Depuis plusieurs semaines, je côtoie une jeune femme, très belle, charmante et qui me rend assez dingue. Le seul truc, c’est qu’on se voit souvent, que peu de temps. De plus, nous ne sommes jamais arrivés à la fin et aux « calins ». Pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque tant je la trouve belle et séduisante. Et si elle fait souvent preuve de charme et d’attirance, elle sait toujours me laisser à distance le moment fatidique. En fait, elle me demande d’être patient.
Première soirée chez ma copine
Cependant, un soir, je reçois un message me proposant de venir passer « la soirée et la nuit » chez elle, le samedi suivant.
Je ne suis jamais allé chez elle. Nous nous sommes toujours vus chez moi ou en extérieur. C’est donc pour moi une grande première et un signe que les choses vont enfin bouger. Ce week-end, je pourrais sans doute avoir le plaisir de faire l’amour avec elle.
Tout le reste de la semaine, je ne pense qu’à ça. Je suis tellement excité à cette idée.
Le samedi arrive. Je me fais le plus beau possible. Je choisis avec soin mes vêtements. Lorsque j’arrive, ma si belle copine m’ouvre la porte. Toujours aussi sublime, elle porte une robe de soirée comme si elle allait sortir en boîte. Je la trouve trop belle et je suis flatté qu’elle se soit habillée comme cela pour moi.
Nous nous embrassons tendrement et langoureusement, dès nos retrouvailles. Je suis déjà bien excité. Ainsi, je me permets de la prendre dans mes bras et de laisser aller mes mains sur ses fesses galbées.
Elle me prend alors mes mains et m’emmène vers le salon.
Et là, à ma grande surprise, une dame est assise sur le canapé.
- Je te présente ma maman. Nous vivons ensemble ici. Elle avait très envie de te rencontrer tu sais.
Je reste bouche bée. En effet, je ne m’attendais pas à trouver quelqu’un d’autre que ma copine ce soir et surtout pas sa mère !
Je dois bégayer un « bonjour » et je regarde ma copine qui doit voir mon incrédulité.
- Viens t’asseoir Cédric, ne sois pas timide on va faire connaissance, me dit sa maman.
Abasourdi par la présence de la mère de ma copine
Je m’asseois à la fois incrédule face à la situation et terriblement frustré une fois de plus de ne pas pouvoir profiter seul de ma copine.
- Cela doit te paraitre étrange de me voir et tu ne devais pas t’y attendre, me dit sa maman bien consciente de mon incrédulité.
- Si Julie ne t’a pas parlé de moi, sache que moi je sais tout sur toi. On se dit tout. Je sais par exemple que tu as un grain de beauté près de ton sexe ou que tu aimes appeler ta maman les dimanches à 11h pendant qu’elle se rend à la messe.
Alors là je suis encore plus abasourdi et regarde furieusement ma copine. Comment pouvait-t-elle raconter tout celà à sa mère !
- Oh ne sois pas en colère Cédric. Et n’en veux pas à Julie. Nous sommes comme ça entre nous et j’ai éduqué ma fille comme cela. Chez nous la transparence est une valeur primordiale. Comme le sont le féminisme, la gynarchie et le respect de l’autorité.
Chez nous, nous sommes tellement proches mais également exigeantes. C’est pourquoi je suis là ce soir et que tu es là. Si tu veux aller plus loin avec Julie, il va falloir que je valide, que j’autorise.
Ça peut te paraître « old school » mais chez nous c’est comme ça et ma fille est 100% d’accord avec moi, pas vrai Julie ?
Ma copine acquiesce sans hésitation. Je reste, encore, bouche bée devant tant de surprises, depuis quelques minutes.
Ma future belle-mère, une femme dominatrice?
La maman continue son speech :
- Chez nous, nous avons des critères d’exigence très précis sur les hommes. Nous croyons à la gynarchie (le pouvoir des femmes sur les hommes) et militons pour plus de féminisme dans la société et en privé. Tu dois donc savoir qu’il te faudra t’accorder avec cela si tu veux rentrer dans notre famille. Et faire une déclaration de principe ne suffira pas, ce sont les actes que je jugerai et rien que les actes.
Je comprends très bien ta surprise mais soyons clairs et transparents désormais pour ne pas perdre de temps.
Ce soir, Julie va partir et nous laisser seuls. Si tu l’acceptes, je profiterais donc de ce moment pour te juger sur ta capacité à devenir le fiancé de ma fille. Je le ferais à ma façon comme il faudra que tu t’adaptes à ma fille (qui a des comportements très proches du mien) à l’avenir.
Donc, c’est simple, maintenant que les choses sont dites, on te laisse le choix. Ou tu restes et tu acceptes les règles que je viens de te donner, ou tu pars et tu ne reverras plus ma fille !
Wahou ! C’est dur à encaisser tout ça !
Je suis sur le cul mais je ne veux pas me laisser impressionner par cette femme dominatrice. Je suis raide dingue de Julie. Ainsi, je ferais tout pour être avec elle car je ne veux pas la perdre. J’arriverais bien à « séduire » sa mère aussi. Même si je m’attendais pas à une telle belle-mère d’entrée de jeu !
J’accepte donc son deal et je vois ma Julie me faire un bisou sur la bouche puis prendre son manteau et s’en aller.
- Je t’appellerai quand ce sera bon et que tu pourras rentrer, lui dit sa mère dans un petit sourire.
Seul avec la mère de ma copine, dominatrice, adepte de la Gynarchie
Me voilà donc seul avec cette dame, très belle et bien conservée d’ailleurs. Je ne l’avais pas remarqué jusqu’à présent mais c’est une belle femme de 45-50ans je dirais. Elle est habillée élégamment d’une jupe en cuir et d’un haut en imprimé léopard qui laisse suggéré un joli décolleté et une poitrine généreuse.
- Bon Cédric. Nous voilà seuls.
Dis-moi, te rappelles tu ce que tu m’as dit en premier lieu lorsque tu m’as vu ?
- euh…je sais plus. J’ai dû vous dire bonjour je pense.
- c’est ça , tu m’as dit « bonjour ». Tu ne crois pas qu’il manque quelque chose ?
- euh… »madame », « bonjour Madame » ?
- exact, c’est bien déjà tu reconnais tes erreurs. Il a manqué Madame. Je ne dirais rien sur le fait que tu n’aies pas fait un baise main ou un baise pied car celà n’est valable que chez nous. Cependant, ce manque de « Madame » est une grosse erreur et un manque de respect envers une Maîtresse Dominatrice. Et celà est valable pour tout et tout le temps. Donc plus jamais, tu m’entends, plus jamais je ne veux t’entendre dire « bonjour » seul dans cette maison. C’est bonjour Madame ou bonjour Déesse, bonjour Maîtresse bref ce que Julie ou moi te dirons mais on oublie jamais ce respect de l’autorité féminine, c’est compris ?
- euh…oui
- oui qui ?
- oui Madame
- voilà. Et sache que pour toi ce n’est pas le cas. L’homme étant inférieur dans cette maison, nous pouvons t’appeler comme bon nous semble.
Bon, ça c’est le premier point. Tu sais ce qu’on fait lors de l’étape de l’éducation quand il y a une erreur ou un acte de désobéissance ?
- euh…non je ne sais pas madame
- mais si, pour apprendre et retenir de ses erreurs, la Maîtresse Dominatrice fait quoi à son élève ?
- euh…elle le sanctionne ?
- et oui c’est ça. Elle le punit. La punition est le meilleur des apprentissages !
Donc…je vais te punir pour avoir oublié ce Madame et manqué de respect…
Puni par ma belle-mère dominatrice
Me voilà bien. Elle a dû voir ma tête décontenancé mais cette Dominatrice ne perd rien de son assurance :
- Allez, baisse ton pantalon et viens t’allonger sur mes cuisses.
- qu..quoi ?
- tu as bien entendu et bien compris. Baisse ton pantalon sur tes chevilles et viens t’allonger sur le ventre sur mes cuisses. Je vais te donner la fessée pour te punir. Tu verras, c’est rapide mais après tu auras retenu la leçon !
Devant son autorité naturelle et son assurance de Maîtresse Dominatrice, je ne sais pas comment refuser. Aussi, je m’exécute de suite.
A suivre
Magnifique début! Vivement la suite!!