Elle s’était assise sur mon dos:
– Conduit moi voir Wanda. Vite chien.
Wanda, ma nièce dominatrice, se tenait dans le fauteuil. Quand elle vit son amie sur mon dos, elle écarta ses jambes:
– Viens mettre ta gueule entre mes cuisses que je puisse embrasser mon amie.
J’avais le nez posé sur le sexe recouvert de cuir de ma nièce dominatrice pendant qu’elle s’embrassait avec son amie, gwendo, qui alla ensuite se mettre à ses cotés et me dit :
– Reste comme tu es, m’ordonna ma maitresse. Elles s’embrassèrent pendant plus de dix minutes, Wanda me demanda une cigarette, je lui tendis le paquet ainsi qu’à son amie.
– Donne du feu crétin, puisque tu as omis le cendrier, tu vas rester là, la gueule ouverte, là,
Elles discutèrent surtout de moi, tapotant de temps en temps leur cigarette au dessus de ma bouche béante.
– N’est-il pas mignon?, dit Wanda à son amie, quand je repartirai chez moi, tu voudras bien t’en occuper gwendo?
– Avec plaisir chérie, surtout que je reste à deux pâtés de maison,
Puis, d’un geste banal, elle éteignit sa cigarette sur ma langue, des larmes coulaient sur mes joues. Wanda fit de même! Puis elles disparurent dans la chambre à coucher, me laissant faire le ménage.
Le lendemain matin, je m’éveillais dans le divan, ma chambre étant squattée par ma nièce et sa copine. J’étais en train de faire du café, quand Gwendo arriva derrière moi.
– Toi, me dit-elle, tu n’y as pas droit, par contre, dans cinq minutes, je te veux au pied de notre lit avec café et tartine, un petit déjeuner quoi.
– bien maitresse Gwendo,
Elle me gifla et dit :
– Dans la chambre, à genoux et les yeux baissés, si tu ne veux pas subir ma colère!
Je me dis en moi-même, vivement que Wanda parte, celle là n’osera jamais venir me faire chier, dans la chambre. Quand j’entrai à genoux, elles faisaient l’amour. J’avançai jusqu’au lit, je les entendais parler d’amour, puis Gwendo dit à Wanda :
– L’esclave est là, qu’’il attende, et qu’’il regarde. Nous n’avons pas besoin de leur sexe ridicule pour faire l’amour.
Tout en parlant, elles s’excitaient mutuellement et leurs jouissances explosèrent, Wanda me regarda.
-Passe le plateau, sort ta bite, et branle-toi pendant que nous nous restaurons.
Gwendo me regarda en souriant,
– J’ai du mal à y croire mais pendant que ta jolie nièce sera absente, tu vas devoir m’obéir.
Elle passa un doigt à sa chatte et me le tendis.
– Lèche, tu vois l’effet que cela me fait de t’avoir à ma botte.
– Mais ma femme va rentrer demain!
– Je sais et alors, elle travaille, toi tu travailles chez toi, donc tu es disponible. Wanda dira à ta femme que je viendrai faire le ménage, donc pas de souci. Il est content le chien?, réponds ordonna Wanda,
– oui maitresse
– tiens vide toi dans mon bol, allez, tu t’es assez branlé, décharge pourceau,
Un liquide blanc et épais se répandit dans le bol, un crachat de Gwendo puis un de Wanda, terminèrent sa course dans le même bol.
– Avale esclave, tu n’auras rien d’autre aujourd’hui,
Je bus le mélange, sans dégout.
– Va préparer notre bain, dépêche-toi !
Quand le bain fut prêt, j’allais les prévenir, Gwendo dit :
– Tu vas nous porter jusqu’à la baignoire, et tu n’as pas intérêt à mettre tes mains où il ne faut pas.
Je pris délicatement Gwendo dans mes bras sans la serrer, Wanda ria, puis ce fut son tour, je la pris dans mes bras, mais elle, sans gêne s’empara de mon sexe.
– Je ne t’ai pas autorisé à bander
– Non maitresse
– Alors qu’est-ce que j’ai dans la main?
– Je m’excuse maitresse, mais vous êtes si belles, je bande à longueur de journée.
– Tu te branles?
– Non maitresse, pas sans ordre
Elle me mordit une oreille.
– T’as intérêt
– Demain tantine reviens, donc, c’est ta dernière journée avec des jolies filles, on a décidé de te faire juter, tu es content esclave?
– oh oui maitresse
– Attends avant de te réjouir, on va te branler à hauteur d’une heure, toutes les heures, tu vas décharger, ça te fait en gros dix à douze éjaculations sur la journée, comme ça, si tantine veut baiser demain, elle ne trouvera qu’un pénis flasque, et je t’ordonne de lui dire que tu t’es branlé tous les jours, plusieurs fois même, en pensant à elle, c’est compris chien?
– Oui maitresse.
Toute la journée, toutes les heures, maitresse Wanda ou maitresse Gwendo, m’ordonnaient de me branler devant elles.
– Il est mignon, alors ça vient? : dit Gwendo.
Elle avait déniché une ceinture dans mon placard, elle me tapait sur les fesses.
– Magne-toi esclave, tu sais dit-elle à Wanda, quand tu seras partie, je ne lui laisserai aucun répit, il me plait ce branleur, et il doit être riche. Il gagne bien sa vie, mais sa femme, gagne beaucoup plus que lui, dit Wanda, est-que ta tante ne serait pas un peu lesbienne?
– Je pense qu’elle doit avoir essayé, maintenant que j’y pense, je l’ai déjà surprise la main dans mes culottes, la main seulement, je ne sais pas ce qu’’elle en faisait,
– Cela me plairait, dit Gwendo, d’avoir deux animaux à dresser
– Eh bien tu essayeras si ça marche, tu m’appelles et nous prenons domicile ici, sinon tans pis. Bien tout ce que tu as à faire quand ta tante arrivera, c’est de me présenter comme une bonniche, elle en cherche bien une n’est-ce pas, oui, alors je compte sur toi.
Tellement agréable à lire… on s’imagine être le soumis.
Merci beaucoup.
J’ai l’impression d’être un chien qui attend son os pour chaque histoire que je lis et la dessus de ne pas savoir si les deux déesse vivent chez l’oncle et la tante sniff
Es-ce que il va y avoir une suite ?
Vivement la suite