Cela fait aujourd’hui une semaine que j’ai vécu ma première expérience en tant que soumis et depuis, je n’ai pas de nouvelles de Madame Catherine. Je ne l’ai pas revue au restaurant, à midi. Pourtant, j’avais espoir car j’ai aperçu les deux personnes qui l’accompagnent en temps normal. Mais pas de Madame Catherine.
D’habitude au bureau, je coupe toujours la sonnerie de mon téléphone personnel, par respect pour mes collègues. Cependant, depuis lundi, je règle, la sonnerie au minimum, et je fais attention d’avoir toujours mon téléphone à portée de main ou sur moi quand je me déplace. Pendant la semaine, j’ai eu trois appels en numéro caché, et à chaque fois mon cœur s’est mis à battre la chamade, mais aucun des appels n’émanait de Madame Catherine.
Avant, je ne décrochais jamais lorsqu’il s’agissait d’appels inconnus. Mais là, je n’avais vraiment pas le courage de mettre Madame Catherine au défi. De plus, je ne voulais pas qu’elle me laisse de message sur mon portable, du style : « ceci est un message de Madame Catherine, pour son soumis ». J’imagine la honte si mes amis ou mes parents tombaient dessus.
Enfin, appel de Madame Catherine !
Puis vers 10h, je reçus un nouvel appel, numéro inconnu. Mon cœur se mit à battre à 100 à l’heure. Pour me calmer, je me dis que ce devait être encore une pub ou un autre appel du même acabit. Malgré tout, je m’isolai pour décrocher et pour pouvoir parler plus librement.
– Bonjour soumis
Cette fois, c’était bien Madame Catherine.
– Bonjour Madame Catherine,
– Tu ne me demandes pas si je vais bien ? Me dit-elle sur un ton sec
– excusez moi Madame Catherine, comment allez-vous ?
Elle ne me répondit même pas, j’avais dû la vexer.
– Tu vas venir à midi pile, déjeuner avec moi ! Je t’envoie l’adresse par sms avec le numéro pour que tu réserves une table un peu isolée. Et surtout sois à l’heure ! Et prends ton après-midi ! A tout à l’heure.
Et sans que j’ai pu lui dire quelque chose, elle avait déjà raccroché. Et n’ayant pas son numéro, je ne pouvais donc pas la rappeler. Je restai, quelques instants, tout groggy par ces directives. Je reçus le sms de Madame Catherine. Aussi, je me dépêchai d’appeler le restaurant. Je demandai à la femme qui me répondit si c’était possible de réserver une table dans un coin un peu tranquille.
Arrivée au restaurant
Elle me dit que cela allait être difficile car le restaurant était pratiquement complet pour ce midi. Cependant, elle ajouta qu’elle allait faire pour le mieux. Je devais à présent aller voir mon responsable pour lui signifier que je devais partir a1 11h00 et ne revenir que lundi. Il fallait que je trouve une bonne excuse pour éviter qu’il refuse. Je lui expliquai donc que j’avais eu un appel de ma mère et qu’il fallait que je l’emmène chez le docteur car depuis ce matin elle ne se sentait pas bien. Et il me laissa donc partir à 11h00.
J’arrivai donc devant le restaurant à 11h45. Je me demandai si je devais rentrer pour aller attendre Madame Catherine à la table, ou rester dehors. Je choisis la deuxième solution car si elle ne venait pas je pourrai repartir sans avoir à manger seul dans ce restaurant. L’attente fut longue. Je me posais plein de questions sur le déroulement de ce déjeuner avec Madame Catherine, puis sur ce qu’elle avait prévu pour l’après midi. Puis soudain, la voix de Madame Catherine se fit entendre derrière moi. Il était 12h20.
– Alors que fais tu, petit soumis ? Tu rêvasses ? Je vais pas t’attendre 1 heure quand même ?
– Veuillez m’excuser Madame Catherine, je ne vous avais pas vu arriver.
Début du dîner avec Mme Catherine
Madame Catherine était vêtue d’une robe blanche, avec des fleurs au ton pastel, des bas ou collants, puis des chaussures noires avec talons. Elle était ravissante. Mon sexe se mit à durcir et à me serrer dans mon pantalon.
On rentra donc dans le restaurant et la femme qui avait pris ma réservation (j’ai reconnu sa voix) nous installa à la table. Elle nous demanda si on allait prendre un apéritif, et avant que je n’ai pu dire quoique ce soit, Madame Catherine commanda une coupe de champagne et un diabolo menthe. Je ne dis donc rien, laissant Madame Catherine avec son assurance et son autorité décider pour moi.
– Dis moi pour une table dans un coin tranquille il y a mieux, mais tant pis pour toi. Je ne souhaitais pas que d’autres entendent ce que j’avais à te dire et te faire faire mais visiblement tu souhaites exposer ton statut de soumis devant tout le monde. C’est bien, ça me plait bien.
Un serveur arriva avec les verres et demanda pour qui était la coupe de champagne en me regardant. Madame Catherine lui dit que c’était pour elle.
-J’ai pris diabolo menthe pour toi car il parait que la menthe rend plus amoureux. Et je veux que tu sois pleinement amoureux de moi.
Ordre d’aller aux toilettes pour retirer mon caleçon !
Il nous tendit à chacun un menu. Madame Catherine me prit mon menu en me disant qu’elle allait choisir pour moi.
– Tu n’es pas très bavard. Le repas va être long si tu ne me parle pas. Enfin, je vais essayer de l’animer, sinon je vais m’ennuyer. Pour commencer, tu vas aller aux toilettes pour enlever ton caleçon que tu me remettras en revenant t’assoir. Mais viens là, je veux vérifier quelque chose avant.
Je me mis donc à côté de sa chaise et d’une main ferme elle me tâta le sexe.
– Il est bien dur déjà, tu as toujours très envie de moi ?
Je devais être tout rouge, et j’espérais que personne n’avait vu et entendu.
– oui toujours la même envie., répondis-je.
– Je t’ai déjà dit que je n’étais pas ta copine, donc mets y donc les formes quand tu me parles, petit soumis. Répète donc mais avec tout le respect que tu me dois ce que tu viens de me dire.
– Excusez moi Madame Catherine. Oui Madame Catherine, j’ai toujours la même envie pour vous.
– Bien allez file et dépêche toi !
Je me rendis donc aux toilettes pour exécuter ses ordres. Ensuite, je revins avec mon caleçon bien plié pour qu’il soit tout petit et tienne dans ma main pour que personne ne le voit. Je le tendis à Madame Catherine qui le mit dans son sac.
– Tu vois j’ai fait attention de pas le laisser tomber pour ne pas que tout le monde voit ce que tu m’amenais. Tu pourrais me remercier car en plus, je ne t’ai pas fait mettre à genoux pour me le donner.
– Merci Madame Catherine pour votre bienveillance
– C’est bien tu fais des progrès quand tu t’exprimes.
Suite du dîner
Je commençai à m’inquiéter auprès de Madame Catherine, ne voyant pas le serveur venir prendre la commande.
– Il est passé quand tu étais aux toilettes. Et j’ai tout commandé en lui spécifiant ce qui était pour toi et moi. Comme ça, je vais voir si il a de la mémoire.
Le serveur arriva avec les assiettes.
-Salade d’écrevisses au chèvre chaud pour Madame, et salade verte pour Monsieur.
– J’ai fait ce choix pour toi car je ne savais pas si tu aurais aimé les écrevisses et le chèvre.
– Si j’aurais préféré
– Tant pis ce sera pour une autre fois peut-être.
Nous discutâmes de tout et de rien. Madame Catherine me posa quelques questions personnelles, sur mon travail, ma vie privée, ma sexualité. Je lui dis que je vivais chez mes parents et que je travaillais dans cette entreprise depuis 3 ans et demi. Question sexualité, c’était plutôt calme avec des plaisirs solitaires et de temps en temps, des plaisirs payants.
Le serveur nous débarrassa, puis nous amena le plat.
– Brochette de bar aux épices et riz pour Madame, et steak bien cuit salade verte pour Monsieur.
– J’aurai préféré saignant pour le steak Madame Catherine!
– Ce sera pour une autre fois peut-être : me dit-elle en souriant.
Mme Catherine veut refaire toute mon éducation !
Tout en mangeant, je sentis un frottement sur une une de mes jambes. C’était le pied de Madame Catherine bien entendu. Elle remonta sur ma cuisse puis son pied vint appuyer sur mon sexe bandé. Elle avait enlevé sa chaussure, et j’avais envie de lui caresser le pieds dans son bas. Je m’y risquai timidement. Mais Madame Catherine enleva aussitôt son pied et me fit des yeux noirs.
Je baissai donc la tête.
-Tu te permets bien des choses avec moi dis donc. Ne t’ai je pas dis l’autre jour qu’en me disant oui tu perdais tout pouvoir d’initiative ?
– Si Madame Catherine, veuillez accepter mes excuses je vous prie.
– Cela fait au moins 4 ou 5 fois que tu te fonds en excuses aujourd’hui, tu ne trouves pas que ça fait beaucoup ?
– Si Madame Catherine
Je n’osai pas rajouter que je m’en excusais.
– Je vais m’occuper de cela tout à l’heure ne t’inquiète pas. Il faut que je refasse toute ton éducation de soumis et j’ai du boulot il me semble.
On finit le repas avec un café gourmand et un café simple. Je vous laisse imaginer pour qui était le café gourmand. Madame Catherine me prit même le sucre et le carré de chocolat qui accompagnaient mon café.
– Ce n’est pas sain pour toi. Et c’est pour te prouver que je prends soin de toi. Alors tu as intérêt aussi à prendre soin de moi en 100 fois mieux.
– oui Madame Catherine, je ferai du mieux que je peux.
– Non tu le feras tout simplement parce que je te l’impose et que je suis tout pour toi. Aller va payer et fais appeler un taxi, je t’attends dehors.
Retour chez Mme Catherine
Le taxi arriva et nous emmena chez Madame Catherine. Je réglai donc le taxi et nous montâmes à l’appartement. Avant la première marche, Madame Catherine me demanda :
-Tu ne vas pas en profiter pour regarder sous ma robe quand même ?
– heu non pas du tout Madame Catherine
– J’ai des doute quand même
Elle fouilla dans son sac et sortit mon caleçon puis elle m’ordonna de le mettre sur ma tête de façon afin que je ne puisse rien voir. Ensuite, elle vérifia la position du caleçon et modifia un peu sa position sur ma tête. Elle ouvrit ma braguette et prit mon sexe en main. Ensuite, elle me tira dessus pour que je la suive. Mon sexe était tout raide et tout dur. Elle habitait au premier étage ce qui limita le temps de la montée et évita les chances ou plutôt le risque de croiser du monde comme la femme de l’autre jour par exemple.
Une fois le pas de porte passé et la porte refermée, elle me dit de retirer ce truc de ma tête et d’aller le jeter a la poubelle dans la cuisine.
Le soumis doit toujours être nu chez Madame Catherine !
– Tu as de la chance que tu vives chez tes parents. Sinon, je serais aller chez toi et je t’aurais fait jeter tous tes sous vêtements. Car à partir de maintenant, c’est nu sous tes pantalons que tu seras. Et n’essaie pas de tricher car je ferai des vérifications surprises quand bon me semblera.
– Oui Madame Catherine, et n’ayez crainte vous n’aurez pas de mauvaises surprises pour cela.
– Mais j’espère bien ne pas avoir de mauvaises surprises avec toi pour tout me : dit-elle avec un ton grave. Aller à poil maintenant car c’est la première chose que tu dois faire chaque fois que tu arriveras ici chez moi. Et je n’accepterai aucune exception à cette règle tout comme le fait que tu essaies de cacher ta nouille avec tes mains. Compris ?
– Oui Madame Catherine.
Et je m’exécutai.
– Aller a 4 pattes et suis moi.
Elle alla s’installer dans le canapé, et m’ordonna de m’occuper de ses pieds.
– Et que ce sois mieux que la dernière fois surtout.
Je luis ôtai ses chaussures et je commençai par embrasser ses pieds.
– Quand tu embrasses tes parents tu leur mets un torchon sur la joue pour les embrasser par dessus ?? Passe tes mains sous ma robe sans regarder dessous petit pervers, et ôte moi mes bas. Et attention, je ne tolérerais aucune griffure avec tes ongles. Et ne les file pas non plus.
Soumis aux pieds de Madame Catherine
Je glissai mes mains sous sa robe en remontant lentement le long de sa cuisse pour arriver sur le haut de ses bas. Madame Catherine souleva sa cuisse afin de me permettre de faire rouler son bas et pouvoir lui enlever. Puis je fis pareil pour l’autre bas.
– Tu ne t’en aies pas trop mal sorti pour une fois. J’entrepris donc de lui embrasser ses pieds nus puis de lui les lécher. Je mis même ses deux gros orteils dans ma bouche pour les sucer et en même temps, je lui massai les voutes plantaires. Elle se pencha en avant vers moi, et approchant sa bouche de mon oreille, elle me dit :
– Tu as fais des progrès c’est mieux que la dernière fois, remarque ce n’était pas dur!
En me disant cela elle attrapa mon sexe tout dur.
– J’aime bien vérifier si tu as toujours autant d’amour pour moi.
– Oh mais bien sur Madame, soyez en certaine. Il est même grandissant à chaque minute qui passe.
– Dès que je lâcherai ta nouille, tu arrêteras de me masser, et tu te mettras à 4 pattes au milieu de la pièce.
– D’accord Madame Catherine!
Je poursuivis donc le massage de ses pieds, alternant avec mes mains, ma bouche et les bisous que j’imprimais sur sa douce peau. Madame Catherine semblait apprécier, je la sentais paisible et remplie de bien-être, ses yeux légèrement fermés.
Homme soumis au service de deux dominatrices
Tout à coup, je sursautai et arrêtai le massage, et laissant les pieds de Madame Catherine retomber par terre. La porte d’entrée venait de s’ouvrir. Je cherchai le moyen de couvrir ma nudité mais je ne trouvai rien. Aussi, je voulus me lever pour aller m’enrouler dans les rideaux, mais j’étais tenu au sexe par Madame Catherine qui le serra très fort dans sa main. Je n’osai pas me retourner pour voir qui était rentré.
– Bonjour Isabelle, comment tu vas ?
-Bonjour ma belle Catherine, bien et toi ? Je vois que tu as trouvé un nouveau jouet.
Madame Catherine me lâcha le sexe, ce qui me soulagea car elle avait une sacrée poigne et je commençai a1 ressentir une douleur.
– Vas embrasser les pieds de Madame Isabelle, petite larve, et tu y vas à 4 pattes. Fait voir a Madame Isabelle que ton dressage pour devenir un bon soumis est en bonne voie.
Me retournant donc vers Madame Isabelle, elle lança :
– Mais je l’ai déjà vu, je l’ai croisé dans l’escalier l’autre jour. Il sortait donc d’ici.
Je levai les yeux et effectivement c’était la femme que j’avais croisé en sortant de chez Madame Catherine la première fois, en pensant que c’était une voisine.
– Il est tout mignon, ce petit soumis! : dit Madame Isabelle.
– oui et on va pouvoir le dresser à notre convenance, comme on le souhaite, car il débute dans la soumission et il n’a donc pas de mauvaises habitudes de ce côté là. Mais on a du travail par contre pour refaire son éducation.
-Aller la petite larve embrasse les pieds de Madame Isabelle comme si c’était les miens. Madame Isabelle est pour toi, tout ce que je suis, ta dominatrice. On vit ensemble depuis 5 ans et nous avons la même philosophie de vie. Tu devras donc te plier à nos envies à toutes les deux et ne t’inquiète pas, petit soumis, tu es entre de bonnes mains.
A suivre
ah oui cela me plairait fortement de devoir obeir en public , la honte de la situation serait delicieuse…
En souhaitant que la suite soit plus dynamique et que les deux dominas s’en donnent à coeur joie pour s’occuper de ce soumis pas très dégourdi !
A suivre.
Comme le titre l’indique j’étais dans ma phase de révélation de ma soumission bienavous
Elle a été délicieuse d’une certaine façon mais douloureuse au niveau moral sur le coup, de devoir me lacher Decanisy