Nue, un peignoir soulignant ses rondeurs fascinantes, Farida, Maitresse BDSM, est perchée sur des talons en daim noir moulant ses pieds cambrés parfaits, comme sculptés dans le marbre. La cime de ses jambes sans fin, droites et tendues, s’évanouit dans la volupté de ses majestueuses fesses rondes, posées là-haut comme deux reines paresseuses dont les mouvements se répondent quand elle marche, au rythme métallique des talons sur le sol. D’ici, j’admire hypnotisé la courbe de la dentelle noire qui les entoure et plonge dans le sillon des chairs opulentes et chaudes, vallée des merveilles aux parfums affolants, pour ressortir couvrir le mont de Vénus, insolent petit frère de son ventre rond, dominé par les merveilles lourdes et fermes de ses seins qui, vibrant à chaque mouvements, expriment avec arrogance leur poids et la fermeté de leur pouvoir.
Sa crinière d’un noir de jais et ses grands yeux sombres soulignent la pulpe pâle et pleine de sa bouche, arborant la moue d’une reine égyptienne à qui le monde entier a toujours obéi.
Elle est à tomber.
Je suis tombé.
A genoux.
Soumis à cette Maitresse BDSM.
Farida est connue dans la cité. A quatorze ans, elle faisait mentir tous les maris à leurs femmes pour venir lui obéir, dans le parking ou sur son palier, lécher ses pieds, ses fesses, lui offrir des cadeaux… à seize ans elle a découvert le plaisir de sodomiser un homme et, depuis, elle n’a jamais été agressée, car deux malabars sont ses gardes du corps le jour et ses petites fiottes la nuit, qu’elle prend avec des strap-ons de plus en plus énormes.
Elle est respectée partout, les filles attendent qu’elle soit loin pour oser dire qu’elle est grosse, prétentieuse, vulgaire… mais beaucoup rêvent de s’agenouiller devant elle et de lui obéir. Cela vient de son attitude, je devrais dire « altitude »: elle ne sait si elle est déesse ou reine, mais aucun doute sur son visage, les êtres humains lui doivent obéissance. Certains ont la chance inouïe de lui plaire, j’en fais partie.
Un battement des longs cils noirs, un mouvement infime des paupières ombrées m’a ordonné de me dénuder. Farida me regarde et contemple mon érection, mi-amusée (c’est si automatique), mi-agacée (c’est si automatique). A mon avis, elle est satisfaite de l’adoration que témoigne le corps de son esclave, mais désire une soumission psychologique plus forte, compensant cette obscène érection mécanique…
Ca y’est, un sourire furtif éclaire son regard, puis progressivement tout son visage… elle semble s’amuser déjà de la suite.
« Tu as fini le sol de la cuisine ? Allons voir. »
Le corps somptueux se met en marche, je la suis à quatre pattes, envoûté par la musique des talons et l’ondulation sensuelle de ce corps, mouvement de formes massives et fermes. Elle s’arrête. Méthodiquement, elle crache plusieurs fois sur le carrelage que j’ai nettoyé, puis retire ses escarpins et frotte de ses pieds nus pour y étaler la salive.
« Tu te fiches de moi ? Regarde toutes ces traces ! Viens ici ! SCHLACK » Une gifle cingle à me décrocher la tête.
« Nettoie tout de suite. Avec ta langue. » Elle s’assied sur un tabouret haut et allume une cigarette. La joue en feu, je m’exécute, dissimulant mal mon plaisir de déguster sa salive comme un nectar… mais maîtresse le sait, qui rigole là-haut ! Une cendre de cigarette tombe à ma droite. « Il y a une saleté ici, lèche ! » C’est idiot, mais puisqu’elle l’ordonne, je savoure cette cendre, c’est le goût de son autorité ! Elle se marre franchement.
Pouffant encore de rire, elle s’éloigne au salon, se vautre sur le canapé en allumant la télé. « C’est bon, tu as mérité une gâterie, viens-là ! »
Quand j’arrive, toujours à genoux, elle est hilare. Son sourire d’enfant… Quelle beauté !
Tendant avec autorité sa jambe dans ma direction, elle écarte les orteils en souriant. « Tu peux. »
Dans ces moments-là je deviens fou, comme un chien de deux mois, je lèche son pied adoré, suçant les doigts, la plante, le talon, massant la cheville, mordillant le tendon d’Achille, et ce côté extérieur du pied, avec ses plis si émouvants. J’engouffre toute la pointe, et Farida remue ses doigts dans ma bouche, force la pointe de son autre pied en émettant un « SHHHHhhh » de plaisir. Ce chuintement, je le connais, il annonce le début d’un désir de Farida, et les désirs de Farida, Maitresse BDSM, sont des ordres.
C’est une enfant, elle s’amuse de tout, et notamment de son autorité absolue, qu’elle adore exercer à tout propos. Mais qu’arrive dans son corps ou dans son esprit un désir sexuel, et c’est une femme qui se révèle, insatiable et implaquable. Dans sa tête, le monde entier doit se plier à ce désir, rien ni personne n’a d’importance que son assouvissement, elle ne conçoit que sa jouissance.
« Embrasse-moi ! »
Qu’on ne s’y trompe pas, il ne s’agit pas de sa bouche, bien sûr, mais de son sexe.
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non.