En route pour aller chez Madame T, ma Maîtresse dominatrice
Je revins à l’entrée de la boutique attendre ma Maîtresse dominatrice qui discutait avec la vendeuse qui était également la propriétaire de la dite boutique.
Au bout de quelques instants, Madame T se décida à me rejoindre. Après avoir pris les clefs de la voiture, elle me fit monter dans le coffre.
- Tu n’as pas a savoir où nous allons, dit-Elle.
Je regrettai d’avoir mis les paquets dans le coffre car j’avais moins de place.
Privé de la vue, nous avons roulé pendant ce qui me sembla une éternité. Cependant, la conduite de Madame T était plutôt douce et agréable.
Enfin, la voiture effectua une dernière marche arrière avant de s’arrêter et que le moteur soit coupé.
Il se passa encore de longues minutes avant que j’entendis les talons claquant sur le sol se rapprocher.
Le coffre s’ouvrit, et même si la lumière n’était pas violente, je fus ébloui.
Avant que je ne reprenne le contrôle de mes sens, je sentis qu’un collier en cuir était fixé à mon cou.
Madame T me saisit par le collier pour me tirer hors du coffre. Je me retrouvai à quatre pattes dans ce que je découvris être un garage.
- A poil, ordonna-t-Elle.
Je m’exécutai immédiatement, retirant le tee-shirt, puis le pantalon, toujours à quatre pattes.
En accrochant une laisse à mon collier, Elle dit :
- D’abord, un nettoyage complet, mais je vais te faire visiter les lieux !
Puis d’un mouvement sur la laisse, Elle m’ordonna de la suivre.
Découverte de mon nouvel environnement
Ainsi, nous sommes passés du garage à la buanderie, puis à la cuisine. De là, Madame T m’a promené dans ce que j’ai découvert être une maison simple mais spacieuse, décorée avec goût.
Finalement, arrivés dans la chambre, elle ouvrit une pièce qui donnait aussi sur le couloir.
Dans cette pièce, je pus voir un matelas à même le sol, une table basse avec un miroir contre le mur et un lavabo bizarrement bas.
- Voilà ta chambre, dit-Elle. Tu vois, tout est prévu pour que tu restes à quatre pattes ou à genoux. Tu as ce qui est nécessaire pour être prête avant mon réveil. Je te donnerai mes consignes.
Nous sommes ressortis par l’autre porte, qui donnait directement dans le couloir.
C’est à ce moment que j’entendis quelqu’un sonner à la porte.
Me tirant par la laisse, Madame T se dirigea vers l’entrée.
La porte s’ouvrit et une Femme musclée entra.
- C’est ça, le bestiaux ? demanda-t-elle
- Tout à fait, répondit Madame T.
- Ok, je m’en occupe. La totale, je suppose ?
- Exactement, tu as tout compris.
Puis s’adressant à moi, Madame T dit :
- Voici ta toiletteuse, elle est spécialisée dans les grosses bêtes. Elle va te faire toute propre et te donner les consignes pour le rester au quotidien. Tu n’as pas intérêt à moufter, sinon… Elle a carte blanche pour ton éducation hygiénique.
Elle tendit la laisse lui en disant :
- Tu connais les lieux?
- Tout à fait, je m’en occupe.
Direction le lavage
Cette grande Dame tira alors sur la laisse pour me ramener à la buanderie que je n’avais pas détaillée lors du passage précédent.
Tirant sur la laisse, elle me fit monter sur une table équipée d’un écoulement d’évacuation.
Elle accrocha la laisse à un anneau au mur, puis je sentis des entraves accrocher mes chevilles.
- Commençons par l’intérieur, dit-elle.
Elle prit ma tête en mains, m’ouvrit la bouche et commença l’inspection.
Puis, se saisissant d’une brosse à dents, elle se mit à nettoyer et frotter mes dents, mes gencives, ma langue. Elle rinça le tout avec un produit type bain de bouche.
- Bon, devant c’est fait, passons de l’autre coté !
Elle enfila des gants en latex et vint alors poser une main sur ma croupe.
Je sentis un léger jet d’eau sur mes fesses. Celui-ci se rapprocha pour complètement mouiller mon SIF.
Toilettage intégral
Je sentis qu’elle déposait du savon sur mes fesses, entre mes fesses et d’un coup, elle me pénétra avec un doigt. Ceci me fit sursauter et me cambrer.
- Mais c’est qu’il aime ça, notre petit soumis!, dit-elle… Au fait, il ou elle ?… ne réponds pas, je sais que c’est « elle », petite cochonne.
Tout en parlant, elle inséra deux doigts et commença à masser en frottant pour bien savonner.
Je n’osais gémir, mais ma cambrure parlait d’elle même.
- Et maintenant, on rince ! dit-elle en retirant ses doigts.
Elle inséra alors un embout enema et je sentis l’eau me remplir.
Même si je m’étais déjà pratiqué des lavements, la sensation de le subir est totalement différente.
Elle me fit me redresser à genoux, afin de bien vérifier l’écoulement et effectua plusieurs rinçages internes jusqu’à ce que l’eau qui sorte soit claire.
Me laissant à genoux, elle entreprit alors de savonner ce qui était mon sexe devenu clito dans les moindres recoins, puis l’ensemble de mon corps, de la tête aux pieds.
Après un rinçage intégral, elle m’essuya complètement.
Départ de la « toiletteuse »
Une fois séché, elle détacha les entraves de mes chevilles.
Me tenant par la laisse, elle me fit descendre de la table, et m’amena dans le salon ou Madame T sirotait ce que je supposais être un thé.
- Et voilà, elle est toute propre, ta petite cochonne.
- Super, tu fais toujours un excellent travail.
Madame T, ma Maîtresse dominatrice, prit la laisse en main et nous raccompagnâmes la toiletteuse jusqu’à la porte.
Refermant la porte, Madame T me dit :
- Première règle, que tu as déjà comprise, tu te déplaces systématiquement à quatre pattes. Les seuls moments où tu as le droit d’être debout, c’est lorsque tu portes ta tenue de petite cochonne dévergondée, soumise et servile. C’est bien compris ?
- Oui Madame, répondis-je en baissant la tête.
- Bien, maintenant, on va s’occuper de ton maquillage. Reste près de la porte d’entrée, j’attends la maquilleuse.
Madame T accrocha la laisse à un anneau scellé au mur, puis, me laissant ainsi, alla finir de siroter son thé dans le salon.
A suivre