Une simple gifle, et ma vie change radicalement. Le destin tient parfois à peu de choses. Comment suis-je devenu soumis à ma magnifique épouse?
Nous étions mariés depuis sept ans. Couple simple, mon épouse travaillait dans une petite entreprise innovante, au marketing et moi j’étais prof de math dans un lycée. J’avais un physique moyen, elle était plus que ravissante. Je m’émerveillais chaque jour de voir une aussi belle femme à mes côtés.
Année après année, elle travaillait davantage et gagnait aussi davantage, tandis que mon salaire de prof stagnait et que mes journées demeuraient rythmées par les cours, peu d’heures effectives et des copies assez vite corrigées. J’avais pas mal de temps libre et passais beaucoup de temps à ne pas faire grand-chose.
Nous avions des rapports sexuels très classiques et finalement de moins en moins fréquents. Je sentais qu’elle voulait autre chose, mais les quelques propositions que je lui fis ne la satisfaisaient pas.
Cela faisait quelques mois que certains sujets devenaient source de conflit. Je participais assez peu aux tâches ménagères et, mon épouse travaillant de plus en plus, commençait à fatiguer de me voir paresser alors qu’elle s’affairait le jour au travail et le soir à la maison. Situation patriarcale classique dans ces années-là.
Nos soirées conflictuelles devenaient de plus en plus fréquentes.
Une Gifle Révélatrice : Le Tournant de Notre Couple
Et puis c’est arrivé, un dimanche soir. Elle avait passé quasiment tout le week end à faire le ménage, la lessive, le repassage, la cuisine. Quant à moi, j’avais juste tondu la pelouse, apportant ainsi ma pierre à l’édifice, fier de ces deux heures de tonte.
Le soir de ce dimanche, elle me demanda de mettre la table et je protestais bêtement, encore meurtri par la tonte et clamant que j’en faisais vraiment beaucoup, peut-être trop !
Je crois qu’elle était à bout, fatiguée et énervée par la mauvaise foi dont je faisais preuve.
Alors que j’étais derrière elle à plastronner sur tout ce que j’avais fait dans le week end, je la vis se redresser, se tourner vers moi et je ressentis la gifle avant même de voir le geste.
Je restais pétrifié, elle aussi. Elle semblait encore plus surprise que moi par ce geste.
Je la regardais, réalisant en une seconde l’attitude pitoyable dont je faisais preuve et la chance que j‘avais d’avoir une telle épouse.
Avant qu’elle ait le temps de parler, je bafouillais des excuses en baissant les yeux. Rouge de honte, honte de mon comportement, honte d’avoir encaissé cette gifle.
Alors qu’elle allait parler elle aussi, sans doute pour s’excuser de ce geste, elle se ravisa en m’entendant me confondre en excuses, en me voyant rougir et baisser les yeux. Je ne le sus que bien plus tard, mais elle ressentit une excitation sexuelle forte, instantanée et surtout, un sentiment de pouvoir qui la troubla profondément.
Du Silence à la Passion : Une Nuit Transformée
Nous restâmes un moment sans bouger ni l’un ni l’autre, le bruit de la gifle faisant place au silence pesant.
Dans mon esprit, je ressentais la honte d’avoir osé râler et en même temps, une sorte d’apaisement, comme un aboutissement après des années à chercher du sens. Je n’étais pas clairement conscient de ce qui venait de m’arriver, elle non plus sans doute.
Je finis par aller mettre la table, sans bruit, les yeux toujours baissés.
Le repas se déroula en silence, ni l’un ni l’autre ne souhaitant ajouter quelque chose qui pourrait raviver le conflit.
Nous nous couchâmes aussi en silence.
Je restais sur le dos, encore dans mes pensées, nu comme toujours dans le lit.
Mon épouse était tournée sur le côté, je savais qu’elle ne dormait pas. Un moment plus tard, elle se tourna et sans un mot, sa main vint prendre mon pénis et commença à le caresser. Je m’apprêtais à parler mais son autre main vint se poser sur ma bouche pour me faire comprendre que je devais me taire.
Elle approcha son visage de mon sexe et commença une fellation qui me fit bander très fort et très vite. Elle chassa alors la couverture et se mit sur moi, son sexe détrempé avala le mien. Elle me chevaucha vite, brutalement et jouit très fort. Je n’eus pas le temps de jouir, mais reçu cette jouissance comme un bonheur réel et profond.
Elle se retira, se tourna et, je pense, s’endormit.
Retour à la Paresse : Une Leçon Non Apprise
Mon sexe bandait, dur comme la pierre et battant seul, dans le vide, mouillé de sa jouissance, frustré, alors que mon cerveau ressentait un bienêtre que je ne me souvenais pas d’avoir connu. Je m’endormis le sexe tendu, l’âme en paix.
Le matin, nous reprîmes le rythme de semaine, nos discussions reprirent comme s’il ne s’était rien passé. Je pris sur moi de participer plus activement aux tâches du quotidien, déterminé à lui montrer que j’avais entendu ce message désespéré que la gifle symbolisa.
Pendant quelques temps, mes efforts payèrent et j’avais l’impression de l’aider davantage. Puis le temps passant, ma paresse naturelle, mon incapacité à faire certaines tâches par ignorance lui rendirent à nouveau le quotidien pénible.
Un soir de semaine, elle rentra très tard, vers 22H. J’étais au salon, avachi sur le canapé en mangeant des chips. Il y en avait partout.
Elle me regarda silencieusement, aucune expression sur son visage. Puis elle prit la parole.
- Tu penses vraiment qu’en rentrant à 22H du travail, j’ai envie de passer l’aspirateur pour nettoyer tes saloperies, de préparer un repas pour que tu puisses te restaurer, de ranger le linge sale que tu as laissé au sol depuis ce matin, d’aller porter la poubelle qui déborde ? Je croyais que tu avais compris que tu avais « aussi » des raisons de participer aux contraintes de la vie du foyer. Enfin, je croyais que tu allais faire quelques d’efforts. Il me semblait que suite à « l’incident » tu avais pris conscience de certaines choses. Je suis fatiguée et déçue. Cela ne continuera pas comme ça.
Puis elle tourna les talons et alla se coucher.
Une Nuit de Réflexion : Vers une Nouvelle Chance
Je restais sur mon canapé, honteux.
Je nettoyais du mieux que je le pouvais et, ne voulant pas la déranger, passais la nuit sur le canapé. Je dormais peu, me demandant pourquoi j’étais incapable de l’aider, de faire ma part. Lorsque j’émergeais enfin de cette pénible nuit, il était tard. Elle était déjà partie.
Je n’avais cours que l’après-midi, je poursuivis donc ma réflexion. Enfin, je me décidais à mettre mes conclusions par écrit afin d’y voir le plus clair possible. Je décidais de lui écrire quelques mots pour lui demander pardon et lui exposer le fruit de ma réflexion.
Après mes cours, je faisais du ménage et rangeais tout ce que je pouvais, je préparais même le repas. J’avais préparé la lettre pour lui donner.
A 23h, elle n’était toujours pas rentrée. Je laissais ses couverts et le repas préparé afin qu’elle puisse se restaurer en rentrant, laissais bien en vue la lettre et allais me coucher.
Je sentis dans la nuit qu’elle venait se coucher puis me rendormis.
Le lendemain, lorsque je me réveillais, elle était déjà repartie au travail.
Le petit déjeuner était prêt et une lettre trônait au même endroit que celle que j’avais laissée.
Je me servais un café et ouvrais le courrier.
Ultimatum d’Amour : Discipline ou Séparation pour un Homme Soumis
« Je te remercie pour ton examen de conscience. C’est déjà un grand pas en avant. Je comprends que tu tiens à moi et saches que c’est très important pour moi. Je comprends aussi, d’après ta lettre, que les deux raisons principales qui t’empêchent de participer correctement aux travaux communs sont la paresse et l’ignorance.
Cette honnêteté dans tes propos t’honore.
Si tu le veux vraiment, je peux t’aider à surmonter ces deux handicaps, mais pour cela, il faudra « vraiment » que tu acceptes de progresser, que tu le veuilles au-delà d’un simple petit effort.
Pour être franche, il demeure deux options possibles pour notre couple : soit la séparation, soit, en ce qui te concerne, la discipline et l’éducation. Je suis échaudée et ne crois plus à d’autres solutions.
J’espère que tu saisis le sens de ces mots, discipline et éducation. Si tu n’es pas discipliné, je te disciplinerai. Si tu n’es pas éduqué, je t’éduquerai. Réfléchis bien, prend le temps de bien évaluer ce que tu souhaites vraiment. Si rester à mes côtés est ta priorité absolue, je l’accepte, mais avec discipline et éducation. Sinon, nous nous séparerons, d’autres l’ont fait avant nous.
Sache que je serai intransigeante, dans les deux cas.
A toi de choisir si tu veux devenir un homme soumis. »
Embrasser la Discipline : Mon Choix d’Être un Soumis Devoué
Je relisais la lettre dix fois peut-être. J’y trouvais l’espoir de rester avec elle, la peur qu’elle provoquait en moi et un certain trouble, presque sexuel. A la lecture de ces mots de discipline et d’éducation, je me surprenais à bander, sans être capable de comprendre pourquoi.
Je n’hésitais pas longtemps. Quelle serait ma vie si je ne pouvais plus poser mon regard dans ses yeux merveilleux, sentir son parfum, toucher sa peau, jouir de ses jouissances ?
Je lui envoyais sans tarder un message sur son téléphone : « Merci de m’avoir compris et de m’offrir la possibilité de progresser à tes côtés pour devenir un bon soumis. J’accepte la discipline et l’éducation que tu me proposes avec humilité et motivation. Je t’embrasse tendrement, ton mari qui t’aime ».
Ma journée fut lumineuse, j’avais l’impression de sortir d’une grotte sombre te de voir la lumière.
Je n’avais pas mesuré la capacité de mon épouse à aller au bout des choses.
Lorsque mon épouse rentra du travail vers 20 heures ce jeudi, je finissais le ménage des toilettes.
Premiers Pas d’un Soumis : Une Éducation sous Tension
Elle vint me voir et me regardant, annonça d’un ton neutre
- Je pense qu’il faut que nous parlions.
Puis retourna au salon où je la rejoignis quelques instants plus tard….
- J’ai bien reçu ton message. Je ne suis pas sûre que tu mesures bien la voie que nous allons emprunter… mais c’est ton choix, et aussi le mien. Donc voici comment je vois les choses. Le prochain week-end, je vais commencer ton éducation de homme soumis, c’est-à-dire t’apprendre les tâches que tu ne sais pas faire ou ne fais pas comme il faut. Nous commencerons par le ménage, la lessive et le repassage. Je te montre, tu fais. Si tu ne fais pas suffisamment d’efforts, notre couple cessera d’exister.
Je ne pouvais rester sans rien dire face à cette affirmation et osais l’interrompre.
- je ne pourrai pas vivre avec la perpétuelle menace de notre couple qui explose. Je ferai des efforts, je te le garantis, mais vivre en permanence avec cette menace ne me semble pas possible…
Elle me fixa longuement, sans rien dire,
Consentement à la Punition : Un Pacte pour Rester Soumis
Enfin, elle reprit la parole avec un certaine émotion dans la voix.
- Je comprends. Ce n’est bien sûr pas ce que je souhaite, mais si tu te laisses aller, si tu fais mal les choses, que puis-je faire ? Quel moyen ai-je de te contraindre ?
Elle se tut un instant, cherchant ses mots. Je la sentais légèrement excitée, un peu rouge, comme si des idées lui venaient à l’esprit qu’elle n’osait ou ne voulait dire…
- Quels moyens me donnes-tu ?
Cette dernière phrase contenait la réponse, mais elle voulait que cela vienne de moi. Elle savait que je savais, nous savions tous les deux que l’incident avait déclenché quelque chose d’irréversible, à la fois pour elle, cette excitation sexuelle, ce sentiment de puissance, et pour moi, ce sentiment d’acceptation, ce sens que cela m’apportait, cette impression que sa direction était la bonne. Je n’avais pas de réserve, pas de honte lorsque je lui dis ce qu’elle souhaitait entendre :
- Je te donne les moyens que tu souhaites. Si cela passe par des contraintes peu agréables, je l’accepte. Soyons honnêtes tous les deux, la gifle que j’ai reçue m’a remis les idées en place et, je te le dis humblement, avec le recul, je l’ai trouvée appropriée et méritée. Si tu es d’accord pour me punir comme tu l’entends et que cela ne te pose pas de problème, je l’accepte. La gifle a eu un effet limité dans le temps, peut-être que des punitions quand c’est nécessaire permettront de m’aider à rester discipliné.
De la Gifle à l’Obéissance : Mon Choix d’Être Soumis
Je regardais le sol en disant ces mots, mais lorsque je levais les yeux, je vis qu’elle était rouge d’émotion, émue et j’en étais sûr, très excitée par ces mots. Elle reprit la parole, d’une voix peu assurée et marquée par l’émotion.
- J’ai besoin d’y réfléchir. La gifle que je t’ai donnée n’était pas intentionnelle. Elle est partie d’un coup, sans que j’y réfléchisse. Te discipliner de manière intentionnelle est autre chose. Je pense que j’en suis capable. Pour être vraiment honnête puisque tu l’es réellement et je t’en remercie sincèrement, non seulement, je pense que j’en suis capable, mais il est possible que cela ne me déplaise pas. Simplement, il faut que tu comprennes que cela aura des conséquences sur notre couple, sur notre relation. Je ne te regarderai plus de la même manière et tu ne me regarderas plus non plus de la même manière.
Je savais tout cela. J’y avais réfléchi, je savais aussi que notre relation devait changer ou se terminer. Elle le savait aussi. Je devais donc lui faire comprendre que j’étais prêt à ce changement.
- Je sais que nous n’aurons plus une relation classique. Soit sûre que j’y ai longuement réfléchi. Ma volonté de rester avec toi est forte et claire. Pour cela, je suis prêt et puisqu’il faut appeler les choses par leur nom, je suis prêt à me soumettre à ta volonté. Oui, je suis prêt à être soumis car c’est ainsi que cela s’appelle. J’en assumerai les conséquences. Je suis prêt à te regarder toujours avec amour, adoration, admiration mais aussi une certaine crainte, un grand respect et à vivre en obéissance, à te servir comme tu le mérites et donc à subir ce qu’il faudra pour cela.
À Ses Pieds : Une Déclaration d’Amour Soumis
Elle me regardait droit dans les yeux.
- Je ne m’attendais pas à ce que tu aies déjà réfléchi aussi profondément aux évolutions probables de notre relation. Je suis surprise, agréablement surprise du travail que tu as fait sur toi, sur nous et surtout touchée par la déclaration d’amour, presqu’inconditionnelle, que tu viens de me faire.
Une larme coula sur sa joue et je vins me mettre à genoux devant elle, lui prenant la main et posant un baiser doux. Je me sentais à ma place ainsi, celle que je devrais désormais occuper. Tout allait très vite, mais les heures sans dormir avaient éclairé ce chemin, le seul possible avec elle compte tenu de ma paresse, de ma faible volonté.
Nous sommes restés un moment ainsi, elle assise, les yeux embués regardant au loin, et moi à ses pieds, tenant sa main comme pour ne pas la perdre.
Elle reprit la parole brusquement:
- Est-ce que tu bandes ?
Je la regardais en souriant,
- oui
Elle sourit aussi et lança:
- Va dans la chambre, mets-toi nu, allongé sur le dos !
Je me levai et allai faire ce qu’elle demandait, un ordre de velours.
Elle arriva peu après, nue et vint immédiatement se placer au-dessus de moi, avalant ma queue dans sa chatte détrempée. Elle bougea vite, brutale comme la dernière fois, frottant son pubis sur moi, chevauchant ma queue avec ardeur, la tête renversée et les yeux ailleurs. Ses superbes seins dansaient devant moi avec grâce.
- Reste dur, ne jouis pas !
Extase et Abandon : Servir Sa Jouissance
Elle accéléra encore, se frottant de plus en plus fort. Elle se pencha en avant, griffant mon torse, pinçant mes tétons. Je me concentrais pour réfréner ma jouissance, pour tenir le plus longtemps possible. Elle râlait, trempait mon bas ventre de son plaisir. Je ne l’avais jamais vue aussi déchaînée, animale, emplie de plaisirs bruts.
Enfin elle se tendit et je sentis son ventre tout entier écraser, broyer ma queue, dans un spasme qui semblait ne pas finir, son râle vint de son ventre, grave, alors que ses seins pointaient fièrement vers le ciel, sa bouche cherchait l’air, ses muscles, tous ses muscles étaient tendus à l’extrême, ses cuisses écrasaient les miennes, ses mains lacéraient mes pectoraux, son ventre essorait ma queue qui luttait pour rester debout, dure, sienne.
Puis elle se laissa aller sur moi, comme sans vie, respirant à peine, immobile et silencieuse de longues minutes alors que ma queue, dure encore n’osait bouger dans son écrin de douceur humide, battant au rythme de mon cœur et bercée par le sien.
Ses odeurs, sueur, cyprine, parfum m’emmenaient au paradis. Sa chaleur me couvrait. Sa jouissance me comblait encore, et davantage que le plaisir fugace de la mienne.
Je la serrais dans mes bras, elle se blottit reconnaissante.
Nous restâmes ainsi un long moment, ma queue finit par rendre les armes et sortie molle, naturellement, de sa chatte.
Elle s’endormit, je restais éveillé, absorbant cet instant de paix, la chaleur de sa vie, la beauté de son corps alangui, le rythme de sa respiration, les battements de son cœur, absorbant avec avidité tout ce qui était Elle.
A suivre