Réveil difficile pour la pauvre sissy !
Je me réveille, je suis toujours sur le fauteuil gynécologique et attaché. Mes Maîtresses dominatrices sont à côté de moi. J’ai toujours la pompe à seins. J’ai l’impression d’avoir l’anus béant.
– Quelle jouissance tu as eue! Alors heureuse ?
– …. Oui Maîtresse Barbara
– J’ai été obligée de te faire revenir avec des sels comme une bonne soumise que tu es. Tu sais que tu avais ta petite chatte grande ouverte. Cela aurait été dommage qu’elle se referme donc je t’ai mis un spéculum pour maintenir l’ouverture. Regarde tes tétons, ils ont grandi, tu deviens une vraie femelle.
En effet je regarde et levant la tête et je vois mes tétons qui remplissent les tubes.
– Tu sais que tu as fais encore du sperme en quantité ?
– Non Maîtresse Barbara.
– Pour que tu reprennes des forces tu vas le boire mais d’abord tu le gardes dans la bouche pour en profiter. Ouvre ta bouche!
Retour dans la cage
Maîtresse Karine arrive avec un récipient et me verse son contenu dans la bouche. La quantité est vraiment grande.
– Garde bien ton sperme pour que tu puisses profiter du goût petite soumise. Fais le passer dans ta bouche comme un grand vin.
Je fais ce qu’elle m’ordonne.
– Avale !
– C’est bon ?
– Oui Maîtresse Karine
– T’en veux encore ?
– Non merci Maîtresse Karine
– Pardon ????
– Si vous voulez Maîtresse Karine
– Gourmande ! Plus tard. As-tu envie de pisser ?
– Oui Maîtresse Karine
– Pisse dans le pistolet.
Elle me met le pistolet pour que je pisse.
– Je vais te mettre ta pisse dans le cul et le plug pour boucher puis tu iras dormir dans ta cage.
Et puis, je te bride les tétons. Ce serait bête de perdre une telle longueur.
Elle me détache après avoir fait le nécessaire. M’amène à la cage dans laquelle se trouve un matelas.
Une bonne nuit de sommeil
Puis elles partent en éteignant la lumière. Je m’endors du sommeil des justes malgré la situation hors norme.
Le matin, enfin je pense que c’est le matin car dans le sous-sol et sans fenêtre, il m’est difficile de savoir l’heure qu’il est. Maîtresse Karine arrive habillée d’une superbe guêpière de cuir rouge sang laissant apparaître une poitrine haute et délicate. Il est lacé sur le côté et le devant dont la peau est perceptible au travers. Elle a une taille de guêpe que le string de la même matière souligne avec délicatesse. Les bas coutures sont maintenus par des jarretelles et des bottes de la même couleur donnent à ses jambes une longueur infernale.
– J’espère que tu as bien dormi. Maintenant tu vas va être mis en condition pour ta journée. Viens sur le fauteuil gynécologique!
Elle ouvre la cage et je vais tant bien que mal sur le fauteuil où elle m’attache comme hier. Elle me pose les suceurs de tétons, un bâillon avec un sexe factice dans la bouche et la pompe à sperme puis elle part.
De nouveau, l’horreur pour la pauvre « sissy » !
L’horreur d’hier recommence. Je sens mon sexe aspiré inlassablement. C’est désagréable mais je subis pour mes Maîtresses.
Un temps incroyable après, elle revient et débranche la pompe à sperme en laissant les suceurs en place. Puis dépose mon sperme dans le congélateur. Avant de débrancher le suceur, elle me met des brides aux tétons.
– Comme ça tes tétons ne vont pas se rétracter trop vite. Ce serait dommage avec la longueur qu’ils ont pris. Je vais te détacher, tu vas aller dans la salle de bain au fond de la salle pour que tu te laves. Puis, tu as des vêtements que tu mets et tu montes pour le petit déjeuner.
– Oui, Maîtresse Karine!
La porte n’avait pas attiré mon attention. Je l’ouvre et j’entre dans la salle de bain. Je trouve des vêtements féminins à mon intention. Tout le nécessaire de toilette est disponible. Je me déshabille et me lave les dents. J’ouvre un robinet pour me rincer la bouche. L’eau est froide, je tourne le mitigeur vers l’eau chaude et l’eau est toujours froide. Il va bien falloir que je prenne ma douche et je m’arme de courage pour y aller.
Une fois finie, je me sèche en frictionnant bien pour me réchauffer. Je regarde plus précisément les vêtements qui sont disponibles pour m’habiller. D’abord, et bien sûr, un plug que je mets puis une ceinture corset, un porte-jarretelles avec des bas noirs puis une culotte et un tablier de soubrette dont je ne vois pas très bien comment faire tenir le plastron. Il a bien deux petites pinces en haut mais pas de lanière à attacher. Il y a aussi du parfum de femme.
Transformation en « sissy »
Je suppose que mes Maîtresses veulent que je l’utilise et que je me transforme en sissy. Ce que je fais. Il reste des chaussures à enfiler. Des escarpins avec des talons qui doivent faire 10 cm. Je les regarde, elles sont à ma taille. Je les enfile et essaie de marcher avec. Ce n’est pas gagné mais je sors tant bien que mal de la salle de bain mais le plus dur est de monter les escaliers. J’arrive enfin au rez-de-chaussée et je les trouve. Maîtresse Barbara est en guêpière de satin noir.
– Je vois que ton tablier n’est pas attaché.
Elle s’approche de moi et prend une pince pour la fixer à mon téton puis fait de même avec l’autre côté.
– Voilà, nous allons prendre le petit déjeuner.
Je me dirige avec elles vers la salle à manger et je m’aperçois que la table est mise pour deux.
– Toi, tu passes sous la table. Tu nous lèches et, si nous sommes contentes de toi, tu pourras manger.
Au service des Maîtresses pendant leur repas
N’ayant pas mangé depuis la veille au matin je me dépêche de faire le nécessaire pour avoir quelque chose à manger. Je passe sous la table et je m’aperçois que les chaises de mes Maîtresses sont évidées à leur centre en forme de U dont l’ouverture est vers moi de sorte que la vulve et l’anus sont libres. Elles ont ôté leurs strings pour passer à table. Je commence à lécher Maîtresse Karine qui semble prendre beaucoup de plaisir lorsque je passe à son anus pour varier les plaisirs.
Pendant ce temps là, elles discutent de tout et de rien même si un moment Maîtresse Barbara semble faire un monologue. Maîtresse Karine jouit bruyamment. Puis elle me repousse avec le pied. Je passe à Maîtresse Barbara et procède de la même manière. Elle aussi en arrive à jouir à son tour.
– Sors de là et viens manger, petite sissy ! : me dit Maîtresse Karine.
Je sors de sous la table et je prends la dernière chaise. En son centre, il y a un gode énorme qui est fixé et une sangle devant celui-ci.
– Enlève ta culotte petite sissy ! Puis tu enlèves ton plug et tu t’empales.
Traitement aux hormones pour parfaire la transformation en sissy !
Je fais ce qu’elle m’ordonne, Le gode est vraiment gros et long. Une fois empalé, Maîtresse Karine m’attache la sangle autour du sexe puis la ferme avec un petit cadenas. Si je voulais me lever je ne pourrais pas.
– Mange petite sissy.
Je regarde dans l’assiette et le bol. Ce ne sont que les restes de leurs propres petits déjeuners.
Elle pose aussi des comprimés en m’expliquant.
– Tu vas prendre tous les jours ces comprimés. Ce sont des hormones pour te féminiser un peu plus car cous allons te transformer en femelle et pour compléter le traitement tu boiras tous les jours de nos urines qui ont aussi des hormones. Tu as compris ?
– Oui Maitresse Karine.
– Après ton petit déjeuner, tu vas descendre et te remettre sur le fauteuil gynécologique pour que nous traitions encore tes tétons mais aussi tes seins. Et bien sûr nous allons te traire et élargir ta chatte.
– Bien Maîtresse Karine.
– Et dorénavant, tu es une femme. Tu as perdu ton statut d’homme.
– Bien Maîtresse.
Descente périlleuse de l’escalier en talons hauts !
Je mange le petit déjeuner dans lequel elles crachent de temps en temps, mais j’aime tout avoir d’elles. Une fois fini, elles me détachent la sangle afin que je me lève. Je me décule.
– Suce le gode avant de descendre.
Je me mets à genoux et suce le gode.
– Entre-le complètement dans ta gorge.
Je m’empale la bouche et l’entre si bien que rapidement j’ai le nez qui touche la chaise.
– Descend maintenant.
Je me lève et descends l’escalier. Les talons me font bouger mon bassin et la descente de l’escalier est périlleuse. J’arrive au fauteuil et m’installe dessus. Je mets mes jambes dans les gouttières.
– Nous n’allons pas t’attacher, tu seras sage petite femelle esclave, une bonne petite sissy!
– Oui Maitresse Karine, je suis prête pour tout ce que vous allez me faire.
De nouveau le supplice de la pompe à tétons !
Maîtresse Barbara m’installe la pompe à tétons puis la trailleuse à sperme. Pendant ce temps là, Maîtresse Karine me met le plug à lavement et me branche la poche qui est plus grosse qu’hier soir.
– Tout à l’heure, nous allons faire un peu d’équitation. Tu auras un plug qui se gonfle à chaque fois que tu t’assieds dessus. Ensuite, ton cul sera comblé très rapidement et tes tétons auront des petits poids. Tu vas être aux anges. Mais en attendant tu vas boire ta dose de notre champagne.
Elle m’installe un bâillon avec un embout qui m’entre dans la bouche. Elle raccorde une nouvelle poche dessus et ouvre le robinet.
– Tu as notre champagne que nous avons collecté depuis hier soir.
Je commence à boire cet élixir qui est plus fort en gout. C’est certainement l’urine du matin. Et elles me laissent ainsi quelques temps. Le lavement commence à me gêner et la pompe à sperme me fait mal à la verge mais je ne bouge pas et je résiste pour satisfaire mes Maîtresses. La poche à urine se vide petit à petit.
– Elles redescendent avec des vêtements.
Forcé à boire de l’urine !
Maîtresse Barbara débranche la poche à urine qui est vide puis m’enlève le bâillon.
– Tu as aimé le champagne de tes Maîtresses ?
– Oh oui Maîtresse Barbara.
– Tu en veux encore, petite sissy ?
– S’il vous plait Maîtresse Barbara.
– Tu es gourmande, petite sissy, mais c’est tout pour l’instant!
Là, elle commence à mettre une bassine sous moi pour que je vide ma chatte de son lavement. Rapidement c’est fait. Maîtresse Karine débranche la pompe à tétons pour m’installer une autre pompe qui recouvre mes seins et la met en route.
– Nous allons te pomper tes seins pour les gonfler un peu mais pour cela nous allons leur injecter un produit hormonal pour les aider à prendre du volume.
Et Maîtresse Karine me fait une série de piqures sur le pourtour. Pendant ce temps là Maîtresse
Barbara m’installe un plug qui a une petite pompe à sa base.
– Pour patienter, tu nous fais jouir.
Maîtresse Barbara met un tabouret de part et d’autre de ma tête et monte dessus si bien que j’ai la fourche de ses jambes au-dessus de moi. Elle descend et je me mets à lécher son sexe qui est trempé de mouille. Rapidement elle ondule du bassin et exprime son bonheur en me traitant de femelle en chaleur. Elle jouit en criant.
Puis à manger des « petits boudins coktails »
Après avoir repris ses sens, elle avance son anus vers ma bouche et me dit.
– Ouvre la bouche j’ai un souvenir pour toi.
J’ouvre grand la bouche et attend pendant que je sens qu’elle pousse. Malgré la crainte, j’attends puis quelque chose sort de son anus, ma crainte semble être confirmée ce qui sort est marrons tombe dans ma bouche. Puis une autre bille tombe et encore d’autres. J’ai la bouche pleine
– Mange, petite sissy.
Je me mets à mâcher et contrairement à ma crainte ce sont des petits boudins cocktail qu’elle gardait dans son anus.
– Surprise… rigole-t-elle. Ouvre, j’en ai encore.
Et elle fait tomber une autre quantité de boudins, que je mange.
Rapidement elle est remplacée par Maîtresse Karine et je me mets à faire mon office. Elle aussi monte vers son plaisir et me prend la tête comme si elle voulait la rentrer dans son sexe et elle jouit en criant elle aussi son plaisir.
– Oh oui que c’est bon, tu es excellente comme lécheuse, soumise. Moi aussi, j’ai quelque chose pour toi.
J’ouvre la bouche et tombe quelque chose de clair. Je commence à manger, c’est une petite banane.
Elle descend à son tour et comme à débrancher la pompe à seins.
– Ce n’est pas mal comme résultat. Maintenant voyons ton sperme. Mazette quelle quantité.
Elle prend le sperme et part le mettre avec le reste dans le congélateur. Maîtresse Barbara m’installe la cage de chasteté et des poids aux tétons.
– Descend de là et refait toi belle. Puis tu mets le pantalon d’équitation et les bottes.
Je remets un peu d’ordre dans ma tenue. Lisse mes bas, redresse ma guêpière et réajuste ma culotte puis je mets le pantalon d’équitation qui est très tendu sur mes jambes et mon cul. J’enfile les bottes qui sont un peu justes puis un chemisier blanc.
– Tu es mignonne ainsi, petite sissy. Tu vas faire fureur si nous rencontrons quelqu’un en route.
Texte fort sympathique.
Je me sens (+ femme qu’homme/intérieurement)
Ma place est donc (NATURELEMENT) chez les sissys
C’est 1 (Tes)Belle histoire (d’éducation à la vie de sissy), je suis (MOI) aussi en formation, mais auprès de ma Sœur Odile, infirmière à Paris .
Erik(A)