Pour la suite de l’histoire, j’ai décidé de donner le nom de ma petite amie: elle s’appelle Justine. En repartant du cours de self-defense de ma copine, celle-ci me regarda, totalement, différemment. Elle était plus souriante, moins froide. Dans la voiture, j’étais sur la place passager, et elle conduisait. S’en suivit un dialogue plus que déconcertant:
-J’ai bien aimé cette petite activité à deux que nous venons de vivre. Et puis, maintenant on sait que tu ne vaux rien, que je te bats physiquement, mais aussi mentalement. C’est simple, si tu me désobéis, tu auras à faire à moi, et je vais encore un peu plus prendre l’ascendant sur ta vie.
Après être rentrés dans notre appartement, Justine m’expliqua ce que je devais faire comme tâche, chaque soir.
Nouvelles tâches quotidiennes pour le jeune homme soumis
Ainsi, en parfait homme soumis, je devais préparer le repas qu’elle avait décidé, lancer une lessive, ranger au mieux l’appartement et après lui faire un massage de ses pieds.
Je me mis, ainsi, à genoux par terre devant elle. Ensuite, je lui massa les pieds pendant qu’elle regardait la télévision. Elle m’ordonna de lui passer ma carte de crédit, et celle du compte commun. Ensuite, elle m’expliqua que je n’aurai plus l’autorisation de dépenser d’argent sans son autorisation. En revanche, elle, pourra s’en servir quand elle le voudra.
-Tu seras comme mon employé à partir de maintenant. Si tu fais du bon travail en tant qu’esclave, je te payerai en liquide pour que tu puisses t’acheter, ou m’acheter quelque quelque chose d’ailleurs. Ce soir tu as bien travaillé, je vais donc te récompenser!
Et elle me fit tomber à ses pieds un billet de 5€.
– Merci ma chérie mais je ne ferais pas grand chose avec cet argent…
– que crois-tu ? Si tu veux de l’argent, il va falloir le gagner, si je te fais ça mon chéri, c’est pour que tu sois un homme soumis plus attentionné envers moi. Pour l’instant, tu m’obéis c’est bien, mais sache que j’attends, encore, plus de toi!
J’avais besoin d’argent, pour sortir et manger le midi. Ainsi, c’était dur pour moi. Je voulais reprendre de force ma carte en lui disant que je n’étais pas d’accord avec cette pratique, mais elle me prit par le cou en serrant fort. Aussi, je n’eus pas le courage de riposter.
-Cet après midi au gymnase ne t’a pas servi de leçon on dirait. Et ne pas m’obéir, ça je ne l’accepte pas ! Va dans ton placard! tu es privé de repas! Et j’en ai pas fini avec toi!
Pas de repas pour le jeune homme soumis!
Et comme un enfant puni, je m’exécutai pour peur des représailles. Elle m’accompagna jusqu’au placard et ferma la porte derrière moi.
Plusieurs heures plus tard, elle revint me chercher. Elle était habillée en petite tenue, porte-jartelles, talons aiguilles… En fait, elle était, tout simplement, sublime, mais malheureusement pour moi, je portais toujours ma cage de chasteté. Aussi, une érection naissance fût stoppée, ce qui me provoqua de fortes douleurs. Enfin, elle me banda les yeux et m’attacha sur le lit.
-Rêve que tu aies le droit de me regarder comme ça ! Tu vas être sévèrement puni tu vas voir!
Après ces paroles, je reçus ma punition : beaucoup de tortures, coups de fouet, de la cire, et piétinement jusqu’au sang. Après s’être défoulée sur mon corps, elle s’assit sur mon visage. Elle se releva enleva mon bandeau des yeux :
-à partir de maintenant, tu as le droit de voir ce qu’il se passe : dit Justine avec un petit sourire.
Elle commença par m’étouffer, en me recouvrant le nez et ma bouche avec ses mains tout en souriant, puis elle relâcha juste avant que je ne m’évanouisse.
-Oh non, on ne va pas s’arrêter tout de suite crois moi ! Tu vas travailler un peu avant. Tu vas me nettoyer pour que je sois toute fraîche !
Utilisé sans ménagement
Justine me tendit son anus, pile au dessus de mon visage. Je n’avais, jamais, pu voir son trou d’aussi près. C’était pour une première fois « bizarre » à voir cette zone de son corps. J’ai vite compris qu’il fallait que je le lui nettoie. Certes, il était « propre » dans le sens où il n’y avait pas de traces de pneus si je puis dire.
En revanche par rapport à d’habitude, une odeur forte en ressortait et il était très humide à cause de la transpiration. Du coup, j’étais naturellement réfractaire à la nettoyer. Justine n’eut donc pas eu d’autre choix que de se poser complètement sur mon visage. Je ne pouvais plus respirer.
-Si tu veux respirer, va falloir travailler !
J’écoutai donc ses paroles et je me mis à la tâche. Suite à ce nettoyage parfait, elle se redressa pour me dire deux mots:
-C’est du beau travail ça! C’est bien, tu t’es bien rattrapé! Je sais que ce n’est, pas forcément facile ce que je te demande mais après tout, tu dois faire ce que je te dis sans réfléchir. Mais je suis désolé mon chéri, j’ai horreur qu’un homme soumis me tienne tête et il faut que je m’assure que tu ne le fasses plus jamais ! Bonne nuit mon amour !
Justine reposa ses fesses sur mon visage cette fois-ci sans se retirer jusqu’à ce que je m’évanouisse, puis plus rien.
À suivre.
ma foi la force de la dame ne lui laisse pas le choix d’ailleur a ton vraiment un choix la femme st supérieure point et la chance d’etre payer pour la servir est un honneur plus qu’une punition