J’assume enfin ma nature de soumis!

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Apres des années de désirs refoulés, de secrets intimes, de solitude extrême et d’incompréhensions , je me suis rendu à l’evidence de mon désir de soumission à une femme, d’une manière brutale et soudaine. Ce fut lors de ma visite dans cette célèbre boutique d’articles fétichistes à Paris. Ainsi, j’allais enfin oser assumer ma nature de soumis publiquement pour la première fois. Convaincu de la supériorité féminine, et adorateur de la femme, j’étais désormais convaincu que cet endroit serait ma seule source de plaisir.

Je découvris, alors, toute la panoplie de jouets, instruments de torture et autres vêtements et accessoires! Aussi, je remplis mon panier très rapidement et je pris une grande décision. J’allais parler à Patricia, ma compagne depuis un peu moins de deux ans, et à qui je n’avais. encore, jamais, osé avouer mes fantasmes. De plus, je rêvais de revenir dans cette boutique en sa compagnie tenu en laisse et marchant derrière elle. Ainsi, je la regarderais décider elle même des instruments qu’elle voudrait utiliser. Mon regard se posa sur un écarteur de bouche. J’aimerais tant qu’elle décide un jour d’en faire usage sur moi.

 

Révélation de mon secret à ma compagne!

Courageux mais pas téméraire, je lui laissai une lettre déposée sur le lit à coté de ce panier que j’avais rempli dans cette boutique. Je pensais que le contenu de ce panier reflétait, parfaitement, mes fantasmes. Lorsque je rentrai plus tard, le soir, j’avais une boule au ventre. En effet, j’avais peur qu’elle me ridiculise, qu’elle ne comprenne pas ou pire, qu’elle soit déçue.

Je pris mon courage à deux mains pour sonner à la porte ! Son sourire, caché et malicieux, me réconforta. Cependant, je me sentais, toujours, confus, honteux et coupable d’avoir caché ce secret en moi depuis toujours. Ce secret qu’elle ne découvrait que maintenant, je ne l’avais jamais dévoilé à aucune autre femme auparavant.

L’interrogatoire commença et chacune de ses questions m’envahissait de volupté. Après lui avoir donné des explications désordonnées et confuses, son sourire s’estompa pour faire place à ce regard cinglant, interrogatif et plein de perplexité. Parmi les articles dans le panier, il y avait des revues sur certains thèmes, bien choisis,  tels que le cuckolding, l’humiliation publique, la déshumanisation et la dégradation. Cela m’aida à lui expliquer mes fantasmes les plus profonds!

 

  • C’est bien ce que tu veux! tu en est certain ?, me lança t’elle, avec un sourire plein de défi.

 

  • Oui je suis certain! Je le veux vraiment si cela te plait aussi,  lui dis-je aussitôt avec enthousiasme.

 

Mon excitation immédiate lorsqu’elle se déchaussa et me fit lécher ses pieds, ne laissa aucun doute sur la sincérité de mon engament et sur ma nature de soumis, encore moins sur mes fantasmes décrits avec precision.

 

Désormais, objet soumis de ma compagne!

 

soumis

Ensuite, nos jeux s’intensifièrent au fil des jours. Patricia semblait apprécier cette nouvelle réalité. Elle devenait plus libre et plus épanouie. De plus, elle se rapprocha d’avantage de ses amis(es). Ainsi, elle partagea notre « secret » avec certaines d’entre elles qui vinrent me voir. J’étais devenu un peu comme une attraction. Elles aimaient me regarder faire les taches domestiques ou la vaisselle, ou simplement les servir en tenue de soubrette. Ce spectacle les amusait beaucoup. Leurs remarques et moqueries ponctuaient mes taches.

Je soulageais leurs pieds quand Patricia me le demandait. Nos rapports étaient restés naturels, sans artifices ou comédie. Nous communiquions comme avant sauf que j’étais devenu son objet soumis, son adorateur qu’elle devait punir et humilier pour « son plus grand bien » comme elle le disait. Ainsi, nous vivions toutes sortes d’expériences délicieuses et nouvelles. Nous découvrions, ce nouveau monde, ensemble.

Au bout de quelques mois, elle se mit à sortir, de plus en plus fréquemment, le soir. Avant de partir, elle m’enfermait dans les toilettes où j’attendais impatiemment son retour. Lorsqu’elle rentrait, je passais ma langue avec fougue et passion, sur tout son corps en commençant par ses pieds fraîchement déchaussés et transpirants, sous ses rires moqueurs, amusés mais affectueux et tendres.

Un soir, elle rentra avec un homme. Je n’eus le droit à sa visite, qu’après le départ de ce dernier au petit matin. Je l’entendis faire l’amour, gémir, rire, s’amuser. Elle m’ignora, totalement. J’étais triste, et extrêmement jaloux. Effrayé par cet acte irréversible dont je ne connaissais pas les conséquences, j’étais, aussi affolé, en colère et très inquiet. Cependant, je dois bien l’avouer, j’étais, surtout, terriblement excité comme, jamais, je ne l’avais été.

 

Au petit matin, elle ouvrit la porte, rentra lentement me regardant de haut avec un air ironique. Sans un mot, elle posa son pied sur ma bouche avec fermeté comme pour me bâillonner la bouche. Ensuite, elle me lança:

  • c’est bien ça que tu voulais non ? tu vas être heureux mon chéri !je te le promets !

Elle s’accroupit vers mon visage, urina d’un jet puissant et chaud puis elle me laissa dans mon coin par terre enchainé. Ensuite, elle alla se coucher.

Abandonné par ma compagne mais heureux, d’être un homme soumis!

 

Ce fut le début d’une descente aux enfers pour moi. Ainsi, j’ai vécu les pires humiliations! En effet, lorsqu’ils allaient au restaurant, je devais les attendre dehors car je leur servais de chauffeur. Dans des clubs où je les accompagnais tous les deux, j’étais tenu en laisse sous les pieds de ma Maîtresse toute la soirée. Plus Patricia m’humiliait, plus je l’aimais. Je l’adorais comme une déesse et je la vénérais. Rien de ce qu’elle me faisait subir, ne me paraissait dur ni difficile, tant que je vivais dans son ombre et partageais sa vie.

Jusqu’au jour où, inévitablement, elle tomba amoureuse de cet ami, devenu son amant et finalement son homme. Celui ci n’avait pas de contact physique avec moi, mais acceptait mon existence car Patricia l’exigeait! Cependant, il pris, progressivement, le pouvoir dans cette relation. C’est ce que font, habituellement, les hommes dominants qui se croient supérieurs. Il ne supportait plus de me savoir au service de Patricia et cela devenait un sujet de discorde entre elle et lui. Hélas, pour moi, elle était amoureuse!

Ainsi, elle m’invitât un matin à partir, pour « prendre du recul » et « tenter ma chance avec une autre ». Elle semblait triste. Ainsi, elle était si affectueuse si bienveillante, altruiste et attentionnée. C’est qui faisait d’elle une Maîtresse unique et idéale.

Après une longue période de sevrage, de souffrance et de désespoir durant laquelle, je me remémorais sans cesse cette expérience. Avais-je trop forcé les choses? Avais-je bien fait de me dévoiler?  Peut-être s’était-elle sentie obligée ?

Cependant, avec le recul, aujourd’hui,  je ne regrette rien! Pas la moindre seconde! Et si je devais choisir à nouveau, je referais la même chose sans aucune hésitation!

Je suis désormais un homme soumis, convaincu et assumé, au service des femmes. Convaincu de mon infériorité et de la superiorité féminine , je suis heureux ainsi!

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