Cela faisait plusieurs semaines maintenant que nous avions eu notre première soirée et que ma conquête d’un soir, ma Maitresse dominatrice avait jeté son dévolu sur mon humble personne.
Une certaine routine s’était installée. J’avais quitté mon travail pour me mettre à mon compte et cela me rendait encore plus disponible, puisque j’officiais principalement à distance. De plus, il était question que j’emménage chez ma Maîtresse dominatrice.
Une bonne et une mauvaise nouvelle!
En cette fin de journée, j’avais effectué toutes les tâches qui m’incombaient quand j’entendis la porte s’ouvrir.
Aussitôt, je me mis à genoux, nu, bien sûr, les mains dans le dos et tête baissée pour accueillir Maîtresse M. Elle vint devant moi sans mot dire. Suivant le protocole qui avait été établi, je retirai ses chaussures avant de déposer un baiser sur ses pieds.
D’un geste du pied, ma Maîtresse m’autorisa à me lever pour la débarrasser de son manteau puis lui servir son verre de vin.
Une fois le rituel achevé, je vins me poser à genoux devant Elle qui était installée dans le fauteuil.
Ma Maîtresse dominatrice s’adressa alors à moi en ces termes :
- J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle : La mauvaise, je vais devoir m’absenter une semaine pour mon travail. La bonne, je t’ai trouvé une « baby-sitter ».
J’osais à peine lever le regard pour interroger ma Maitresse, la surprise se lisant sur mon visage.
Un mélange de surprise et d’excitation me parcourut.
Maitresse M continua :
- Je vais sortir mes affaires, tu auras la charge de les ranger dans ma valise. Demain, après m’avoir déposée à l’aéroport, tu as rendez-vous chez Madame K. Elle te fera une beauté afin que tu puisses rencontrer ta « baby-sitter » dans de bonnes conditions. Pendant que je sors mes affaires, va me faire couler un bain et mets le vin à bonne température, que je puisse me détendre.
Rituel du soir
Puis, ma Maitresse dominatrice se dirigea vers sa chambre, et au moment de quitter la pièce, elle dit :
- Exécution !
Je n’attendais que ce mot pour me diriger vers la salle de bain et y faire couler le bain relaxant qu’Elle affectionnait. Pendant que l’eau coulait dans la baignoire, je sortis la bouteille de vin blanc du réfrigérateur afin qu’il ne soit pas trop froid puis servis un verre.
Je retournai dans la salle de bain pour arrêter l’eau du bain. Il était à bonne température et juste moussant comme Maitresse M l’aimait.
Je me mis en position, toujours nu, à genoux, les mains dans le dos et tête baissée à coté de la baignoire et attendis ma Maitresse.
Celle-ci ne tarda pas. Elle claqua des doigt.
Aussitôt, je me m’exécutai pour l’aider à se déshabiller, en commençant, bien sûr par lui retirer ses chaussures, en restant à genoux.
Après avoir retiré ses chaussures, je me redressais afin de l’aider à se dévêtir.
Pendant qu’Elle rentrait dans son bain, j’allais ranger ses chaussures en veillant à leur propreté, puis je mis ses habit dans le panier de linge sale, panier dont je m’occuperai en journée.
Je revins à la salle de bains avec le verre de vin.
Pendant qu’Elle sirotait son verre dans son bain, j’avais l’autorisation de lui masser les pieds, ce que je fis sans hésitation, pour mon plus grand bonheur.
Plus de détails sur ma « Baby-sitter » pendant son absence
Lorsque Maitresse le décida, Elle sortit de la baignoire. J’attrapai vivement le peignoir pour l’envelopper et je lui servis de soutien pour qu’Elle sorte de la baignoire. Pendant qu’Elle se séchait, je vidai l’eau et passai un coup d’éponge pour garder le lieu propre.
Elle me passa alors le collier au cou et empoigna la laisse.
D’un geste discret mais ferme, je la suivis à quatre pattes jusqu’au salon.
Maitresse s’assit dans son sofa. Je vins me poser à genoux à ses pieds.
- Concernant ta « baby-sitter », je lui ai donné tout pouvoir sur toi durant mon absence. Elle connait nos règles mais essayera de te pousser un peu dans tes limites. Prends cela comme un apprentissage…
- … un stage de perfectionnement, ajouta-t-Elle en riant
- Tu l’appelleras « Madame ». Même si Madame T est une Maitresse, c’est encore moi TA Maitresse.
- Mais je pense que tu ne seras pas déçu.
- Donc, le programme de demain est le suivant. Rien ne change jusqu’à ce que tu me déposes à l’aéroport, tu porteras ma valise, cela va de soi. C’est une fois que j’aurai franchi les portes de l’embarquement que l’inconnu s’ouvre à toi. Tu te rendras directement à l’institut de Madame K, et là tu recevras les consignes de Madame T.
- Tu m’as bien compris ?
J’acquiesçai de la tête.
Fin de soirée sur la « table des délices »!
Le reste de la soirée se passa comme à l’accoutumé. Je la servis à table, mais ce soir là, Elle me dit de venir sous la table, ma tête entre ses cuisses, afin qu’Elle puisse « bien profiter de ma langue » durant son repas. Comme d’habitude, Elle m’imposait son rythme en serrant ou desserrant ses cuisses. Elle eut donc son dessert par ma langue.
Après le repas, je finissais la vaisselle quand je l’entendis m’appeler depuis le « garage ».
Je m’y rendis immédiatement.
- Comme tu as été plutôt sage et bien obéissant, mets toi en position !
Sans me faire prier, je me penchais sur la « table des délices ».
Ma Maitresse dominatrice attacha mes chevilles aux pieds de la table et mes poignets et la laisse de mon cou au bout de la table.
Elle retira ma cage de chasteté, et la remplaça par la pompe que je connaissais bien. Ensuite, elle passa devant moi pour s’équiper du gode-ceinture devant mon regard brillant d’envie.
Prenant le lubrifiant, elle revint derrière moi pour badigeonner mon trou.
- Ça va me manquer, durant cette semaine… murmura-t-Elle à mon oreille.
Puis, Elle s’enfonça doucement en moi. Une fois à fond, Elle enclencha la pompe.
- Tu seras bien vidé, et comme ça, demain, tu feras bonne impression. Ne me déçois pas !
Alors que la pompe faisait son office, Maitresse entreprit le va-et-vient.
Ma verge grossit presque immédiatement. Je retenais mes râles sous les coups de boutoir de ma Maitresse alors que la pompe faisait son office.
- Ce soir, je veux t’entendre ! me dit-Elle
Je comprenais pourquoi Elle ne m’avait pas mis le bâillon boule.
Ne me faisant pas prier, je laissais mes râles et cris sortir de ma bouche.
De temps en temps, Elle se retirait pour me claquer les fesses, puis reprenait de plus belle.
Je perdis toute notion du temps et ne saurais dire combien de temps la séance dura, mais j’avais eu droit à une traite qui avait retirer jusqu’à la dernière goutte… Traite que Maitresse me fit boire, car « Il ne faut rien gâcher ! », comme Elle aimait à me le dire.
Le reste de la soirée fut plus calme et Maitresse alla se coucher car le réveil serait matinal.
Pour ma part, je fis sa valise, finis de ranger et nettoyer garage et maison, puis j’ai rejoint ma couche dans la chambrette attenante à celle de ma Maitresse.
Départ de ma Maîtresse dominatrice
Je m’étais levé pour préparer le petit déjeuner de Maitresse.
Celle-ci arriva dans la cuisine et me mis une grande claque sur la fesse en guise de bonjour.
Je lui servis son café, Elle me fis signe de venir à ses pieds, je m’exécutais.
Elle prit le collier (rose, mon préféré) et me le passa autour du cou.
Elle y posa un cadenas et dit :
- Comme cela, tu n’oublieras pas qui est TA Maitresse, je suis la seule à avoir la clef !
Je fis Oui de la tête.
Ma Maitresse alla s’habiller, je rangeais et nettoyais tout. puis alla me vêtir pour sortir.
Pas de sous-vêtement, seule la cage assortie à mon collier séparait ma verge de mon jeans. Un tee-shirt vite enfilé et j’allais charger la valise de Ma Maitresse pour la déposer à l’aéroport.
Je fermais la maison pendant que Maitresse allait en voiture.
Je pris le volant direction l’aéroport. Ayant trouvé une place de parking assez proche de l’entrée, j’ouvrais la porte de la voiture à Maitresse, puis alla chercher sa valise.
Je l’accompagnais jusqu’à la porte d’embarquement.
- Maintenant, tu vas directement à l’institut, je te laisse entre de bonnes mains. J’aurai de toute façon des rapports quotidiens, alors rends moi fier de toi.
- Oui Maitresse
Puis Elle disparut par la porte.
Je me hâtais de rejoindre la voiture afin de me rendre à l’institut de Madame K dans le temps qu’il m’avait été donné.
A suivre
