La Boss dominatrice et son assistant fétichiste (1)

Aujourd’hui, je vais vous raconter comment je suis devenu l’assistant personnel d’une femme magnifique, la Boss dominatrice, d’une entreprise de taille moyenne.

Je n’ai pas voulu faire d’études après mon bac car j’avais peur de m’ennuyer. Aussi, j’ai directement commencé à chercher du travail. Cependant ne trouvant pas grand chose d’intéressant, j’ai juste enchainé des petits boulots, pendant 2 ans.

A la fin de ces deux années, j’ai enfin trouvé quelque chose d’intéressant. Ainsi, j’ai décidé de postuler à un job  d’assistant dans une entreprise que j’aimais bien.

Un nouveau job comme assistant

Je voulais vraiment travailler dans cette entreprise, dans laquelle, je pensais que même sans études supérieures, je pourrais peut-être progresser.

En effet, si j’assistais quelqu’un de sympa, qui pouvait m’apprendre deux trois choses, et m’aider à, me former, cela me paraissait possible.

Ainsi, très vite, après l’entretien, qui s’était plutôt bien passé, j’avais eu une réponse positive. On me proposait un contrat plutôt sympa, 35h par semaine et 2 000 euros par mois. Je serais un assistant de base et je rangerai des dossiers ou les classerai, quelque chose du genre. J’étais ravi car je pensais que j’avais vraiment de la chance pour un premier vrai travail.

Lors de mon premier jour de travail, j’avais été invité à me rendre  dans un des rares bureaux de l’étage qui n’était pas ouvert, et dont le mur n’était pas en verre. Donc, on ne pouvait pas voir à l’intérieur.

Une femme m’accueillit. Elle était magnifique et bien habillée, trop bien même, ça paraîssait bizarre. Je pensais qu’il devait s’agir  d’une cadre de l’entreprise. Elle devait avoir à peine 25-26 ans.

Première rencontre avec ma Boss

Elle me fit entrer et me dit de m’asseoir. Son bureau était vraiment spacieux et bien décoré, et les fauteuils à son bureau étaient bien confortables.

Elle m’invita à m’assoir puis elle se présenta :

• Bonjour je suis Madame Éloïse Duchet, je suis la patronne de cette entreprise, et donc vous êtes Monsieur Simon Olivier, mon nouvel assistant c’est bien ça ?

• heu…oui..oui c’est cela Madame, je suis enchanté de vous rencontrer et impatient de vous montrer mes compétences…

J’avais du mal à le croire. En fait, j’allais être l’assistant personnel de la boss. Je ne m’attendais pas à ça. Cependant, je comprenais mieux le salaire. De plus, cela tombait bien. Je ne pourrais pas mieux apprendre qu’avec la patronne elle-même. Néanmoins, j’étais quand même étonné par son âge. Certes, ce n’était pas une entreprise énorme, mais quand même légèrement imposante. Je me demandais comment elle avait pu créer tout ça en si peu de temps.

• Très bien, alors je vous explique vos missions. Vous allez ranger et trier tous les dossiers que vous voyez dans ces étagères. De plus, vous lirez et répondrez à mes mails et courriers, et vous organiserez mes rendez-vous. A part ça, je traite des dossiers confidentiels pour l’entreprise. Donc rien ne doit sortir d’ici.  Cela signifie aussi que je ne peux pas laisser n’importe qui entrer. Donc, vous ferez le ménage dans mon bureau avant que j’arrive chaque matin. Ensuite, vous ferez certaines tâches d’assistant, naturellement, comme m’apporter mes cafés et faire certaines courses, enfin des choses de bases.

• Oui bien sur Madame, tout cela me convient parfaitement.

En admiration devant les pieds de ma Boss

J’avais donc commencé ma première journée de travail, en lui apportant un café. Ensuite, j’avais commencé à jeter un œil sur tous les dossiers dans son bureau. J’avais vérifié chaque document, puis j’avais commencé à les trier et à  mettre en évidence les dossiers importants et urgents à traiter.

Durant mon premier jour, je n’avais fait que ça. Pourtant, je n’avais même pas encore pu voir tous les dossiers de ce bureau. Il y en avait vraiment beaucoup. Le jour suivant, je continuais cette tâche, tout en gardant à jour mon classement, et en m’occupant des mails et des rendez-vous.

Je trouvais ça plutôt facile en fait. Il suffisait d’avoir une bonne organisation. Comme j’étais le seul à m’occuper du ménage et du rangement, je pouvais me permettre de choisir comment optimiser la place de chaque chose.

Finalement, les jours passèrent très vite. Mme. Duchet n’était pas toujours là, mais je continuais sans trop de soucis.

Elle me félicita même de mon travail, pour mon organisation etc…

Je dois préciser que j’avais la chance d’avoir un bureau dans un coin de la pièce, poser de telle manière que j’aavais une vue imprenable sur les pieds de Mme. Duchet.

Tellement fier d’être l’assistant de cette femme dominatrice

Je ne suis pas spécialement un fétichiste des pieds. Cependant, pour son âge, elle dégageait une telle sensation de puissance et de confiance en soi, que je me sentais heureux de servir cette magnifique femme dominatrice.

Du coup, je me surprenais parfois à admirer ses magnifiques pieds en nylon dans leurs talons. Ainsi, j’imaginais à quel point, j’aimerais devenir ses talons pour la servir encore plus.

C’était une sensation bizarre, mais j’avais simplement envie de lui rendre la vie le plus facile possible.  C’était comme si elle méritait d’avoir tout ce qu’elle voulait, pendant que moi je travaillais pour elle. Cependant, je ne savais pas très bien ce que je pouvais faire de plus. Cependant, j’étais déjà fièr d’être son assistant. J’avais même pris l’habitude de la remercier chaque soir, de m’avoir donné l’opportunité de la servir.

La première fois, c’était peut-être un peu bizarre. Cependant, j’ai continué et chaque soir ça me paraîssait de plus en plus normal pour moi de la remercier, même quand elle m’envoyait faire des photocopies ou chercher son café.

Un matin, elle arriva avec un tailleur dans un sac. Elle me demanda d’aller le déposer au pressing, pendant ma pause déjeuner. Du coup, je ne mangai ce jour là. De plus, quand je ramenai la note du pressing, elle me dit qu’elle la déduirait de mon salaire.

Premier massage de pieds pour ma supérieure dominatrice

Quelques jours plus tard, un soir, elle enleva ses talons en se plaignant d’avoir mal aux pieds. Je saisis l’opportunité, en lui proposant un massage de pieds.

Elle fût, d’abord, surprise. Ensuite, elle me précisa que je n’étais absolument pas obligé, d’après mon poste, de faire ça.

Cependant, j’insistai en lui disant que ça me ferait plaisir de la soulager, et que je ne pouvais pas rester sans rien faire en la voyant souffrir.

Elle accepta, mais en précisant qu’elle devait finir son travail. Aussi, je devais me mettre sous son bureau, pour faire le massage.

Heureusement, son bureau était grand. J’avais, donc, de la place pour me mettre à genoux et m’occuper d’elle.

L’odeur de ses pieds en nylon était vraiment dérangeante. Mais ça voulait dire qu’elle avait bien travaillé ce jour-là. Aussi, elle méritait clairement un massage des pieds, même si c’était un peu désagréable pour moi.

Je finis, donc, ma journée comme ça. A la fin de son travail, elle me regarda pour me dire que c’était très agréable et qu’elle aimerait faire ça plus souvent.

J’étais aux anges en rentrant chez moi. Je ne le savais pas encore mais ma vie professionnelle était sur le point de changer.

En charge des courses personnelles de ma Boss Dominatrice

Durant la semaine suivante, j’eus la chance de masser les pieds de Mme Duchet quatre fois.

L’odeur était toujours autant insupportable, et, pourtant, je me disais que j’étais chanceux de pouvoir souffrir un peu pour elle. J’avoue que j’avais dû mal à comprendre mon ressenti. C’était mon « entrejambe » dans ces moments là qui commandait et j’avais beaucoup de mal à raisonner.

Un soir, Mme Duchet me donna une liste de courses à faire. Elle me précisa que ce n’était pas pour le bureau mais pour elle même. C’est pourquoi, je devais faire ses courses après mes heures de travail, et les livrer chez elle directement.

J’étais encore une fois vraiment heureux et bien excité.

C’était la première fois que j’allais la servir en dehors de mon contrat de travail, sur mon temps personnel.

A la fin de la journée, je m’empressai d’aller faire les courses. Je glissai la facture dans le sac avant de me rendre chez elle.

Après avoir ouvert la porte, elle m’a, simplement pris le sac des mains. Ensuite, elle m’a fermé la porte au nez après m’avoir dit, « A demain ! » .

Une nouvelle tâche pour me faire pardonner de mon impolitesse

J’étais tellement excité et content. En effet, j’avais eu peur que sa demande soit exceptionnelle et qu’elle avait trop gênée de m’avoir demandé ça.

Mais là, on ne dirait pas, elle avait l’air de trouver ça normal finalement, donc j’aurais peut-être la chance de recommencer.

Le lendemain, j’étais à l’heure au travail bien sur. Dès mon arrivée, Mme Duchet, me convoqua à son bureau.

• Simon, j’avais l’impression que vous appréciez de travailler pour moi…

• euh..et bien…oui bien sûr j’en suis vraiment ravi…je ne comprends pas…

• hier en me livrant mes courses, vous avez laissé la facture ? Quoi vous n’êtes pas assez payé, c’est ça ? Vous voulez me faire comprendre que chaque petite course vous embête ?

• mais…euh..non..pas pas du tout Madame. J’ai…j’ai simplement oublié la facture en fait…J’avais bien entendu l’intention de payer vos courses…Je..je n’avais absolument pas l’intention d’être remboursé.

• je vois…C’était quand même plutôt mal poli je trouve. Cependant, après tout vous avez l’air d’avoir des remord. Alors, je vais vous dire quoi faire pour vous faire pardonner. Vous voulez vous faire pardonner n’est ce pas ?!

• oui..oui bien sur je veux réellement savoir ce que je pourrais faire s’il vous plaît ?

• bien alors pendant votre pause déjeuner, vous irez acheter de quoi nettoyer et polir mes bottes, c’est compris ? Regardez les bien pour savoir ce dont vous aurez besoin.

• je vois, merci infiniment Madame, de me laisser l’occasion de me racheter, et je ferai bien attention de ne plus vous offenser à l’avenir.

• c’est bien, maintenant au travail.

Au service de ma magnifique Boss dominatrice

J’achetai, donc, du matériel pour polir les bottes.

A mon retour au bureau, elle m’ordonna de m’en occuper avec ses bottes aux pieds. J’aurais été plus à l’aise si elle les avaient enlevées.

Cependant, c’était elle, la Boss dominatrice, qui décidait de ce qui était le mieux. Donc, je retournai sous le bureau, j’avais l’habitude à ce niveau là. Je commençai à nettoyer ses bottes, le plus délicatement possible pour ne pas la déranger.

J’y passais toute la fin de la journée.

Quand j’eus enfin fini, elle regarda le résultat en disant que ce n’était pas trop mal pour une première fois. Cependant, j’avais été beaucoup trop long. Aussi, à l’avenir, je devrais apprendre à faire ça bien plus rapidement.

Je remerciai ma Boss dominatrice, bien sûr, avant de rentrer chez moi, vraiment heureux…

J’eus encore l’occasion de masser ses pieds ou de faire briller ses bottes, ou bien encore de faire ses courses de nombreuses fois.

Je pense que, depuis que je suis devenu l’assistant de cette magnifique dominatrice, je suis l’homme le plus chanceux du monde…

A suivre