Je m’appelle Jenyfer et je vis, aujourd’hui, une vie heureuse avec mon mari qui m’est soumis et solidement sous contrôle. Ce fut une démarche parfois compliquée, et semée d’embûches. Ma décision de passer notre mariage sous mon autorité a été une étape majeure. Mais c’est surtout la mise en chasteté de mon mari soumis qui a été l’étape la plus décisive et m’a fait avoir la vie ce que j’ai toujours désirée et méritée.
Il m’a fallu plus de quarante ans pour en arriver là, avec des problèmes du quotidien. Je vais vous expliquer comment j’ai réussi. Ainsi, j’espère que ça vous aidera à comprendre le point de vue d’une « méchante garce », comme on me surnomme parfois (avec raison 😊).
J’ai été élevée par une mère célibataire, avec trois frères et sœurs plus jeunes dont il fallait que je m’occupe. Ainsi, j’ai, donc, eu très tôt beaucoup de responsabilités. Il m’a fallu être assez autoritaire pour que ça marche. J’ai pu commencer mes études. Cependant, très vite, j’ai été enceinte puis je me suis mariée à vingt-et-un an avec un homme violent. Ce premier mariage a duré quatre ans. J’ai fini par divorcer et me je suis jurée de ne plus jamais me remarier. J’ai repris mes études le soir, puis en fac de droit, et suis devenue avocate, tout en élevant ma fille.
Après vingt ans de mariage, changement radical pour sauver notre relation!
Il y a environ cinq ans, j’ai rencontré un homme gentil, doux et attentionné. Je me suis finalement quand même remariée. Il était différent des hommes que j’avais connus auparavant. Je suis métisse, et c’était aussi le premier blanc avec qui je sortais. J’étais heureuse d’être avec quelqu’un dans ma vie, mais le mariage n’était pas vraiment satisfaisant.
Pour couronner le tout, mon mari, après perdu son emploi, n’a pas réussi à en retrouver. Heureusement, ma carrière progressait bien à ce moment là. Ainsi, je suis devenue associée du cabinet d’avocat où je travaillais. Je pouvais, donc, subvenir à nos besoins. Cependant, je commençais à m’en vouloir d’être soutien de famille. De plus, mon mari ne me satisfaisait pas du tout au lit. Je ne supportais plus qu’il soit faible et indécis et que je doive l’entretenir financièrement.
Alors, l’an dernier, je l’ai fait s’asseoir et je lui ai annoncé que notre mariage était fini car j’étais trop insatisfaite. Comme je m’y attendais, il a pleuré comme une fillette puis il m’a supplié. Il avait besoin de moi et il était prêt à faire tout ce que je voulais pour qu’on reste ensemble. Comme j’appréciais quand même sa compagnie, et je lui ai annoncé que nous pourrions rester ensemble à condition qu’il me facilite la vie et joue un nouveau rôle dans notre relation.
Désormais, mariage gynarchique!…
En vérité, comme il ne travaillait pas et ne savait rien décider, mon vieil instinct autoritaire ressortait de plus en plus. Il m’a juste donc suffi de formaliser les choses, en décidant de vivre dans une relation officiellement sous mon autorité. Il a accepté assez facilement son nouveau rôle. Cependant, il rechignait parfois à faire certaines choses, comme devoir me demander la permission pour tout et ne pas avoir d’argent à lui. Mais les premiers mois ont bien fonctionné pour nous.
Peu à peu, il a commencé à se relâcher. Cependant, il continuait, parfois, à me harceler pour avoir des relations sexuelles, même si j’avais clairement indiqué que ça n’arriverait plus. De plus, pour aggraver la situation, je me suis aperçue qu’il passait la majeure partie de son temps à la maison à se masturber, ce qui expliquait beaucoup de choses. Je me suis alors beaucoup documentée sur les relations dirigées par la Femme, et j’ai à nouveau modifié les règles. Il a alors dû accepter à contrecœur de porter une cage de chasteté.
Après quelques semaines sous cage, il semblait s’adapter et a cessé de se plaindre. Mais au cours des mois suivants, il s’est à nouveau relâché. Et c’est là qu’un jour, je l’ai pris en flagrant délit. Ainsi, j’ai découvert qu’il réussissait à extraire son engin de la cage de chasteté et à se faire plaisir. Malheureusement pour lui, j’ai choisi une cage beaucoup plus ajustée qui lui bloquait complètement tout accès.
…Mon mari soumis, en cage de chasteté!
Depuis ce changement, s’il se comporte bien, il est brièvement libéré une fois par semaine. Je vous garantis qu’il est devenu un très bon garçon depuis. La cage l’a finalement rendu totalement obéissant et soumis. Notre mariage est, maintenant, parfait en ce qui me concerne.
En fin de compte, je refuse de m’excuser de vivre comme un homme qui réussit.
A la maison, j’ai une « femme », enfin un petit mari soumis, qui fait toutes les corvées et me facilite la vie au maximum. Il est complètement dépendant de moi et sursaute quand je lui donne un ordre. De plus, il doit accepter que j’aie une vie sexuelle active et épanouie hors mariage. Sa cage de chasteté est fondamentale. En effet, c’est un système simple de récompense et de punition qui le maintient dans les règles et à mon entière disposition. C’est ainsi que j’y suis arrivée. En résumé, cela a pris du temps mais j’ai la vie qui me convient.
La cage de chasteté comme moyen de contrôler mon mari!
L’utilisation de la cage de chasteté dans notre relation est simplement une question de contrôle. Il ne s’agit pas de lui causer de la douleur. Cependant, comme il manque d’autodiscipline et de motivation, la cage de chasteté lui permet de rester concentré. De plus, cela me fournit un parfait système de récompense/punition. Il ne l’aime pas trop au quotidien, mais il comprend que cela a rétabli notre relation.
Avant ça, j’étais toujours frustrée et en colère contre lui. Il avait honte de sa paresse et de son manque de maîtrise. Maintenant, je suis heureuse et reconnaissante et il a ce qui lui est nécessaire pour bien me satisfaire et me servir. Nous sommes tous les deux dans nos rôles naturels. Notre relation est plus saine qu’elle n’a jamais été.
Grâce à la chasteté, j’ai un moyen de pression. En effet, mon mari a pris vingt kilos depuis que nous nous sommes mariés. Il s’est vraiment laissé aller et mange très mal. Je lui ai donc fixer un objectif : il doit perdre un demi-kilo par semaine. Je le pèse chaque fin de semaine.
Parfait équilibre entre récompenses et punitions!
Jusqu’à présent, il a atteint son objectif toutes les semaines (sauf une) et a déjà perdu 10 kilos. Il se sent fier et a un sentiment d’accomplissement. De plus, il a plus d’énergie et est donc plus heureux. Il n’aurait jamais modifié son régime alimentaire ni fait ses exercices s’il n’avait pas été incité à obtenir sa libération hebdomadaire de la cage, et il le reconnaît. La carotte fonctionne beaucoup mieux que le bâton d’après mon expérience.
Autre chose, quand nous sortons, il doit porter une gaine sous ses vêtements parce que je refuse qu’on me voie avec un homme négligé. Il déteste ça parce que c’est inconfortable. Cependant, il sait que, dès qu’il aura atteint son objectif, il n’aura plus à la porter. Cela l’a motivé à perdre encore plus de poids certaines semaines. Donc, je contaste, encore une fois, que l’espoir d’une récompense le motive à faire ce qui est bon pour lui.
Chaque dimanche, s’il l’a mérité, je déverrouille sa cage et il est libre de faire ce qu’il veut. Je n’ai nulle envie de le regarder ou de le superviser. Ainsi, je le laisse tranquille et espère qu’il s’amuse. En fait, je veux qu’il soit motivé et se comporte bien jusqu’à la prochaine libération. Puis, il remet la cage remonte et repart pour une nouvelle semaine. Je le laisse tranquille pour qu’il s’amuse.
Ainsi, je l’autorise à se masturber et l’équilibre entre récompenses et punitions fait bien fonctionner notre relation sous ma suprématie.
Un mariage gynarchique ne fonctionne qu’avec une vraie dominatrice et un vrai soumis!
De toute façon, j’ai pleine autorité sur lui. Lui accorder du plaisir ne diminue pas ma domination. Je pense qu’il n’est pas réaliste ni productif de refuser en permanence à son mari soumis toute gratification sexuelle.
En revanche, les châtiments corporels ne font pas partie de notre relation. La cage le maintient concentré. Les seules punitions sont la perte de certains privilèges comme surfer sur Internet ou regarder la télévision. Sa libération hebdomadaire est la carotte qui le maintient motivé. Ainsi, je n’ai pas vraiment besoin d’utiliser le bâton.
En général, en tant que femme affirmée et dominante, je suis considérée comme une garce méchante. Et je reconnais que je suis égoïste et dure avec mon mari soumis. Je voudrais partager cette expérience de relation de suprématie féminine, avec celles qui envisageraient la même chose.
Pour moi, on ne peut pas « chasser le naturel » car il revient, toujours, au galop! On ne change pas la nature profonde d’une personne. Je suis une femme Alpha naturellement affirmée, décidée et égoïste, alors que mon mari est un homme Bêta naturellement faible et soumis. C’est comme ça que j’ai pris le contrôle de notre relation et qu’il est devenu mon mari soumis. Il n’a pas trop résisté de par sa nature.
Un vrai homme alpha n’aurait pas permis à sa femme de l’encager et de lui enlever sa virilité. Ainsi, même si certaines femmes veulent prendre le contrôle, si leur mari n’est pas naturellement soumis, il n’acceptera pas.
A l’inverse, certains hommes veulent que leur compagne prenne le contrôle. Cependant, si elle n’est pas naturellement dominante, elle ne sera pas à l’aise et la suprématie féminine ne fonctionnera pas.
Toujours être ferme mais juste avec son mari soumis!
Surtout pour que ce type de relations fonctionne, il faut être ferme mais juste. Cohérente à tout moment, avoir un système transparent de récompenses et de punitions. Mon mari connait exactement les règles et ce que j’attends de lui. S’il échoue ou me désobéit, il connait la punition qui l’attend. S’il me fait plaisir et accomplit toutes ses tâches, il sait qu’il pourra compter sur une récompense, c’est-à-dire une libération de sa cage de chasteté.
Parfois, je suis de mauvaise humeur et j’ai envie de m’en prendre à lui, mais je ne le fais pas parce que ce ne serait pas juste.
A l’inverse, parfois je le trouve émouvant mais je m’en tiens aux règles. Par exemple, il sait qu’il doit perdre un demi-kilo par semaine car il est en surpoids et je le veux mince. L’autre jour, je l’ai pesé sur notre balance de précision et il a manqué son objectif de 100 grammes, avec pour conséquence de rester encagé pendant une semaine supplémentaire. Il était presque en larmes et j’avais vraiment de la peine pour lui. Cependant, il était important d’être cohérente, de maintenir la discipline et de laisser la cage.
Interdiction de gémir ou de se plaindre
Une autre de mes règles est l’interdiction de gémir ou de se plaindre. Il devait donc juste accepter, et savait que s’il me suppliait de le libérer, je lui ajouterais une autre semaine de chasteté. Dur, mais juste.
La cage de chasteté était nécessaire pour la sécurité. Cependant, ça va bien plus loin. En effet, les hommes ont un sentiment de fierté et d’arrogance sur le simple fait d’avoir un pénis. Ainsi, une bonne cage bien ajustée lui enlève tout accès à sa bite et le rend même plus féminin.
En effet, il ne peut plus bander, et cela l’oblige aussi à s’accroupir pour faire pipi. Ça a un énorme effet psychologique et humiliant pour l’homme en le rendant beaucoup moins arrogant, provocateur ou macho et en éradiquant ses côtés masculins qui gênent la suprématie féminine. Pour mon mari, ça a eu un effet immédiat sur sa personnalité et a modifié positivement son attitude.
Gérer sa chasteté me donne tout le contrôle dont j’ai besoin, il a soif d’être libéré et ça suffit à le garder productif et sage.
Retrouvez-moi dans une deuxième partie! Pour encore plus de conseils sur comment domestiquer son mari soumis?
A suivre
beau accomplissement