A la rencontre de la magnifique dominatrice
Il a fait glisser le fil d’étoffe en dentelles entre ses fesses. Le fil a épousé le sillon par derrière et son corps s’est cambré. Son paquet mou et fébrile, fourmillant fut plaqué sur son ventre glabre par le triangle noir de tulle.
Il avait enfilé les bas sur chacune de ses jambes et mis un porte-jaretelles, comme Elle lui avait ordonné. Il adorait tirer sur les élastiques et fixer la lisière de chaque bas.
La voiture roulait vers l’adresse de la Dame, magnifique dominatrice. Il arriva en avance, se gara et partit chercher des toilettes. Sous son costume, il sentait à chaque pas, les élastiques tirer le bas sur sa cuisse. Il était troublé et surtout fier.
Il repensa aux nombreuses photographies qu’Elle lui avait envoyées par télégramme. Elégante, dure, sexy, émoustillantes. Il l’imaginait sourire en choisissant les photographies. Créer l’envie réciproque était un de ses jeux.
Le moment attendu s’approchait.
La revoir après tout ce temps et ses longs silences était inespéré. Elle était si élégante dans sa vision de la vie. Elle reconnaissait sa fidélité et avait cessé d’être surprise de la longévité de leurs échanges.
Ces échanges étaient ponctués de rencontres de plus en plus intimes et classes, l’air de rien.
Elle lui avait dit « Tu viendras en rampant naturellement, tu me réclameras et je te ferai ramper ».
Tout ce temps passé à la respecter l’avait amené à être présent sur ce trottoir. Il reçut une missive « Je suis là ».
« Les retrouvailles » avec la magnifique dominatrice
Une silhouette aux longues jambes fines, sur des talons exquis, une jupe sombre, surmontée d’une veste cintrée par une ceinture élégante, une nuque sombre aux cheveux attachés lui apparurent.
Le parfum, ce parfum de Thierry Mugler qu’il connaissait, tout cela le rendit fébrile et dévoué.
Il arriva doucement derrière elle, et la salua par un « Vous êtes magnifique ».
Elle lui sourit et il la conduisit à sa voiture. Il lui ouvrit la porte.
C’était la première fois qu’il la conduisait ainsi. Son parfum envahissait la voiture.
Ses longues jambes comme tout son corps ne pouvaient être regardées. Son seul regard lui était autorisé et il avait appris à apprécier cette demande qu’il exécutait avec fierté. Le dressage par cette magnifique dominatrice le rendait si fier.
Ils roulèrent un moment en parlant de chose et d’autres. Elle ne lui demanda pas d’ouvrir sa braguette et sortir l’engin ou autres choses, non, elle était dans leur retrouvaille et lui à l’écoute de ses soins et de sa soumission nouvelle.
Ils se rendaient compte de l’estime réciproque qu’ils avaient chacun l’un pour l’autre au-delà de sa dévotion et de son autorité subjuguante.
Pour lui, c’était beaucoup d’émotions que de partager cette intimité et de voir son estime à son égard. Il était fier et fébrile.
Le dîner avec cette magnifique dominatrice
Elle regardait cet homme leader dans son domaine, père de famille, si fragile et fort. Elle aimait le dompter, le laisser revenir et lui faire tout abandonner pour Elle dans ses moments à Elle.
Il lui tint la porte et ils marchèrent côte à côte dans l’avenue parisienne.
Ils dînèrent dans un restaurant tranquillement à l’écart. Une petite place romantique leur faisait face.
Elle lui montrait des photographies et prenait petit à petit, par des piques ou des mots, possession du lion, qu’elle allait attacher, soumettre pour Son plaisir.
Son talon vint entre les jambes du mâle qui se crispa ce qui la fit sourire d’aise, d’autant qu’elle sentait son ardeur arquée pour Elle.
Le dîner prit fin et ils passèrent à son bureau vide, en ce moment estival.
Elle le laissa se préparer, mettre ses talons haut, devant Elle, et lui apparaître ainsi, nue, en bas et sans string, « femiliser » comme Elle disait.
Enfin, Elle était là, superbe et ses talons s’enfonçaient dans ses côtes et ses fesses offertes à quatre pattes.
Elle tendit ses talons et le regarda les sucer un par un longuement, puis lécher le cuir des lanières de ses chaussures élégantes.
Elle joua avec la badine et joua sur ce corps glabre et dompté, tantôt caressante, tantôt frappant.
Ce jeu lui montra le dévouement de cet homme, enfin cette Chienne, Sa salope.
Frappé par cette magnifique dominatrice
Elle tira sur la laisse et lui demanda des baisers sur l’intérieur de ses cuisses, le frappant de la badine pour lui donner du rythme.
Elle était de plus en plus dans des soupirs, des cadeaux aux oreilles de Sa salope.
Il n’entendait plus que les frottements des bas de sa Divine sur ses oreilles coincées entre ses deux cuisses fines et si troublantes.
Enfin, il eut, après tout ce temps, le droit, l’honneur de humer, embrasser, effleurer et boire Son trésor glabre et délicieusement dessiné comme ses hanches et son entre jambe qui le rendaient encore plus dévoué.
Elle devait le sentir car elle lui demanda de s’appliquer et de la faire venir, ce qu’elle fit trois fois heureuse et comme submergée, lui demandant même de lui enfoncer deux puis trois doigts qu’elle coinça entre ses cuisses serrées dans des spasmes qui le rendirent fier d’être à Elle.
Il prit conscience que son sexe n’avait aucune importance et qu’il avait toujours voulu être à cette place, frustré de ne pouvoir la prendre et déjà content de penser qu’un jour son corps et son cerveau trouveraient l’harmonie en la servant et en aimant Ses souhaits. C’était son chemin.
Ils se quittèrent après qu’il l’eut raccompagné.
C’est hier, 4 mois après qu’elle lui a fait signe à nouveau et il est accouru à Son plus grand plaisir.
« GabrieloB »
Je laisse Celle qui sait me dire ce qu’elle en pense …