Un cadeau pour maman, vraie dominatrice !

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vraie dominatrice

Un cadeau pour maman, vraie dominatrice !

Aline est arrivée en retard mais plus resplendissante que jamais, moulée dans une courte robe rouge, ses longues jambes fuselées gainées de noir. Nerveux, Jérôme se lève pour l’accueillir, puis se rassied en face de celle à qui il a, quelques jours auparavant, envoyé une lettre lui proposant de devenir son esclave. Va t-elle se moquer de lui? Le traiter de pervers ? Le sourire sarcastique avec lequel la jeune fille le dévisage, n’augure rien de bon. Déjà, il regrette sa démarche, surtout en l’entendant lui lancer: amusante ta lettre. La gorge serrée, l’estomac noué, Jérôme baisse la tête. amusante mais intéressante.

-Alors tu voudrais que je te domine ? et tu es prêt à tout pour ça ? regarde moi!

Le fin visage d’Aline est devenu sévère et ses yeux sombres ont un éclat nouveau. Qu’elle est belle! Après le oui qu’il parvient à murmurer, elle reprend :

-je me doutais bien que tu étais un de ces types juste bons à ramper et obéir. Je me demandais seulement quand tu allais te décider. Ne t’en fais pas. Les mecs dans ton genre, je sais comment les traiter! mais avant d’aller plus loin, je veux vérifier la qualité de la marchandise. Va retirer ton slip et reviens la braguette ouverte !

Heureusement, l’arrière-salle du bar, où s’ouvrent les toilettes, est déserte. Quand Jérôme revient, le slip roulé en boule dans le creux de sa main, il se sent tout nu et bande déjà.

-jette ton slip sous la banquette et approche !

Aline glisse une main dans l’ouverture et lui tâte les fesses puis les couilles, et la queue. Celle-ci déjà gonflée, durcit encore sous les longs doigts aux ongles acérés.

-Tu peux remballer tes joujoux ! Maintenant écoute bien ! Maman vient passer quelques jours chez moi et je veux lui faire une surprise, un cadeau pour qu’elle ne s’ennuie pas. Ce cadeau c’est toi. Pendant tout son séjour, tu vas donc la servir avec autant d’empressement que si c’était moi que tu servais, et lui donner du plaisir en acceptant tout ce qu’elle te fera subir, absolument tout. Crois moi c’est une vraie dominatrice ! une maîtresse expérimentée qui t’en fera baver. Tu as intérêt à faire de ton mieux. Si jamais tu la déçois, ta punition sera simple et sans appel: tu ne me reverras jamais. En revanche, si tu te montres à la hauteur, je saurais te récompenser… à ma manière! compris ? alors va chercher un taxi, on y va !

En se levant elle se penche à son oreille et lui jette dans un sifflement:

-esclave!
A peine le taxi a- t-il démarré qu’Aline agrippe Jérôme par le col:

-écarte bien les jambes, ouvre ta braguette et sors-moi tout !

La jeune fille s’est exprimée à haute voix. Le chauffeur a du entendre. Les mains tremblantes, Jérôme obéit, faisant jaillir sa verge. De son sac, Aline sort un long lacet noir que, d’un tour de main habile, elle passe autour du scrotum de son esclave, le serrant au maximum avant de le nouer en le passant entre les testicules, à les faire éclater. Cependant, ce n’est pas fini. Aline entoure la base du gland d’un large ruban rouge, noué artistiquement comme un paquet cadeau.

-Et voilà! emballé pour maman. Tu peux rentrer ton fourbi. Attention au ruban!

L’oeil narquois, elle le regarde faire puis reprend, toujours à haute voix :

-les chiens comme toi ont en général une attirance pour les pieds. les miens te plaisent ?

– bien sur Maîtresse! Vos pieds sont de toute beauté !

-je te permets de les renifler. J’ai dit: juste renifler, sans lécher. Pas comme ça crétin ! Tu ne sentiras rien si tu ne te mets pas à genoux!

Se laissant glisser sur le plancher du taxi, l’esclave se penche sur les élégants escarpins à talon haut. Une légère odeur de transpiration se mêle au parfum du cuir. Tout en ouvrant toutes grandes ses narines, il admire les chevilles fines, le galbe parfait de ses longues jambes, la rondeur fascinante des cuisses disparaissant sous la robe étroite. Placé comme il est, il ne peut pas voir plus haut mais ce spectacle lui suffit déjà, au point qu’il remarque à peine qu’Aline bavarde tranquillement avec le chauffeur. Sentant une main de sa Maîtresse lui tapoter la tête, il sursaute :

-suffit, mon mignon ! on est arrivé. Paye donc le monsieur !
Rougissant, n’osant pas regarder le chauffeur en face, l’esclave lui glisse un billet. L’homme, hilare, redémarre sans même rendre la monnaie.
Aline se dirige, déjà, vers un immeuble moderne, de sa démarche souple et impérieuse. Ses longs cheveux noirs tombent sur ses reins et se balancent légèrement à leur rythme. La courbe arrogante des fesses est soulignée par la ligne presque imperceptible du slip. Les muscles déliés des cuisses fuselées jouent sous les bas, d’un noir brillant.
Hypnotisé, l’esclave la suit. Devant l’ascenseur, un homme attend, une connaissance de sa Maîtresse car ils rient ensemble, sans faire attention à lui. La gorge sèche mais la braguette prête à éclater, il entre dans la cabine à leur suite.
Ce n’est que sur le palier qu’Aline se retourne, hautaine, d’une beauté insoutenable.

-tu as bien compris ce que j’attends de toi, esclave?

-oui maîtresse !

D’un geste sur, elle lui dégrafe le pantalon qui tombe, puis arrange les ailes du noeud de ruban, au bout de la verge tendue, avant de déverrouiller la porte et d’entrer en tirant l’esclave par la cravate. Les chevilles empêtrées, il a du mal à la suivre. A la porte du living, Aline l’abandonne pour aller embrasser une femme assise sur le canapé, avec qui elle se met à papoter tranquillement. Ce ne peut être que sa mère. Celle ci, en pantalon vert et chemisier blanc, est une dame un peu forte, aux cheveux gris tirés en chignon serré. Presque aussi grande que sa fille, elle a le même style de beauté arrogante, malgré les marques de l’âge et un certain embonpoint. Le cul à l’air, la queue enrubannée, l’esclave se sent grotesque.
Ce n’est qu’au bout d’un long moment que la femme s’enquiert de sa présence, d’un ton détaché :

– et ça qu’est ce que c’est?

– oh ça ? juste un petit cadeau ! Histoire que tu prennes un peu de bon temps pendant que tu es ici, maman chérie.

– comme c’est gentil de ta part!

De l’index, la dame fait signe à l’esclave d’approcher et commence par lui tâter les cuisses et les fesses, avant de s’attarder sur sa verge dont elle éprouve la rigidité en y enfonçant les ongles, tout en lui soupesant les testicules.

-de la chair fraîche ! ça me changera de ton vieux débris de père! et ça s’appelle comment?

-je crois que ça sait même parler!

– esclave Jérôme, à votre service Maîtresse.

La mère se mit à rire.

-on dirait qu’il connaît aussi les bonnes manières!

-pas tout à fait maman ! Il ne t’a pas encore saluée.

L’esclave tombe aussitôt à genoux et pose les lèvres sur les chaussures basses de la dame, qui le regarde faire en souriant. Aline précise :

-je ne m’en suis encore jamais servie. J’espère qu’il te conviendra !

– certainement ma chérie ! Il est mignon tout plein ! bien monté et il a l’air docile ! Que demander de plus ? je sens que je vais bien m’amuser ! Peut-être même que je vais être un peu méchante!

-ne te gène surtout pas: il est là pour ça! tu me connais. Mon plaisir avant tout! jeune est plein de santé comme il est, il doit pouvoir supporter n’importe quoi, et il le supportera! et toi ma chérie ?

-je vais te laisser avec ton joujou. Je passe la soirée chez Richard. Il a une nouvelle esclave, une jolie salope que nous allons traiter comme elle le mérite!

-amuse toi bien, ma petite chatte!

Aline se lève, embrasse tendrement sa mère, puis lance un léger coup de pied à l’esclave, toujours prosterné.

-et toi tache de ne pas décevoir maman ! N’oublie pas ce que je t’ai dit !

La porte une fois refermée, la dame caresse la joue de l’esclave, en souriant.

-on n’a pas l’intention de décevoir maman, n’est ce pas ?

– oh, non, maîtresse ! je ferais tout ce que vous voudrez !

-commence par te mettre à poil, mon mignon, tu as dix secondes!

N’osant pas se relever puisqu’il n’en a pas reçu l’autorisation, il se défait fébrilement de ses vêtements en se tortillant sur la moquette. Une fois nu, il se redresse face à sa Maîtresse. L’oeil gourmand, celle-ci dénoue lentement le ruban qui entoure la verge.

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