Virginie s’installa sur son dos en tenant la laisse et attrapa la lanière de cuir. Elle tira légèrement sur les deux en même temps, obligeant Alain à se redresser. Elle fit glisser ses éperons sur les cuisses d’Alain comme pour lui rappeler qu’elle les portait encore. Puis sans dire un mot, sa nouvelle dominatrice claqua son talon sur ses cuisses. Alain se mit à avancer lentement.
Virginie le guidait avec la laisse, puis elle claqua son talon plus fort ce qui poussa Alain à accélérer le mouvement. Mais il avait quelques difficultés à avancer avec Virginie sur son dos et la fatigue qui commençait à se faire sentir malgré l’excitation et la tension.
Très difficile d’avancer avec sa dominatrice sur le dos!
Voyant qu’il ralentissait, Virginie décida tout d’abord de donner un coup de cravache, toujours sans rien dire. Alain tenta de reprendre un rythme plus rapide mais s’épuisa rapidement. C’est alors que Virginie commença à appuyer avec son talon pour que l’éperon s’enfonce dans la cuisse d’Alain. Elle faisait rouler l’étoile et chaque bout pointu en fer s’enfonçait un peu plus dans la chair d’Alain qui sentit la douleur et poussa le peu d’énergie qu’il lui restait pour trotter à quatre pattes selon les désirs de Virginie.
Il devait s’arrêter régulièrement pour reprendre son souffle et surtout ne pas chavirer ce qui risquerait d’énerver son Maître. Virginie tira alors sur la lanière de cuir, tirant ainsi sur les boules d’Alain et en même temps lui donnait des coups d’éperons dans les cuisses. Alain se mit à gémir à travers son baillôn boule et se sentit défaillir mais continuait tant bien que mal à avancer.
- Stop, dit Virginie.
Alain s’arrêta et en profita pour reprendre son souffle. Ses cuisses étaient en sang du fait des coups d’éperon. Virginie posa ses pieds au sol et se releva Puis elle poussa sa semelle sur le dos d’Alain, l’obligeant à fléchir et se mettre à plat ventre. Elle posa alors son deuxième pied sur son dos et commença à lui marcher dessus, laissant les marques de ses talons sur sa peau. Elle tenait toujours la lanière de cuir et s’en servait pour rester en équilibre sur son dos, ce qui fut doublement douloureux pour Alain entre les talons enfoncés dans sa chair et la pression sur ses boules.
Cravaché par Virginie, sa nouvelle dominatrice!
Il ne pouvait que subir et gémir dans sa boule. Puis Virginie partit dans la chambre et revient avec la longue cravache.
- A quatre pattes!, dit-elle doucement.
Alain exécuta son ordre et Virginie prit la laisse puis s’éloigna au maximum, tendant la laisse.
- Redresse toi sur tes pattes arrières dit-elle.
De suite, Alain se redressa sur ses genoux pliant les bras comme pour faire le beau.
- A quatre pattes maintenant dit-elle
Alain se remit à quatre pattes. Virginie lui donna un coup de cravache sur les fesses pour le faire avancer. Il se mit à avancer tandis que Virginie tenait fermement la laisse. Elle donna un autre coup de cravache.
- Plus vite larbin, ordonna-t-elle.
Il avança plus vite.
- Stop! Couché!
Les ordres s’enchaînaient de plus en plus vite et Alain tentait de suivre tant bien que mal. La cravache lui rappelait quand l’ordre n’était pas exécuté assez bien ou assez vite. Virginie continua ainsi pendant plus d’une heure, poussant Alain à l’épuisement.
Libéré de sa cage de chasteté
Finalement Virginie mit fin à cette série d’exercice et alla s’installer sur le canapé.
- Viens là dit-elle doucement à Alain.
Alain se traîna jusqu’à ses pieds.
- Lève-toi, dit-elle en sortant la clé de la cage de chasteté de sa poche.
De suite, Alain se releva et se tint debout devant Virginie qui retira la cage. Alain put sentir son sexe se libérer ce qui lui procura un certain bien être.
- Assis entre mes jambes!, dit-elle.
Alain s’installa dos au canapé entre les jambes de Virginie qui déposé ses pieds sur ses cuisses. Le sexe d’Alain était gonflé et tendu au maximum. Elle retira alors le baillôn boule rempli de la bave d’Alain ce qui lui procura un grand soulagement. Ensuite, elle lui caressa les cheveux et rapprocha ses lèvres de son oreille pour lui parler.
Elle chuchotait.
- Tu veux te caresser ? demanda-t-elle
- Oui Maître répondit immédiatement Alain.
Elle posa délicatement ses lèvres sur sa joue tout en lui caressant les cheveux.
- Tu aimerais pouvoir m’embrasser ? demanda-t-elle.
- Oui Maître, j’en rêve répondit Alain fébrile à l’idée d’embrasser Virginie.
A genoux devant Maître Virginie!
Les lèvres de Virginie était au bord des siennes. Alain se sentait surexcité par cette promiscuité et cette douceur. Il sentait la respiration de Virginie, son souffle sur sa joue, c’était une sensation fabuleuse pour lui. Virginie lécha son doigt ganté et le déposé sur les lèvres d’Alain qui ne put s’empecher de le lécher. Son excitation était si forte qu’il avait peur de jouir se même toucher son sexe. Virginie glissa son doigt dans la bouche d’Alain qui n’en était que plus heureux. Il ne pouvait s’empêcher de gémir de plaisir.
Puis Virginie retira son doigt et tira ses cheveux lentement, l’obligeant à tourner la tête vers le haut. Elle mit sa tête au dessus de la sienne et laissa sortir un filet de bave de sa bouche vers la bouche d’Alain qui ouvrit et avala tout ce qui entrait.
Puis Virginie le lâcha et se leva pour se mettre face à lui.
- Mets toi à genoux larbin, dit-elle.
Il se mit à genoux devant elle et attendit.
- Caresse toi doucement et ne jouis pas sans mon ordre, dit-elle.
Obligé de se caresser mais interdiction de jouir!
Alain était stressé car il n’était pas sûr de pouvoir se caresser sans jouir. il prit son sexe dans sa main et commença à se caresser très lentement.
Voyant cette précaution, Virginie se mit à rire.
- Tu es donc incapable de te contrôler ? demanda-t-elle
- J’ai peur de jouir Maître, répondit Alain. Vous êtes si excitante et merveilleuse Maître.
Virginie rit à nouveau.
- Je sais, dit-elle. Pour toi je suis une Déesse.
- Oui Maître dit Alain, toujours prudent en se caressant.
Virginie se déplaça un peu devant lui, observant ses vas et viens de sa main sur son sexe.
- Veux-tu jouir ? demanda-t-elle
- Oui Maître dit Alain qui ne tenait plus.
- Et bien vas-y dit-elle.
Alain fut surpris mais ne se posa pas plus de question et accéléra le rythme pour enfin pouvoir libérer cette pression. Très rapidement il se mit à jouir et au moment où les premiers jets de sperme apparurent, sa dominatrice lui donna un violent coup de pied entre les jambes. Passé la surprise, Alain sentit la douleur rapidement monter en lui tendit que sans même qu’il s’en rendre compte, le sperme continuait à gicler de son sexe. Il s’écroula au sol, recroquevillé sur lui même.
Virginie approcha sa botte de son visage sans rien dire. Alain tendit la langue pour lécher le cuir de sa botte.
- Merci Maître, dit-il.
- Bien! dit-elle. Tu vas me nettoyer toutes ses cochonneries. Pendant ce temps je vais me préparer pour sortir.
Elle quitta la pièce et Alain resta ainsi un moment pour reprendre ses esprits et attendre que la douleur passe.
J’adore sa dévotion envers son maître !
Un soumis qui n’exige que la prise en charge de sa maîtresse