Visite chez ma dominatrice sévère
Pendant ces deux semaines, je pensais tout le temps à ma Maîtresse Clara, dominatrice sévère. De plus, ma cage de chasteté me le rappelait ainsi que mon butt plug lorsque que j’allais aux toilettes. Cependant, il m’était impossible de me faire jouir. Selon les dires de ma Maîtresse, il me reste encore quelques semaines avant de me la retirer même si ce n’est que pour quelques minutes. Le jour tant attendu arriva enfin ! J’allais retrouver ma sublime Maîtresse. J’étais arrivé vers 20h chez elle. Je sonnai à l’interphone du grand domaine et la voie douce de ma Maîtresse se fit entendre.
-Oui qui est-ce?
-c’est votre esclave, Maîtresse !
-Je ne connais personne de ce nom là ! Au revoir !
Je suis tombé de haut, et je me suis souvenu des règles imposées par elle. Ainsi, mon nouveau prénom était Louisa ! Aussi, je rappelle à l’interphone et elle répond :
-oui qui est-ce?
-c’est Louisa Maîtresse !
-Aha ! oui bien-sûr ! je connais ! Il s’agit de la petite Lope qui va me servir cette année !
-oui Maîtresse ! c’est elle !
-allez entre petite chienne ! La porte est ouverte.
A quatre pattes devant Maîtresse Clara
Je suis donc entré. Elle m’attendait près de la porte. Elle était en robe de chambre et pantoufles :
-Entre et met-toi à quatre pattes devant le canapé chienne !
-oui Maîtresse !
-as-tu apporté tous tes sous vêtements comme je te l’avais demandé?
-oui Maîtresse !
-c’est bien ! sors les de ta valise !
Je sortis donc tout mes sous vêtements. Ensuite, elle les prit et les jeta dans le vide ordure.
-tu n’en auras plus besoin maintenant que tu es ma chienne. Demain pour aller en cours, tu mettras le corset que je t’ai donné et un string !
-oui Maîtresse !
-bon maintenant allonge-toi devant le canapé !
-oui Maîtresse !
Je m’allongea devant le canapé et Maîtresse Clara, dominatrice sévère, s’assit sur le canapé. Ensuite, elle enleva ses pantoufles et elle enfonça son gros orteil dans ma bouche. Il était chaud, humide et avait un goût très salé. Pour finir, elle entra deux autres doigts de pieds. Je n’arrivais pu à supporter et j’ai donc retiré tous les orteils de ma bouche. Aussi, ma Maîtresse a commencé à s’énerver:
-que fais-tu sale chienne ? tu oses rejeter mes pieds de Reine ! tu vas voir ! Attend ! j’arrive !
Soumis attaché sur une croix Saint André
Je l’avais vraiment énervée. Elle revint avec ma cagoule, mon collier, la laisse et le bâillon. Qu’aller t’elle me faire ? J’avoue que j’avais vraiment peur. Ainsi, elle me mit la cagoule et le collier puis enfin le bâillon. Je ne voyais plus rien !
– enlève tes vêtements ! Viens avec moi ! On va faire un tour petite chienne. Je ne voulais pas te montrer ça avant vendredi mais là, tu m’as mise en rogne. Donc tu vas prendre cher ce soir!
On traversa les jardins. Elle tirait sur ma laisse et me faisait mal. Soudain elle s’arrêta et ouvrit une porte.
-Entre et garde ta cagoule ! Je réserve la surprise pour vendredi. Viens la chienne ! Ici, c’est parfait ! Lève-toi, écarte les bras et les jambes ! voilà c’est bien ! Je vais bien m’occuper de toi petite pute insolente.
Elle m’attacha dos face à elle. Je ne voyais rien me je pense que j’étais sur une croix saint André, elle fouillait dans des étagères.
-Ah ! le voilà, tu vas apprendre ce que c’est la douleur ma petite Louisa.
Soumis fouetté
Elle fit claquer l’objet. C’était un fouet aucun doute possible, et mon supplice commença. Des coups de fouet de plus en plus fort pleuvaient sur mon dos et mes fesses. A la fin, je pleurais en silence.
-Alors ça fait quoi de désobéir à sa Maîtresse petite catin ? ça fait mal hein, n’est-ce pas ?répond !! À oui c’est vrai tu as le bâillon ! aha!
Elle me retira le bâillon. Mon dos et mes fesses me brûlaient.
-alors on dit quoi ?
-je vous supplie d’arrêter Maîtresse ! Je ne recommencerai plus. S’il vous plaît, arrêtez !
-dommage ! ce n’est pas le mot magique. 10 coups de plus !
Elle me remit le bâillon et s’écarta pour me donner dix coups.
-alors on dit quoi ?
-merci Maîtresse, merci !
-Ah voilà qui est mieux ! J’espère que tu ne me décevras plus à l’avenir ! aha !
Elle me détacha et me fit rentrer dans la maison toujours dans le noir.
-maintenant, va te coucher ! Tu mets la nuisette et tu restes nu en dessous ! Je viendrai vérifier.
-oui Maîtresse !
J’avais super mal à cause des coups de fouet. Je mis la nuisette et me coucha. Ensuite, j’ai poussé un cri de douleur à cause du contact avec le lit. J’entendis ma Maîtresse, dominatrice sévère, hurler de rire. Je me sentais humilié. Demain, je devais aller en cour en string et corset.
à suivre..