Rencontre dans un bar avec une dominatrice autoritaire ! (4)

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Début de l’apprentissage

Le réveil fut particulièrement brutal. Le réveil sur la table basse indiquait 6 heures du matin. Eric et Vanessa, magnifique dominatrice autoritaire, pénétrèrent dans ma chambre accompagné d’un lecteur de musique qui diffusait une mélodie au piano.

– Bonjour Sophie, j’espère que tu aimes du Mozart, cette musique te réveillera tout les jours à 6h00 précise pendant toute la durée de ton apprentissage sous ma tutelle, alors autant t’y habituer de suite : me salua Vanessa.

Ne pouvant toujours pas parler à cause du bâillon boule qui m’imposait le silence, je ne pus que grogner.

– Allons, allons ne sois pas si grognon, comme dit le proverbe, le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Aujourd’hui, nous commençons ton apprentissage ma chère Sophie. Pour les deux semaines à venir, toutes tes journées se passeront comme aujourd’hui. Donc, j’espère que cela te plaira. Tout d’abord, il faut te faire belle. Eric, aide moi s’il te plait.

– Bien sur madame, avec plaisir : lui répondit Eric qui jusque là, était resté muet bien que souriant d’un petit air pervers.

Habillé comme une femme

Pendant que Vanessa regardait dans la garde robe, Eric entreprit de me détacher les jambes et uniquement les jambes. Il pensait vraiment à tout. Bien que je ne pourrais jamais maîtriser un colosse comme ce Eric, ils évitaient de prendre le moindre risque. Ensuite, il entreprit de me déshabiller entièrement. Je me retrouvai rapidement nu bien qu’attaché encore tout le torse.

Quand ce fut fait, Vanessa entreprit de me passer une paire de bas noirs soyeux et je ne pus retenir une érection en découvrant la douceur que ces bas procuraient sur mes jambes épilées. La douleur fut atroce car depuis hier ma queue était emprisonnée dans une cage de chasteté. Vanessa le remarqua évidemment mais à ma grande surprise, elle ne fit aucun commentaire, bien que son petit sourire en disait assez long.

Ensuite, elle fixa les bas avec un porte-jarretelle. Je fus surpris de constater qu’elle ne m’enfilait pas de string ou petite culotte comme je m’y attendais. En effet, elle entreprit de me passer une jupette plissée style écolière à motif écossais. Ensuite, je reçus trois piqures. Une comme je l’ai appris la veille au soir, pour ma féminisation et une à chaque jambes. Elle dut remarquer ma question muette car Vanessa me clarifia :

– Ces deux piqures ne font pas partie de ta féminisation mais vont paralyser tes jambes afin qu’on ne doivent s’occuper de tes jambes pendant qu’on te prépare. Ne t’en fais pas l’effet ne dure qu’une petite heure. Il ne faudrait pas que tu sois insensible pour ce qui va venir ajouta-t-elle avec son éternel sourire moqueur.

Piqures pour la féminisation

En effet, je ne pouvais déjà plus bouger mes jambes, ce qu’Eric vérifia en me piquant avec une épingle sur une jambe pour être sur. Quand il s’en rendit compte, il entreprit de me détacher la partie supérieure du corps.

Bien que sachant n’avoir aucune chance de m’échapper, je me débattis et essaya d’échapper à son étreinte. Je reçus immédiatement un impressionnant direct du droit dont Mike Tyson aurait pu être fier. Presque assommé sur le coup, j’arrêtai immédiatement de me débattre.

– Sophie pourquoi ne pas te résigner ? Tu sais que tu n’as aucune chance alors fais toi à l’idée  : me dit Vanessa. Chaque fois que tu te rebelleras, Eric te corrigera, et encore c’est assez gentil cette fois-ci crois-moi.

Me voyant calmé, Vanessa s’approcha de moi afin de m’administrer mes deux piqures supplémentaires pour l’augmentation de mes seins puis on m’enfila mon corset pour ma taille. Commençant à avoir l’habitude, je me contrôlai et je pus respirer sans avoir ma crise de panique d’hier.

Vanessa me mit un soutien gorge bien que je ne disposais pas encore de sein. Le soutien gorge en question ne faisait que soulever les seins en laissant à l’air libre mes tétons.

Séance de maquillage

Ensuite, elle m’enfila par dessus mon corset une chemise rose assez classique bien qu’indubitablement féminine. Elle entreprit d’ouvrir ma chemise pour que le décolleté arrive jusqu’au sommet du corset.
Ensuite Eric me souleva, étant dans l’incapacité de marcher à cause des piqures anesthésiantes, et me déposa sur une chaise devant une petite table recouverte de lotion et de crèmes et surmontée d’un énorme miroir.

Là, Vanessa entreprit de me maquiller. D’abord du fond de teint, ensuite du mascara, du Eye liner, fard à paupières. Ensuite les lèvres. Evidemment, elle choisit un rouge à lèvres le plus « flashy » possible, rouge extrêmement vif qu’elle recouvrit d’un peu de gloss pour renforcer l’effet fèminin.

La séance de maquillage dura près d’une heure et durant tout ce temps, à ma grande honte, mon érection ne faiblit pas. Moi, un hétéro, j’adorais me faire maquiller. Je n’en revenais pas.
Au terme de cette séance, j’étais, complètement, métamorphosé. Devant moi, se trouvait une adorable jeune femme, presque une poupée tellement son visage était parfait. Bien qu’ayant toujours eu un visage assez lisse et androgyne, je n’aurais jamais imaginé que du maquillage me transformerait en cette jeune femme au point de ne pas me reconnaître, moi même, dans ce visage.

Subjugué par le rendu de ma transformation en femme !

J’étais subjugué et, manifestement, cela se voyait car Vanessa s’exclama :

– Et oui Sophie, comme tu le vois, tu es fait pour être une femme et je vois que tu aimes ça . La nature commet parfois ce genre d’erreur mais ne t’en fais pas, je vais y remédier. Tu vivras enfin la vie qui t’est destinée.

Ne pouvant toujours rien dire, je ne pouvais que jeter un regard noir à Vanessa. Mais j’avais compris la leçon et je ne me rebellai pas. Eric n’étant jamais très loin.

S’ensuivit une séance de lavement intestinal qui dura une demi heure.

Quand ce fut fait, Eric me détacha pour m’installer sur une chaise comme on en trouve dans les cabinets de gynécologie. La seule différence avec les sièges classiques ètait que les pieds étaient solidement fixés au sol et que de nombreuses sangles permettaient de maintenir le patient attachés au siège.

Eric entreprit donc de m’installer sur le siège et de me sangler fermement afin que je ne puisse plus bouger du tout. Même ma tête fut fermement fixée pour que je ne puisse que fixer le mur qui se trouvait face à moi ainsi que mes deux jambes écartées comme si j’allais accoucher et mon pénis emprisonné dans sa cage de chasteté.

Machines pour booster la libido

– Maintenant que tu es bien installée ma chère Sophie, je vais t’expliquer la suite du programme. C’est, ici et maintenant, que nous allons exciter ta libido, la vraie libido qui te convient. Pendant que tu passeras toute ta journée à regarder de magnifiques films, des machines très sophistiquées vont t’exciter tes zones sensibles mais assez de long discours, laisse moi te montrer.

Pendant que Vanessa m’expliquait, je regardais Eric installer les machines en question avec horreur. Je comprenais enfin pourquoi Vanessa ne m’avait pas mis de petite culotte et pourquoi mon soutien gorge laissait à l’air libre mes têtons ainsi que mon chemisier aussi profondément décolleté.

En effet la machine se trouvant en dessous de moi, bien qu’assez complexe devait réaliser une tache assez simple. Il s’agissait d’une espèce de gros moteur avec à son bout une ligne et un gode dirigé, je vous laisse deviner … vers mon fondement.

– Cette magnifique machine possède de nombreuses vitesses. Allant de 1 à 5, nous allons commencer par deux mais tu sais le plus beau ? Grace à une technologie assez avancée, cette machine est reliée directement à la télévision et quand des moments forts se dérouleront, la vitesse augmentera crescendo, n’est-ce pas magnifique?

J’étais glacé d’effroi. Je ne m’étais jamais fait sodomisé avant et la tout d’un coup je devrais me faire sodomiser par une machine toute la journée et ce pendant de nombreuses semaines ? J’étais tellement abattu que je ne prêta qu’une maigre attention à la seconde machine qu’Eric installait.

Enfin prête !

Elle était munie de deux sortes de ventouses reliées à un genre de moteur plus petit que l’autre machine. Mais à la différence de la précédente un système de patch était présent, comme ceux de ces appareils sensés envoyer des décharges pour muscler les abdominaux.

Eric fixa les ventouses sur mes deux tétons. Ces ventouses, en forme de bouge englobaient tout mon téton. Ensuite, il fixa à chacun de mes seins, trois patchs afin qu’ils entourent chaque téton.

– Et cette autre machine te stimulera tes seins afin d’être comme une femme excitée par tes futurs jolis seins. La machine est également reliée à la télévision afin d’augmenter en intensité au moment fort. Les ventouses titilleront et suceront tes tétons comme de vraies bouches et les électrodes te donneront de petits coups de jus pour te stimuler. Si on commençait ?

Avant de passer le film, elle entreprit de me préparer l’anus. Elle commença à m’insérer un doigt, au préalablement largement lubrifié. Le lubrifiant avait une odeur de fraise extrêmement entêtante. La sensation était étrange. Bien que extrêmement dérangeante d’un point de vue mental pour moi, j’appréciais le contact de son doigt glissant en moi. La sensation de mon sphyncter s’élargissant pour laisser passer ce doigt. Ensuite, vint le second, puis le troisième. La douleur allait croissant mais chaque fois supportable pour finalement s’éteindre et ne laisser la place qu’aux plaisirs.

– Tu es prête Sophie. Nous pouvons, maintenant, commencer réellement.

Début du changement de sexualité

Elle entreprit donc de diriger le projecteur qui m’avait tenu éveillé toute la nuit vers le mur en face de moi et me passa un film de transsexuel qui se faisait violemment prendre. Peu de temps après le début du film Vanessa enclencha les machines. Je vis avec effroi le gode se mettre en marche et se diriger impitoyablement vers mon anus. Bien que préparé par Vanessa, la douleur fut importante et le gode mit du temps à passer. Malheureusement je ne pouvais lutter contre la machine et le gode s’enfonça profondément en moi jusqu’à s’enfoncer entièrement dans mes entrailles. Dans le même temps, la seconde machine s’enclencha. je fus parcouru de décharges qui furent assez douloureuses car inattendues. Par contre, les deux ventouses furent extrêmement agréables. Je finis par m’habituer aux décharges et je commençai même à  éprouver du plaisir.

– Ma chère Sophie, on va te laisser à ton visionnage, on reviendra dans six heures pour ton repas. Profite ! : vint-elle me susurrer à l’oreille .

Après avoir murmuré ces mots, elle me lécha l’oreille sensuellement ainsi que le bâillon boule tout en me fixant dans les yeux.

Je me retrouvai donc seul, obligé de fixer ces films pendant que je me faisais sodomiser par une machine et sucer les tétons par une autre. J’en éprouvais une intense colère. Comment pouvait-on me traiter ainsi? Après avoir été vêtue en femme, maquillée, tatouée comme l’esclave de Vanessa et même renommée en Sophie, Vanessa entreprenait de changer ma sexualité. Je ne comptais pas me laisser faire.

Retour de Maîtresse Vanessa

Cependant, après plusieurs heures de vidéos, je commençais à apprécier ces films et ces traitements. Je me surpris à onduler du bassin pour ressentir plus profondément ces sensations. Vint enfin l’heure du repas et la fin de la solitude.

La porte s’ouvrit enfin et je fus surpris de constater que seule Vanessa était présente. Malgré moi, j’en étais soulagé et même un petit peu content de me retrouver seul avec elle.

– Alors Sophie comme ça se passe ? Tu apprécies ? Je t’apporte à manger, j’espère que tu as faim. Mais d’abord, tu dois me promettre de ne pas faire du bruit et de ne pas hurler. Tu as deux choix, soit tu acceptes de manger tranquillement et je pourrai donc t’enlever ce bâillon et on pourra même discuter tranquillement comme deux copines, soit je te nourris par intraveineuse. Que choisis tu, cligne une fois pour enlever le bâillon, soit deux fois pour l’intraveineuse.

Sachant qu’elle était capable de mettre à l’épreuve ce qu’elle m’a dit, je ne pus que cligner une fois des yeux.

– D’accord, je te fais confiance Sophie.

Petite discussion avec Maîtresse Vanessa

Aussitôt dit, aussitôt fait, elle m’enleva enfin ce fichu bâillon. Après avoir bavé, sans pouvoir me retenir pendant de nombreuses heures, enfin je pouvais retrouver une allure décente.

Je pus voir qu’elle craignait malgré tout ma réaction et c’est avec satisfaction qu’elle vit que je me tenais calme.

– C’est un plaisir de enfin pouvoir discuter avec toi Sophie, je suis sure que tu as plein de questions. Vas-y ! ne te retiens pas ! Je te répondrai honnêtement pendant que je te nourrirai. Au fait, j’espère que tu aimes la purée étant donné que tu es paralysé, il est plus facile pour toi de manger ce que tu ne dois pas mâcher.

– Ça ira : dis-je, je ne suis plus à cela près.

Ainsi, entreprit-elle de me donner la becquée comme une mère à son bébé.

– Alors, que veux-tu me demander : dit-elle entre deux bouchées.

– Je vous en supplie, libérez-moi ! n’y a-t-il rien que je puisse faire pour que vous me libériez?

– Je suis désolée mais non. Pour l’instant tu ne peux pas. Il faut que tu ressentes ce que ça fait d’être une femme afin que tu comprennes notre souffrance.

– Mais je ne suis en rien responsable de ce que votre ami vous a fait et jamais, je ne me comporterais ainsi ! Je vous en prie, vous devez me croire.

– Vous êtes tous pareil : hurla-t-elle alors. Ce que l’un de vous fait, vous êtes tous susceptibles de le faire. C’est pourquoi tu payeras pour eux tous.

Furieux et désespéré face à la folie de Maitresse Vanessa

C’est à ce moment là que je perçus sa folie et la détresse qui l’accablait. J’aurais, probablement, dû la consoler ou quelque chose de ce genre mais j’étais furieux et désespéré.

Aussi, je commençai à hurler :

– Vous êtes folle. Vous ne pourrez jamais vous en sortir, libérez-moi et je vous promets de ne rien dire .

– Ne me traite pas de folle Sophie :  cria-t-elle en me giflant encore et encore. Je ne suis pas folle. Tu n’as pas à me parler comme ça je suis ta Maîtresse. Tu vas regretter ce que tu as dis. Finis de manger ! tu recommences ton dressage !

Et elle me remit mon bâillon, en le serrant un cran au dessus de ce qu’il était précédemment. Probablement pour se venger. Le reste de l’après-midi continua donc comme le matin s’était déroulé .

Je n’eus pas droit à un repas le soir et c’est Eric qui me remit au lit ce soir la sans rien dire. Il ne fit aucun commentaire mais me traita avec brusquerie et sans ménagement. Bien que sans jamais me frapper ou me maltraiter plus que de raison. Je n’eus droit à aucun bain ou douche, on ne me changea pas mes vêtements. La seule chose qu’Eric daigna m’accorder fut de m’enfiler une couche .

Maîtresse Vanessa en colère !

Et il fit bien car n’ayant pas eu l’occasion d’aller au toilette, je ne pus me retenir plus longtemps. Surtout qu’après une journée entière à me faire sodomiser par cette machine mon anus ne se fermait plus entièrement.

Je passai, ainsi, ma seconde nuit. Seul, ayant réussi à mettre en colère ma geôlière et par conséquent son majordome. M’étant fait sodomiser par une machine pendant près de 12 heures. Habillé en femme, maquillé comme une poupée. Et malgré tout cela, je ne pouvais m’empêcher d’éprouver une excitation qui à ma grande honte allait grandissante. J’avais aimé qu’on me traite ainsi et durant toute la journée et toute la nuit (étant toujours forcé à regarder ces film de shemale et ladyboy) j’essayai de lutter contre mon plaisir grandissant mais je dus avouer mon échec car à mesure que l’aube approchait mon attente et mon plaisir grandissait.

Ce fut dans cet état d’esprit et dans ces conditions que je vécus mes deux premières semaines. Le matin du quinzième jour, mon entrainement prit une autre tournure. Un évènement majeur fit vaciller mon existence parfaitement minutée et prise en charge par ma Maîtresse et son majordome.

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