Deux Maîtresses dominatrices et l’ex professeur soumis (15)

| |

Deux Maîtresses dominatrices et l’ex professeur soumis (14)

Je partis vers la cuisine, conscient que les regards se portaient sur mes fesses ! Alors je repris ma démarche chaloupée, essayant de ne pas me tordre les chevilles sur les escarpins à talons ! Je revins avec tous les petits mets préparés par mes Maîtresses Dominatrices, et le champagne que j’allais leur servir individuellement.

Au service de mes Maîtresses dominatrices et de leurs invités

Maîtresses dominatrices

Je servis d’abord mes Maîtresses Dominatrices qui flattèrent mes courbes de la main. Ensuite, Maîtresse Julie, fidèle à elle-même, me chuchota à l’oreille:

  • Tu vas une bonne salope ce soir, tu te rends compte, toutes ces bites pour toi, ça va être un vrai régal !

Bien sûr le ton était ironique, c’était sa façon à elle de me rappeler mon rôle.

Ensuite, je servis Vincent, qui se contenta de me remercier. Victor lui en profita pour passer sa main sous ma jupe pendant que je remplissais son verre.

  • Humm, des dim-up, pas de culotte et un plug, j’adore !

Le contact de sa main me mettait mal à l’aise mais je l’encourageais en remuant les fesses comme si j’appréciais.

Enfin, je servis Thomas qui prit le verre d’une main et me présenta son index de l’autre. Je compris aussitôt que mon rôle de salope avait commencé. Aussi, je pris son doigt dans ma bouche en le regardant dans les yeux.

  • Bientôt chérie, me dit-il.

Et je me sentis vraiment femelle dans son regard.

Maîtresse Elsa me fit remarquer que je m’étais oublié, alors je me servis une coupe de champagne que je bus presque d’un trait tant la situation me demandait d’efforts.

Maîtresse Elsa se montrait très bienveillante. Je pense qu’elle appréciait mes efforts pour être celle que je devais être.

  • Allez, tu peux t’en servir une autre, dit-elle en me faisant un clin d’œil.

Et je ne me fis pas prier !

Vincent m’avait déjà « consommé », alors il était plutôt dans la convivialité de la soirée, discutant avec mes Maîtresses Dominatrices.

Obligé de me laisser toucher par Victor

Victor me fit signe d’approcher. Je me tins debout à côté de lui et il reprit ses attouchements sous ma jupe. Je pense n’avoir jamais été touché aussi frénétiquement.

Il passa de mon sexe à mes testicules, puis se mit derrière pour me malaxer les fesses. Enfin, il les écarta avec ses doigts et appuya sur le plug qui entra plus profondément en moi. Tout ça sans la moindre douceur.

Je l’encourageai en passant ma main dans ses cheveux tendrement car je m’étais conditionné pour être féminine, douce et sensuelle.

Après, il m’attrapa et me fit asseoir sur ses cuisses. Il toucha même mes faux seins. Je passai mon bras gauche autour de son cou, et de ma main droite, je caressai son ventre, son buste, comme une femme amoureuse.

Son bras droit entourait ma taille, et sa main gauche me masturbait, car malgré le recul que je ressentais vis-à-vis de lui, ses mains avaient provoqué mon excitation, de façon tout à fait mécanique.

Je remarquai que Maîtresse Elsa était en train d’observer la scène, alors je pris mon courage à deux mains et approcha mon visage du sien. Il ouvrit aussitôt la bouche et je plongeai ma langue dedans.

Ses poils de moustache et de barbe me piquaient et me dégoûtaient.

Sa main gauche quitta le dessous de ma jupe pour se poser sur l’arrière de ma tête et appuyer encore plus ma bouche contre la sienne, faisant tournoyer sa langue et salivant comme un porc.

Heureusement Thomas intervint :

  • Eh Victor, faut en laisser un peu pour les autres !
  • Oui tu as raison, j’ai tendance à m’emballer, mais Sylvia m’a tellement fait bander que j’ai failli cracher dans mon pantalon !, répondit-il en riant bruyamment.

…puis de nouveau par Thomas

Je quittai les genoux de Victor pour m’asseoir sur Thomas, directement et naturellement.

Sur ma lancée, comme pour me débarrasser de ce qui me gênait le plus, je me mis à l’embrasser tendrement, caressant sa langue avec mes lèvres, explorant l’intérieur de sa bouche avec ma langue.

Puis il prit ma main et la dirigea vers son sexe, à travers son pantalon. Je passai ma main entre ses cuisses, lui malaxai délicatement ses couilles et je sentis son sexe grossir sous ma main. Ainsi, je ne pus m’empêcher de remarquer que la bosse était bien grosse et je frémis intérieurement.

Il me présenta à nouveau son doigt :

  • Mouille-le bien!

Je m’exécutai en le couvrant de salive puis il passa sous ma jupe, retira le plug et introduisit son doigt dans mon anus. Il le mit entier sans difficultés car le plug m’avait bien ouvert !

Sans aucune gêne, il baissa la fermeture éclair de sa braguette et sortit son sexe, bien plus gros que la moyenne, non circoncis comme Vincent.

Impressionné, je le masturbai délicatement et revins vers sa bouche pour l’embrasser. Peut-être qu’inconsciemment j’étais tout doux avec lui en espérant qu’il le serait avec moi.

Cependant, il dirigea ma tête vers son sexe et je compris que je devais le sucer. Ma bouche était bien remplie et je n’osais penser à ce qui arriverait ensuite.
Je caressai ses couilles en même temps, vraiment je m’appliquais.

Pénétré par Thomas sous le regard de mes Maîtresses dominatrices

Cependant, Victor intervint à son tour :

  • Allez Sylvia, viens t’occuper de ma bite, Thomas devra attendre aussi !

Victor avait carrément baissé son pantalon et son boxer. Aussi, je me mis à genoux entre ses jambes et je découvris son sexe, très court avec un gros gland, circoncis (comme moi). Son ventre faisait de gros plis, c’était moche. Je n’avais absolument pas envie de m’en approcher.

Pourtant, je fis face. Je pris ses couilles dans ma main et happai son gros gland dans ma bouche, le nez dans ses poils roux.
Je sentis sa main appuyer sur ma tête avec fougue, me faisant faire des va-et-vient rapides. Contre toute attente, je l’entendis exulter et je sentis son sperme remplir ma bouche, ce qui me donna un haut le cœur. Mais j’avalai tout docilement.

Personne ne parlait plus, tout le monde regardait.

Thomas me fit revenir vers lui aussitôt, il bandait encore, et je le repris en bouche.

  • Elsa, tu me passes le lubrifiant s’il te plaît ?

Il prit le tube et s’en mit plein des doigts qu’il introduisit dans mes fesses.

Je me suis dit alors que j’allais devoir serrer des dents.

Effectivement, Thomas se leva et me mit à genoux sur le fauteuil. Je sentis une de ses mains sur ma hanche et l’autre devait tenir son sexe car je sentis le bout ouvrir mon anus.

J’eus vraiment du mal à supporter cette pénétration mais je dois reconnaître qu’il fut doux et progressif.

Je me sentais rempli, alors je fermai les yeux, me concentrai et me relaxai pour qu’il puisse aller et venir plus librement, sans me faire mal.

Puis au tour de Victor!

Quelques minutes plus tard il accéléra, me dit:

  • Humm, t’es bonne chérie!

Enfin, il jouit en s’aplatissant sur moi.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, Victor rebandait déjà, et me dit:

  • Bouge pas !

Thomas se releva, je me remis à quatre pattes et Victor vint derrière moi.

Maîtresse Julie devait avoir un peu bu parce que je l’entendis dire:

  • Allez Victor, bourre-lui le cul !

Victor ne se fit pas prier. J’ai cru qu’il allait me déchirer l’anus avec son gros gland, mais une fois dedans, ce fut plutôt facile car il était court et Thomas m’avait bien dilaté…

Il s’agrippa à mes hanches et me donna de bons coups de reins tout en parlant :

  • Humm, j’adore prendre en levrette les salopes en mini-jupe avec des dim-up et des chaussures à talons » ça me fait bander ! T’es une bonne pute hein ?

 

  • Oui mon chéri, vas-y défonce-moi!

Je n’en revins pas intérieurement d’avoir dit ça !

Ayant déjà joui, il mit beaucoup plus de temps à éjaculer et le bruit de son gros ventre qui claquait sur mes fesses dura un bon moment, mais quand ce fut fait, il jura de plaisir !

Utilisé comme urinoir par Victor et Thomas

C’est alors que Maîtresse Julie intervint :

  • Thomas, Victor, j’ai une bonne surprise pour vous, si vous le souhaitez, Sylvia peut vous éviter d’aller aux toilettes, il lui suffit d’ouvrir la bouche et vous aurez votre urinoir !

 

  • Vraiment?, dit Thomas.

 

  • Viens ma salope!, dit seulement Victor.

Je n’étais pas surpris que Maîtresse Julie ne se contente pas de mes efforts pour me faire baiser par des hommes. Sans possibilité de m’y soustraire, je rejoignis Victor, m’agenouillai et ouvris la bouche. Il ressortit sa grosse bite moche et pissa dans ma bouche, plus que je n’imaginais, le champagne aidant. Il l’égoutta bien, ce qui m’humiliait toujours autant.

Ensuite, je rejoignis Thomas, plus délicat :

  • Allez ma chérie, bois mon champagne, régale-toi !

Mais je dus supporter un jet dru qui dura une éternité pour moi. Je bus au fur et à mesure sans en perdre une goutte. Le goût n’était pas trop fort, contrairement à celui de Victor.

Peut-être impatient d’en finir, à moins que je ne prenne goût à ce nouveau rôle dans lequel je ne me sentais pas si mal et qui m’excitait au fond de moi, je vins vers Vincent confortablement assis dans son fauteuil.

Ensuite, je me mis sur lui à califourchon, pour l’embrasser à pleine bouche, agitant frénétiquement ma langue comme si je le désirais follement, tout en me frottant comme une damnée.

Un moment de tendresse avec Thomas

Il y fut très sensible, puisqu’il se leva tout en me portant, me descendit le dos sur le fauteuil, remonta mes jambes, me mit directement deux doigts plein de lubrifiant et me pénétra sans ménagement.

Il jouit super vite et vint au-dessus de mon visage :

  • Prends ma bite dans ta bouche et attends sagement!

Je m’exécutai et attendis quelques minutes, pour finalement sentir ma bouche se remplir de sa pisse chaude et goûteuse. J’avais satisfait tous les mâles et j’en étais fier ! Mais ce n’était pas fini.

Thomas n’avait joui qu’une fois et semblait avoir envie de tendresse.

Il me fit signe de le rejoindre et je m’assis sur lui. Je lui caressai la joue, les cheveux, le torse tout en le regardant tendrement. Je passai mes bras autour de son cou et l’embrassai à nouveau. Avaler sa salive ne me plaisait pas trop, mais son visage était lisse,

Comme il était beau, je pouvais avec lui me sentir femelle sans que ce ne fut un rôle de composition trop difficile, et ça me surprenait un peu au fond de moi.

Maîtresse Elsa dut s’en rendre compte puisqu’elle interpella Thomas :

  • Viens Thomas, emmène Sylvia avec toi dans la chambre!

Séance à trois dans la chambre avec Maîtresse Elsa et Thomas

Maîtresse Elsa nous précéda, s’allongea sur le lit et écarta les cuisses.

  • Sylvia, lèche-moi pendant que Thomas va te sauter!

Je me mis à plat ventre, le visage entre les cuisses de ma Maîtresse, ravi de la sentir, de la goûter à nouveau. Thomas s’allongea sur moi et enfonça sa bite dans mon cul.

Tous deux jouirent presque en même temps et le mouvement du frottement contre le drap faillit me faire jouir aussi ! Mais heureusement, je gardai mon excitation pour la suite car Victor n’avait joui qu’une fois, et Maîtresse Julie voulut exactement la même chose, avec le même final.

Tout le monde reprit ses esprits en prenant un petit verre final que je servis, y compris à moi-même. Je regardai les préservatifs qui jonchaient le sol, remplis du sperme de ces hommes que j’avais fait jouir… une belle satisfaction quand-même !

Les garçons partirent en me faisant une bise sur les lèvres et en me tapotant le cul, comme pour me remercier des services rendus.

Aux pieds de mes deux Maîtresses dominatrices

Maîtresses dominatrices

Mes Maîtresses dominatrices me félicitèrent :

  • Tu nous as rendu très fières une fois de plus. Cette féminisation contre nature fut un véritable succès, à croire que tu as aimé ça ! C’est le cas ?

 

  • Oui et non, Maîtresses, il est vrai que je suis surpris de m’être sentie femelle et d’avoir aimé ça, mais avec Victor, ça m’a quand-même dégouté, il était trop « homme » et je ne suis même pas bi.

 

  • Je pense que tu es devenu bi ce soir avec Thomas, tu étais trop convaincant pour simuler.

 

  • Non Maîtresse, dis-je tout doucement pour ne pas la contrarier, c’était juste plus facile avec lui, mais en le voyant dans la rue, je n’aurais aucune envie. Seules les femmes m’attirent.

 

  • Je comprends, et finalement c’est beaucoup plus excitant pour nous que tu te forces par obéissance. En attendant, Julie et moi allons dormir dans le même lit pour que tu t’occupes de nos pieds en même temps. Tu vas lécher nos pieds, sucer nos doigts de pieds, passer ta langue entre nos doigts de pieds, et tu n’arrêteras que lorsque nous serons endormie. Mais garde ta tenue de femelle, c’est excitant !

 

  • Bien Maîtresse.

Je me sentis bien au fond du lit de mes Maîtresses dominatrices, dans cette chaude intimité, à lécher et sucer
amoureusement leurs jolis pieds qui sentaient bon.

Et le trouble de ma réussite en femme auprès des hommes, et en particulier Thomas, se dissipa lorsque je m’imaginai leur léchant les pieds.

« Impensable », me dis-je, j’avais bien eu raison de dire à Maîtresse Elsa que les hommes ne m’attiraient pas et que je n’étais même pas bi, ce n’était que l’obéissance et une certaine perversité qui m’avaient guidé, en aucun cas le désir.

Previous

Comment je suis devenu l’objet de ma voisine dominatrice

Deshumanisation d’un homme soumis (8)

Next
 

Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …