Je vais vous raconter dans quelle circonstance, j’ai reçu ma première fessée!
Mme Claire Jurin ne travaillait pas avec moi mais participait à mes conseils d’administration. C’était une femme de 35 ans environ , mère de 4 enfants et ainée d’une famille de 10 enfants . Elle était grande , mince et musclée et avait un beau visage lumineux . Elle avait quelque chose qui attirait mon regard lors nos réunions.
Invité chez Mme Claire Jurin
Un matin vers 8h , elle m’appela pour me demander un dossier dans la perspective du prochain CA.
- Plutôt que de le poster , apportez le moi! J’habite à cinq minutes. Je vous offre un café.
Surpris, j’acceptai très content et un peu émoustillé.
Arrivé chez elle, elle m’ouvrit en tenue estivale avec une mini jupe en jean, des tongs et un petit top.
Nous nous installâmes pour boire le café dans son salon. Elle était face à moi et tout en bavardant, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder ses cuisses et le petit bout de culotte qui apparaissait par intermittence.
- Elle te plait ma culotte ! Espèce de petit cochon !
Pris en flagrant délit , je me sentais rougir jusqu’aux oreilles.
Elle se leva et se mit devant moi.
- Petit vicieux, avoue que tu es un vicieux!
Penaud, je baissai la tête .
Elle me donna une bonne gifle. Regarde moi dans les yeux! Nouvelle gifle.
- Qu’est ce que tu faisais ?
- Pardon
– Qu’est ce qu’il mérite les petits pervers, regarde moi!
Je reçus une nouvelle gifle! J’étais, complétement, déstabilisé!
- …. je sais pas…. une sanction?
- Exactement une bonne correction, une bonne fessée, me dit elle en me relevant en me prenant par l’oreille .
Ma toute première fessée en tant qu’adulte!
Quelques secondes après, elle dégrafa mon pantalon qui tomba sur mes chevilles. Ensuite, elle s’assit et m’attira sur ses genoux.
– Je vais t’apprendre à regarder sous les jupes des filles.
Elle commença alors à me fesser énergiquement :
- Aucune honte ,il est devant moi et regarde ma culotte. Maintenant c’est moi qui voit la tienne. Avoue que tu la mérites ta fessée? Clac Clac Clac avoue que tu en as bien besoin …
- oui
- La grosse fessée, on la reçoit comment ?
- ?
- t’as jamais été fessé, enfant ?
- Non
Elle se redressa, me prit par l’oreille et m’entraina vers une autre pièce, une chambre.
- Allonge toi sur le ventre! Donne tes mains!
Très rapidement , elle m’attacha les poignets au lit, m’enleva chaussures , chaussettes , pantalon .
- Une bonne fessée, cela se donne déculotté!
Ensuite, elle descendit mon boxer brutalement, me le le retira. Enfin, elle attacha mes deux chevilles aux barreaux du li .
– Relève tes fesses!
Elle me glissa un oreiller sous le ventre et le fit glisser sous mon bassin ce qui eut pour effet de placer mon pénis entre mes deux cuisses écartées. Je me retrouvais, complètement, exposé d’autant plus qu’elle avait fait plusieurs tours d’une corde au creux de mes reins pour me cambrer davantage.
La fessée reprit, encore plus cuissante, sur mes fesses nues. Elle ne fessait plus à mains nues mais avec sa tong.
Je commençai à avoir très mal, et à gémir,
- SVP Mme Jurin! J’ai compris la leçon … Pardon …
J’émis un premier petit cri . clac clac les coups pleuvaient. Je gémissais à chaque claque.
- cela commence à être bien rouge me dit elle en caressant mes fesses douloureuses.CLAC Clac. Voilà , je sens que ça vient humm!
Une fessée, infligée avec fermeté et détermination!
Je ne pouvais pas m’empêcher de tordre mes fesses d’un coté et de l’autre.
- SVP, arrêtez!
Parfois, je prononçais le prénom de Claire pour l’attendrir mais elle restait sourde à ma détresse et continuait de m’infliger son châtiment avec application et fermeté.
– Allez laisse-toi aller! Abandonne, donne moi ce que je veux!
Les coups continuaient à pleuvoir, la douleur était intenable et intense. Je craquai et je commençai à sangloter.
– Voila ca vient , allez lâche tout..
Mes cris de douleur se mélangaient à mes sanglots. Je pleurais comme un enfant.
- C’est bien , pleure.. Oh le vilain garnement . je vois que tu commences à comprendre.
La fessée s’arrêta alors et elle se plaça dans champ de vision. Elle glissa ses mains sous sa jupe et descendit sa culotte qui tomba sur ses chevilles. Elle la roula en boule et me l’enfonça dans la bouche.
- Il ne faudrait pas que tu ameutes tout le quartier.
Et la fessée reprit.
En larmes, je perdis pied et m’abandonnai.
Complêtement nu et examiné par Mme Claire Jurin!
La fessée s’arrêta, de nouveau. Je l’entendis s’éloigner.
Ensuite, elle me regarda en souriant. Finalement, elle me retira sa culotte de la bouche, me mit un bandeau sur les yeux et s’assit face à moi. Je sentis ses chevilles sur mon dos.
- J’en peux plus, je suis toute mouillée! Fais moi jouir avec ta langue!
Elle poussa mon visage entre ses cuisses.
- Oh oui , c’est bon, suce moi bien le clito, enfonce ta langue ohHH lèche moi un peu le cul Yaouh!
Après quelques minutes, je la sentis se cabrer et jouir sur mon visage. Après, je l’entendis s’assoir et allumer une cigarette.
– J’ai bien vu que tu me matais à chaque réunion. De suite, j’ai su que j’allais baisser ta culotte et rougir ton cul. Tu me regardais pas comme un mec qui veut me prendre mais qui veut se donner. Le coup de la mini-jupe, c’est pas très fair play mais c’est très efficace.
Elle me détacha et me fit placer face à elle. Ensuite, elle me regarda longuement avec attention.
- tourne, fais voir ton cul! Penche toi un peu! Trés mignon! Tourne toi et regarde moi! Mais, elle est toute petite ta kekette! J’en ai jamais vu une si petite, c’est pas une bite d’ homme. Elle est pas plus grande que celle de mon fils Jacques qui a 12 ans. Il faudra qu’on épile tout ça. Cela sera mieux, ça te fera un vrai zizi de petit garçon. Allez viens sur mes genoux!
Sentant ma réticence, elle ajouta,
- T’inquiète pas! La punition est finie. Je vais te mettre un peu de crème apaisante.
Congédié avec interdiction de jouer avec mon petit « robinet »!
Couché sur ses genoux, elle massa longuement mes fesses. C’était doux et agréable. Sa main descendit sur mon périnée et mes testicules.
La prochaine fois, je te claquerai un peu les couilles. C’est douloureux mais très bon. Quand je fessais mes petits fréres, je fouettais toujours leurs petites noisettes. Ils gémissaient fort et se trémoussaient beaucoup mais leur petit kiki devenait tout dur et le petit bout de leur clito se décalottait.
Elle remonta ses mains sur mes fesses qu’elle écarta doucement. Après quelques instants d’observation:
- C’est très très mignon! Cela a l’air tout serré. Tu joues jamais avec ton petit cucu?
- non
- Oh hum, j’ai hate de te prendre le cul et te faire gémir comme une petite pucelle. J’ai un gode lisse et effilé mais avec une bonne longueur, idéal pour ouvrir ton petit trou.
Ensuite, elle écarta franchement mes fesses pour exposer mon anus .
- C’est bon de faire bien écarter le cul , hein , je vois que tu aimes, me dit elle en frôlant mon pénis qui durcissait lentement. Allez il faut que tu retournes au boulot! Va chercher tes habits que je te reculotte!
Je me mis face à elle.
- Mais dis donc tu as les tétons qui pointent. Ouvre ta chemise!
Elle les titilla , les pinça , les tordit!
- sensibles .. j’adore!
Finalement, elle remonta mon caleçon.
- Interdiction de jouer avec ton petit robinet, tu as compris? Ton petit jus est tout pour moi. Si tu n’es pas capable de ne pas te tripoter, je serai obligé de mettre le petit oiseau dans une cage. A la semaine prochaine, file!
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