve, et peut choisir sa récompense. J’ai commencé les mouvements, et ça n’a pas duré. Malgré tous mes efforts pour faire durer le plaisir, il lui fallut à peine quatre minutes pour jouir et avoir le meilleur orgasme de sa vie. Et c’était le premier d’une longue série. Je l’ai ensuite couvert de tendresse. Câlins, baisers langoureux et caresses ont rythmé les minutes qui ont suivi. Il fallait le mettre en confiance, et ainsi augmenter son envie de soumission.

Mise en confiance du futur esclave

-Comment te sens-tu, maintenant ?

-Vraiment bien. J’aime être sous ton contrôle comme ça.

-Bonne nouvelle. D’ailleurs je n’ai pas oublié ce que tu m’as dit hier. Tu étais vraiment sincère en disant que tu étais prêt à souffrir pour moi et à m’obéir?

-Oui.

-Tu veux donc aller plus loin ?

Il fallait le mettre en confiance. J’ai prononcé ces mots tout en caressant son visage avec toute ma délicatesse. Il devait succomber encore plus à mon charme.

-Aller plus loin… Tu veux que je sois ton larbin?

-Je ne veux pas d’un larbin, mais un homme docile, soumis, obéissant et résistant. Tu en fais déjà beaucoup pour moi, mais tu vas en faire encore plus. Je vais te faire repousser tes limites. Je ne te dénigrerai pas, je ne t’humilierai pas en public. Tu dois juste vivre pour me combler.

-C’est ce que je fais déjà, Kagura.

-Tu le feras différemment maintenant

Début de soumission du nouvel esclave

Je devais d’abord savoir ce à quoi il était le plus sensible. Il faut exploiter les faiblesses du soumis au maximum.

-Tu es donc un amoureux des talons très hauts et du latex, chéri?

-Oui. J’aime ce qui sublime la femme, plutôt que la nudité crue et peu glorifiante.

-Hmmmm, voilà un vrai homme.

Je suis allé chercher sur mon étagère une chaussure à talons pour danseuse. Un modèle entièrement transparent, de 22cm de haut. Je me suis rassise à ces côtés tout en brandissant la chaussure à la main. Une bosse se formait dans son entrejambe.

-Tu kiffes hein ? Le corps ne ment pas. Je m’en servirai pour jouer avec toi, tu peux en être certain. Mais uniquement lorsque tu auras accepté la soumission

Maintenant qu’il était ravi et vulnérable, je pouvais le faire fondre. J’avais de superbes idées en tête.

-Tu peux aller me chercher des gâteaux chez la pâtissière ?

-Oui, bien sûr.

-En attendant, je vais écrire le contrat d’appartenance. Tu devras le respecter à la lettre.

-C’est ce que je veux. Etre entièrement à toi.

Aveux d’Ethan de devenir mon « pain slut »

J’ai profité de ces propos pour aborder un point un peu plus sensible.

-Mais… tu me connais, bébé. Si tu veux me servir corps et âme, tu devras souffrir. Beaucoup souffrir. Je te ferais saigner, vomir, pleurer de douleur. Mon âme de sadique ne peut être comblé que de cette façon, et c’est ce qui m’excite vraiment. Devoir tout endurer sera ton devoir.

-J’y suis résolu. Si cela te fait plaisir, je serais ravi de pleurer de souffrance sous tes coups.

Me dire ça m’a fait beaucoup d’effet et m’a allumé d’un coup. J’ai saisi brusquement sa tête pour cracher dans sa bouche et l’embrasser longuement. Il a commencé à me caresser la poitrine en même temps. J’ai saisi brutalement son cou à une main, et je l’ai étranglé de toutes mes forces, tout en continuant les baisers et à déverser ma salive dans sa gorge. C’était intense mais terriblement bon.

-Merci Kagura. Je t’aime.

-Moi aussi Ethan, maintenant, va me chercher ce que je t’ai demandé. Ce bisou était le prélude de ce qui t’attend cet après midi.

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3 réflexions au sujet de “Témoignage d’une jeune dominatrice (3) : soumission éternelle”

  1. Très bien moi je suis soumis et féminisé par ma maîtresse qui me fait la servir en soubrette invite ses amies pour me fessée et lecher leurs talons aiguilles collier de chienne de rigueur tenue en laisse par ma maîtresse parfois elle m urine dessus devant ses copines j adore ça

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