Début de la vie d’homme soumis
Le jour se lève et j’entends du bruit dans la maison, ce sont les enfants qui se préparent. Je me redresse rapidement et me colle au mur avec la crainte qu’ils n’entrent dans le garage. Mais non, je les entends rire, discuter, se disputer. Vous devez prendre le petit déjeuner puis j’entends la porte d’entrée qui claque puis le silence. Une voiture qui s’éloigne…
Une, deux, peut-être 3 heures se passent puis j’entends une voiture s’arrêter puis la porte de la maison. Des bruits de vie, pendant 1 heure peut être, puis enfin tu entres dans le garage.
-Bien, alors, tu as bien dormi ? non hein ! Ce n’est pas grave, on a tout le temps pour te mettre en condition. Je viens d’emmener les enfants chez leur père pour la semaine. Je vais donc pouvoir m’occuper de Toi ! Ah oui au fait. Couche Toi !
Tu quittes ton pantalon… pas de culotte… puis me chevauches à nouveau la bouche et je sens un liquide chaud et visqueux pénétrer ma bouche
-Ah oui hein, je viens de voir Charles, il va falloir t’y habituer !
J’avale sans broncher et t’amène à la jouissance de ma langue.
Tu te relèves.
-Bien maintenant passons aux choses sérieuses !
Premiers ordres pour l’homme soumis !
Tu prends une chaise et t’assoies dessus, les jambes légèrement écartées, je peux m’enivrer de la vision de ta fente légèrement ouverte encore luisante de ta jouissance. Mon sexe réagit au quart de tour et envahit la cage en quelques secondes.
-Vas-y régale toi car JAMAIS tu n’y mettras ton asticot. Il est pour Charles. Alors, pendant la semaine qui vient, je vais faire de toi un homme soumis, ma chose, mon objet, mon esclave. Chaque instant tu le seras, tu le deviendras. Tu n’as pas le choix. Tu comprends ?
-Oui Madame.
-Je vois que tu as compris. Et ne me dis pas que cela ne te plait pas, ton sexe me dit le contraire ! Donc, à chaque fois que je rentrerai d’un câlin avec Charles, tu devras me nettoyer de ta langue ou que ce soit. Quand je partirai le rejoindre pour passer la nuit avec lui, tu seras enchainé au pied de mon lit, menottes dans le dos. Tu en profiteras pour bien dormir car ensuite, pas de répit…. Pour toi. A mon retour, tu me nettoieras donc, puis tu me laveras les sous-vêtements à la main avec dévotion après un prélavage de l’entrejambe de ma culotte avec ta bouche bien entendu ! Tu feras le ménage dans la maison, je vérifierai. Tu seras cravaché pour chaque endroit qui ne sera pas parfaitement nettoyé. C’est clair ?
-Oui Madame.
-Bien, tu me prépareras mon déjeuner et tu me serviras. Pendant que je mangerai, toi, tu fileras sous la table et de ta bouche, de ta langue, tu « aimeras » mon sexe…. Tu feras la vaisselle pendant que j’irai faire un câlin avec Charles. A mon retour, tu me nettoieras à nouveau. Et pendant que je bosserai, l’après-midi, ce sera, lessive, repassage et cuisine pour le diner. Compris ?
-Oui Madame
L’homme soumis se transforme en parfaite soubrette !
Tu Te lèves puis Tu me détaches.
-Allez, tu vas prendre une douche tu pues et ensuite au boulot !
Je te suis dans ta salle de bain et tu me regardes me doucher.
-Frotte bien partout hein !
Tu dis en rigolant.
Une fois bien lavé, je me sèche avec une serviette que tu me tends.
-Bien maintenant, au boulot ! Tu nettoies et range la salle de bain puis tu vas me préparer le repas. Dans le réfrigérateur, tu trouveras ce qu’il faut pour me faire une salade de crudités et il y a un morceau de poulet froid. En dessert un yaourt. Je vais manger au salon dans le canapé, alors tu mets ça sur un plateau et tu me l’apportes. Allez files, tu as 20 minutes !
Ne connaissant pas la maison et encore moins la cuisine, le plateau arrive au salon avec 3 minutes de retard. Tu me le fais remarquer.
-Mais …
-Pardon ? je t’ai demandé quelque chose ?
-Non Madame
-Alors tais toi ! et ce sera une punition ! Pose le plateau là sur le canapé et mets-toi à quatre pattes là devant moi pour me servir de pouf.
Punition pour l’homme soumis !
Je m’exécute immédiatement. Tu poses Tes pieds sur moi et poses ton plateau sur tes genoux.
-Alors, la salade trop copieuse et trop assaisonnée, le poulet je le voulais à part. Je n’ai rien à boire. La prochaine fois ce sera un verre d’eau bien fraiche. Et j’aurais apprécié que mon yaourt soit ouvert… et bien évidemment la cuillère manque … ça fait beaucoup pour une première fois. Je crois que tu ne supporterais pas la correction qui s’impose donc je te propose 10 coups de cravache à la fin de mon repas, 10 ce soir et 10 demain au réveil.
-Comme il vous plaira, Madame.
-Il me plait. Débarrasse-moi et va chercher la cravache, je l’ai posée sur le lit dans ma chambre.
Tu soulèves tes pieds et je me relève, je prends le plateau et l’emporte en cuisine puis je file dans la chambre chercher la cravache. Je m’agenouille devant toi pour te la présenter.
-Bien, je vois que tu comprends qui commande. Debout, retourne-toi et mains sur la tête.
Je m’exécute. Le premier coup sur ma fesse droite me surprend et me fait sursauter. Je retire les mains de ma tête instinctivement.
-Dis donc ??? je t’ai dit de bouger ? Remets tes mains sur la tête et ne bouge pas. Tu vas en avoir donc 5 de plus … et on recommence à zéro !
15 coups de cravache !
Je reprends la position et encaisse les 15 coups de cravache avec « dignité » seules, deux larmes coulent sur mes joues… mes fesses me brulent, tu n’y es pas allée de main morte…
-Qu’est-ce qu’on dit ?
-merci Madame
-Oui tu peux me remercier car c’est fatigant, crois-moi de devoir sévir. Bref, que ça te serve de leçon, et estime toi heureux de ne pas recevoir les 30 coups en une seule fois ! Bon c’est le premier jour, je suis trop gentille. Tu vas remettre la cravache dans la chambre, tu fais la vaisselle, tu mangeras mes restes, puis tu commences le ménage. D’abord ici dans le salon. Je vais rejoindre Charles.
Tu Te lèves, prends ton manteau et quittes la maison. Je baisse enfin les bras, j’ai mal, si mal aux fesses et aux cuisses. Je remporte la cravache que je pose sur le lit et en profite pour regarder les dégâts dans le miroir psyché de la chambre. De longues zébrures me balafrent, rouges, bleues, boursouflées pour la plupart. De l’une d’elle s’échappe une goutte de sang.
Je me dépêche de manger tes restes de repas puis je fais vaisselle et je commence le ménage dans le salon, poussières, aspirateur, serpillère sur le carrelage. J’ai presque fini quand tu reviens.
-Suis-moi, tu finiras tout à l’heure
Je te suis dans la chambre. Tu laisses tomber ton manteau sur le sol que je m’empresse de ramasser et d’accrocher au porte manteau.
-Couche toi là sur le dos
Au service du plaisir de sa Maîtresse !
Tu me désignes la descente de lit. J’obéis immédiatement, le contact de la descente de lit me fait mal sur mes fesses meurtries… Tu quittes ton pantalon de jogging et viens t’assoir sur mon visage. Ton sexe sent l’amour et je comprends tout de suite que Charles y a laissé sa semence.
-Allez, nettoie et fais-moi jouir ! Parce que Charles, lui, n’y est pas parvenu et je suis assez agacée alors tu as intérêt à être efficace !!!
J’ouvre grand la bouche pour recevoir ton offrande. Tu écartes bien ton sexe pour faciliter l’écoulement. Une fois nettoyés ton vagin et tes lèvres, ma langue s’active sur ton clitoris, pas assez à ton goût et tu enfonces Tes ongles dans mes couilles…
-Mieux que ça s’il te plait !! Active plus ta langue nom d’un chien !!!
Sous la douleur, ma langue s’active et tu ne tardes pas à jouir.
Tu te lèves et files prendre une douche.
-retourne travailler, tu t’es assez reposé !
Ma bouche me fait mal tant tu t’es appuyée dessus de tout ton poids. Mes couilles aussi. Je me lève et retourne finir de nettoyer le salon. Tu ne tardes pas à me rejoindre simplement vêtue d’un peignoir de satin.
-Quand tu auras fini, tu feras la cuisine, puis tu viendras te mettre sous le bureau.
Champagne doré pour l’homme soumis !
Je m’active dans la cuisine et 30 minutes plus tard, je me glisse sous ton bureau. Tu écartes les jambes et je pose ma bouche délicatement sur tes lèvres.
-Doucement, tu me donnes juste du bien-être, je ne veux pas jouir en travaillant, tout au moins pas maintenant.
Je me délecte de ton nectar divin en jouant de la langue sur tes lèvres.
-Doucement je t’ai dit
Tu continues à « travailler » durant plus d’une heure.
-Bon, ça suffit. Tu vas préparer un thé et tu me l’apportes.
J’abandonne ta grotte d’amour luisante de plaisir et je vais à la cuisine te préparer un thé que je t’apporte. Je me mets à genou pour le poser devant toi.
-Bien, bonne initiative.
Tu gouttes ton thé
-Mouais, pas assez infusé mais bon c’est la première fois ; Donc Tu le sauras désormais. Allez, retourne sous le bureau.
Je m’exécute et reprend ma douce caresse.
-J’ai envie…. Colle ta bouche à mon sexe qu’il n’y ait pas de fuites, je n’aime pas ça.
Je comprends à demi-mot, j’ouvre grand la bouche et la colle sur ta vulve… mes lèvres collées aux tiennes … Quelques gouttes, puis un fin filet coule dans ma bouche, puis tu te lâches et un flot de ton champagne doré coule dans ma gorge. J’avale avec peine, mais j’avale …
-Ahhhhh ça fait du bien !
Le flot se tarit enfin, mes lèvres quittent les tiennes et je souffle doucement pour sécher ton sexe…
-Bien, je veux que ce soit toujours comme ça compris
-Oui Madame
Puis je reprends ma tâche.
Préparation du diner pour sa Maîtresse !
Il est tard quand enfin, tu me demandes d’aller te préparer le diner.
Une omelette salade suivi d’un morceau de fromage et un fruit. Et bien sûr un verre d’eau bien fraiche !
Je fais attention de ne rien oublier.
Je t’apporte le plateau et tu dines au salon, Tu sembles n’avoir rien à redire. J’attends à genou à tes côtés.
-Bien, je vois que tu fais des efforts pour ne pas faire d’erreur, c’est bien le minimum que j’attendais de toi. Tu débarrasses, tu dines de mes restes, ben oui, il va falloir t’y habituer. Tu ranges la cuisine puis tu vas m’attendre dans la chambre.
Je me dépêche d’aller en cuisine pour manger un petit morceau d’omelette froide, la croute du fromage et le quart de la pomme que tu as laissé, le tout arrosé d’un grand verre d’eau. Moi qui est plutôt enrobé … je crois que Tu vas réussir à me faire maigrir. Je fais la vaisselle et range puis je vais m’agenouiller au pied de ton lit dans la chambre.
10 coups de cravache pour l’homme soumis !
Tu me rejoins plus d’une heure après, mes genoux me font souffrir.
Tu ne me regardes même pas.
Ensuite, Tu prends la cravache sur le lit.
-Bon, la punition prévue : 10 coups ! Debout et tournes-toi !
J’espérais un peu de clémence de ta part, mais non, avec toi, ce qui est dit est dit.
Je reçois les 10 coups de cravache promis, mes fesses et mes cuisses sont en feu, j’aimerais voir le résultat mais tu ne m’en laisses pas le temps.
Tu jettes la cravache sur le lit et tu laisses tomber ta robe de chambre sur le sol, nue, tu te diriges vers la salle de bain
-Allez, je vais prendre une douche, tu me prépares une culotte, un sous tiff, des bas noirs et ma robe noire à paillettes
Je fouille dans tes tiroirs et ta penderie pour en sortir tes sous-vêtements et vêtements. Je les pose sur ton lit et m’agenouille près du lit en t’attendant
-Viens ici me sécher !
Menotté pour la nuit !
Tu m’appelles de la salle de bain, j’accours et prends la serviette sur le radiateur. Tu sors de la douche, magnifiquement érotique puis je te sèche avec douceur.
-Prends le rasoir là sur le lavabo et viens parfaire le rasage de mes parties intimes, je n’ai pas envie que la bite de Charles soit abimée par une petite repousse de mes poils.
Tu te couches sur le lit, tu écartes les jambes … totalement impudique.
-Allez, Dépêche-toi, je ne veux pas le faire attendre !
Je me penche sur ton sexe béant et passe délicatement le rasoir autour de celui-ci.
Je passe les doigts pour vérifier la douceur.
-Hé là, doucement, je ne voudrais pas jouir maintenant, je dois garder mon excitation pour Charles ! ça suffit, aide-moi à m’habiller.
Je t’enfile ta culotte puis agrafe ton soutien-gorge. Je te tends tes bas que Tu enfiles, je les ajuste puis Tu enfiles ta robe.
-Bien, à toi !
Tu sors une courte chaine de dessous le lit, environ 1.5 mètre reliée à un anneau dans le mur. Au bout une paire de menottes.
-Tourne-toi !
Je me tourne et tu me menottes dans le dos. Tu sors une couverture d’un placard et la jette sur le sol, près du lit.
-Couche toi là et dors …. En attendant mon retour.
Puis tu sors de la chambre, éteins la lumière et quittes la maison.
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paradoxe 37
Belle histoire…Pas de pitié. Juste dresser une soubrette pour pouvoir en profiter un maximum.
On a la soubrette que l »on mérite!