Comment je suis devenu le sissy de ma femme dominatrice (2)

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ma femme dominatrice

 

Je débarrassai la table en pensant à ce qui venait de se passer. Ma femme dominatrice, ma Reine Anna avait complètement pris le pouvoir sur moi. En réalité, j’aimais quand la femme était autoritaire, mais à ce point-là ?

Cette nuit là, je couchai devant la porte.

Ainsi, j’avais dû installer un lit de fortune devant la porte de la chambre. Je les entendis toute la nuit. Mon désir était à son apogée et je voulais jouir. Je sentais ma queue se tendre. En fait, je ne pensais qu’à une chose : enlever cette maudite cage, mais cela était impossible car la tige du cadenas était trop grosse !

De les entendre, cela me procurait des envies fortes de vouloir me toucher. La frustration était dure à vivre. J’avais dû mal à dormir. Ensuite, je fus réveillé au petit matin par Arnaud et Anna qui apparemment prenaient beaucoup de plaisir. De plus, ils devaient faire exprès sachant que j’étais derrière la porte. Ensuite, tout à coup, Irina sortit avec un gode ceinture, d’une taille très importante, que je ne connaissais pas. J’hallucinai ! Irina, malgré sa taille moyenne, réussit à me mettre à quatre pattes, les fesses remontées vers le ciel et, s’introduisit en moi.

Elle ne perdit pas de temps et commença de longs va et vients et elle rentra en moi au plus profond.

J’abdiquai mais, en fait, j’aimais aussi cela. Aussi, un profond râle sortit de ma bouche. Je vis Arnaud devant moi, en train de rire. Anna vint devant moi et me caressa le visage d’une manière tendre. Ensuite, Irina s’arrêta. Tous les trois m’ordonnèrent de préparer le petit-déjeuner puis de les rejoindre.

 

Soumission à ma femme dominatrice

 

Une nouvelle journée commença, et avec, la confirmation de ma soumission à ma femme dominatrice.

Je dûs prendre le petit-déjeuner en même temps qu’eux, ce qui me surprit, car cela faisait bien longtemps que je ne mangeais plus avec eux !

Pendant que nous déjeunions, Maîtresse Anna, prit la parole et me dit :

-alors Riquette, j’ai une bonne nouvelle pour toi ! Aujourd’hui, je vais t’autoriser à jouir, mais seulement en te branlant, pas plus ! Mais, avant voici, ce que tu dois faire ce matin. Je veux, que tu mettes tous tes vêtements dans un sac-poubelle. Dorénavant, tu ne porteras que ce que je décide, même sur ton lieu de travail. Il te sera interdit de porter des sous-vêtements masculins. De plus, je veux que tous les jours de la semaine, tu sois épilé de la tête aux pieds. les ongles de pieds bien entretenus et correctement vernis. Enfin, je vais préparer un contrat d’appartenance. Tu me donneras, également, une procuration sur tous tes comptes. Alors, es-tu d’accord ?

Cela allait vite dans ma tête. En fait, j’étais pris de court et je savais que si je disais non, je perdrais Anna.

Aussi, je répondis :

-oui maîtresse, j’accepte d’être à vos pieds.

-Très bien : répondit Anna.

Je vis un grand sourire sur son visage et celui de ses invités.

-Ce matin, nous irons au centre ville, pour t’acheter des chaussures pour ce soir, car nous sortons. Puis pour cette semaine, j’aimerais que tu invites ton patron. L’autre jour à la soirée, il m’a fait des avances. Je pense que pour ta promotion, cela pourra t’aider. De plus, je le trouve mignon. J’aime joindre l’utile à l’agréable. De plus, je pense que le fait d’être cocu est très jouissif pour toi !

Et puis-je crois que je vais, aussi, inviter ton copain d’enfance, même s’il est marié.

 

Habillé en femme

 

 

Je voulus crier non et dire que je n’étais pas d’accord mais elle me regarda, droit dans les yeux. Cependant, je la sentais fermement déterminée et je savais déjà qu’elle mettrait ses paroles à exécution et d’ici peu, quoique je dise.

Je ne savais pas comment et quand, mais je savais qu’elle le ferait.

Une fois, le déjeuner terminé, je me mis à débarrasser mes armoires. J’entendis ma femme dominatrice, qui me demanda de me dépêcher de m’habiller.  Je trouvai dans la chambre mes vêtements pour ma journée. Je fus très surpris de découvrir : une culotte haute, un jean et un chemisier pour femme et, des boules de geishas. C’était la première fois que ma maîtresse m’ordonnait d’être habillé en femme. Normalement, je portais, toujours, des costumes.  Je me retournai et je découvris Anna, Irina et Arnaud derrière moi. De suite, je dis à ma femme dominatrice que je ne souhaitais pas porter des vêtements de femme dans la journée et, surtout, dans la rue. Elle se mit à rire puis elle ajouta :

-mais depuis quand tu oses vouloir choisir tes vêtements ? Et puis, n’oublie pas, tu as signé un contrat de soumission. Alors, tu obéis maintenant !

Ensuite, je reçus une violente gifle. C’était, aussi, la première fois qu’elle osait me gifler. Je ressentis de  la honte, être giflé par Anna…. Irina et Arnaud pouffèrent de rire. Moi, je me sentis rougir.

Enfin, je décidai de m’habiller. Cependant, je ne voulais, toujours, pas porter ces vêtements. Une fois habillé, je sentis cette émotion de « honte » que j’allais ressentir dans la rue avec les regards des gens.

 

Le magasin de chaussures pour femmes

 

Une fois prête, nous sortîmes tous les quatre. Je pris le volant. J’avais ma casquette de chauffeur dans la voiture. Ensuite, je conduisis d’abord en centre-ville. Je sentais les boules de geisha en moi. Cela me gênait pour conduire. Je les sentais dans mon rectum et la sensation était désagréable. Enfin, nous nous arrêtâmes sur la place du marché en plein centre-ville.  Je dûs sortir de la voiture, en premier, pour aller ouvrir les portes à mes passagers.  J’avais honte car j’avais l’impression que tous les regards se tournaient vers moi.

Ensuite, nous marchâmes vers la rue commerçante de la ville. J’essayais de me cacher ou de marcher derrière eux. Cependant, Anna ou Irina me poussaient devant elles. Nous entrâmes dans un magasin de chaussures pour femmes. Je commençai à rougir et je voulus ressortir mais cela me fût impossible car Arnaud était derrière moi.

Anna demanda pour voir deux paires de chaussures, des escarpins à talons pas trop hauts et une paire avec des talons aiguilles. La vendeuse me regarda d’un air amusé. Je sentis son regard sur moi. Aussi, je rougis comme un coquelicot, puis elle s’adressa à Anna.

-Est-ce pour vous ? Quelle est votre pointure ?

Anna lui répondit :

-ce n’est pas pour moi ! C’est pour lui.

Elle me montra du doigt. La vendeuse et ses collègues eurent des regards très appuyés. Je ne savais plus où me mettre.

 

Humilié par ma femme dominatrice

 

J’indiquai ma pointure à la vendeuse, qui alla chercher les deux paires demandées. J’essayai en premier une paire à talons pas trop hauts. Cependant pour moi, les premiers pas furent très pénibles. Des sourires apparurent sur le visage des personnes présentes dans le magasin. Irina et Anna, se mirent à rire. Elles étaient vraiment très fières d’elles. Je reçus quelques compliments d’Anna, d’Irina et des vendeuses. Cependant, le clou du spectacle fut quand je dûs mettre la paire de talons hauts. Anna et Irina m’ordonnèrent de faire le tour de la boutique devant tous les clients. Aussi, je me sentis vraiment humilié.

Anna et Irina étaient de chaque côté. Je dûs faire au moins trois fois le tour du magasin. Aussi, je me mis à ressentir ma cage de chasteté et les boules de Geishas que je portais pratiquement 24h sur 24h. J’eus peur que cela se vit. A cause de la hauteur des talons, la position était vraiment inconfortable, mais je réussis à tenir fermement. Devant ce spectacle, les vendeuses étaient ravies. Une vendeuse prit son téléphone et me filma.

Nous arrivâmes devant la caisse. L’addition fut salée, mais rien comparé au spectacle que j’avais offert. Je voulus remettre mes chaussures, mais des rires retentirent. Anna, ma femme dominatrice, me dit d’un ton, tout à fait implacable :

-n’y pense même pas !

Donc, je ressortis avec la paire d’escarpins à mi-talons.

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2 réflexions au sujet de “Comment je suis devenu le sissy de ma femme dominatrice (2)”

  1. L HISTOIRE DEVIENT DE PLUS EN PLUS PRENANTE ON ATTEND LA FIN J ESPÈRE QU IL Y A PLUSIEURS EPISOLEIL À VENIR

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Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …