La soubrette mâle et les jeunes dominatrices (25)

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Suite de : « Les jeunes dominatrices et leur soubrette mâle (24) »

Début de l’humiliation publique dans la rue!

Me voici donc dans la rue, honteusement accoutré de ma tenue de soubrette, robe rose à volants blancs au bas, tablier blanc à froufrous dessus, strictement noué derrière, une coiffe sur la tête, et bien maquillé, sans oublier des talons vernis noirs de 8 cm. Je suis posté comme un poteau au milieu du trottoir avec les mains sur la tête. Les écriteaux, sur ma poitrine  et dans mon dos, me ridiculisent. Je suis sous l’ étroite surveillance de mes Maîtresses qui dominent ( c’est le cas de le dire) la  scène de leur poste d’observation. Elles attendent  d’entendre de ma bouche, la phrase  qu’elles   m’ont condamné à prononcer! Je me lance donc :

  • Je vous demande pardon, Maîtresse Camille ,pour vous avoir désobéi!

J’articulais ces paroles avec peine, comme  une personne à qui on aurait coupé le souffle. Ma voix portait peu, ce qui fit, immédiatement, réagir Maîtresse Camille, postée à son perchoir :

  • Delphine, tu te moques de nous ou quoi? On t’entend à peine! Tu crois que c’est ainsi qu’on formule des excuses après avoir offensé ses Maîtresses? Continue comme ça, et c’est à genoux que je vais te faire mettre. Tu sais ce qui te restes à faire si tu veux éviter ça !

Je compris le message et je dus  surmonter ma répugnance. Ainsi, je décidai de hausser le ton de façon  franche, pour prononcer, la phrase imposée:

  • Je vous demande pardon, Maîtresse Camille, pour vous avoir désobéi!

jeunes dominatrices

Une charmante demoiselle s’arrête pour regarder le spectacle!

J’avais prononcé cette phrase, suffisamment fort, car une jeune fille se retourna et s’arrêta pour assister au spectacle si singulier qui lui était offert. Ainsi, j’avais, même, réussi à l’arracher à son smartphone!

D’abord, je vis de la stupeur sur son visage, mais cela ne dura pas longtemps. En effet, elle éclata de rire!  Ce rire impitoyable martyrisa mes tympans. J’étais tétanisé, alors que les Maîtresses à l’étage n’en perdaient pas une miette.

Après  s’être  esclaffée, le réflexe repris le dessus. Elle se sentit autorisée à prendre un cliché, avec son portable, comme on prend en photographie, un objet ou un paysage, et flash !

J’étais mortifié au possible, mais que pouvais-je dire? Il m’était formellement interdit de me révolter à ce stade. Je voulais, au moins, me retenir de fondre en larmes, sous le coup de cette  forme de viol moral. En effet, j’espérais, encore, garder un peu de dignité.

Mais ça n’était pas suffisant pour mes jeunes dominatrices. En effet, elles entendaient tirer le maximum de la situation en cours. Ainsi, Maîtresse Camille en tête, cria :

  • Delphine, tu pourrais être plus aimable avec cette charmante demoiselle, qui semble beaucoup apprécier ton spectacle! Alors, je t’en prie, tu vas  lui  faire un joli sourire et lui demander bien respectueusement de faire une nouvelle photographie.

 

Nouvelle complice de mes jeunes dominatrices!

Naturellement, la jeune photographe leva la tête en direction de la voix. Elle comprit aussitôt ce dont il s’agissait en voyant les quatre jeunes dominatrices alignées dans l’encadrement de la fenêtre,  les instigatrices de cet improbable spectacle!

Elle leur sourit.  Ce sourire complice me fit comprendre que ma honte n’avait fait que commencer! Ainsi, elle prit de nouveau son téléphone. Je compris que je devais,  prendre sur moi-même, et afficher un sourire acceptable pour les spectatrices. Ensuite, je me mis à bafouiller, piteusement :

  • Vous voulez bien Mademoiselle me faire le plaisir de me prendre en photo ?

Celle-ci n’eut aucune difficulté pour entrer dans le jeu! Avec mon nom  de soubrette bien  en évidence, elle me répondit  d’un ton enjoué :

  • Mais bien sûr Delphine !

Et nouveau clic! La jeune fille semblait, visiblement, très satisfaite de ce moment si  inattendu, mais jouissif .

Malheureusement pour moi, elle ne se contenta pas d’en rester là! Poussée par la curiosité, somme toute naturelle, provoquée par l’étonnement, elle me demanda :

  • Dis-moi, Delphine, que fais-tu ici, au milieu de la rue ?

C’était vicieux, de sa part. En effet, elle avait entendu cette phrase qui expliquait ma présence dans cette improbable posture. Je ne voyais qu’une seule raison à cette question! Elle voulait prolonger mon supplice! Maîtresse Jessica en profita pour me rappeler à l’ordre et cria :

  • Eh bien, Delphine ! Et la révérence pour cette demoiselle qui te complimente ?

 

Obligé de faire la révérence devant la jeune inconnue!

Accablé, j’obtempérais une nouvelle fois! Je fis la révérence tant bien que mal.

Cela  enchanta la jeune femme, qui me dévisagea  de façon narquoise,  pour bien montrer qu’elle m’avait mis à ma juste place .

Je n’avais pas répondu pour autant à sa question, car en fait, ce n’était pas vraiment une question!

Ensuite, ce que je redoutais se produisit! Mon interlocutrice me scruta de bas en haut, et découvrit les moindres détails de ma tenue. Elle se délectait! Finalement, elle reprit un cliché de la pancarte qui déclinait mon identité, et finit par découvrir l’autre pancarte accrochée au dos !

Le désastre!

Des gloussements stridents s ‘échappèrent de sa bouche, ponctués de «  Oh! «  « Oh ! »

La marque infamante avait bien produit l’effet escompté. J’allais donc affronter une nouvelle salve de questions bien embarrassantes.

Affectant un retour au sérieux, la demoiselle  se fendit d’un :

  • Tu es PUNIE Delphine !

 Elle parlait assez fort pour que les jeunes dominatrices puissent suivre l’échange sans difficulté.

 

…qui prend en photo la pancarte infamante!

Ensuite, elle prit en photographie cette pancarte infamante!

  • Alors dis-moi un peu Delphine, qu’as tu fait pour être punie?

Je préférais répondre au plus vite. En effet, je ne voulais pas subir une nouvelle intervention des jeunes dominatrices, avec toutes les conséquences désagréables possibles. Donc, je me fis violence, pour  avouer, en essayant d’étouffer ma honte :

  • J’ai été puni parce que j’ai désobéi à mes Maîtresses!

Elle m’adressa, alors, ce commentaire, avec un ton sévère, sûrement, pour  rester dans l‘esprit de la scène :

  • eh bien, c’est du joli ça, Delphine ! Tu désobéis donc à tes Maîtresses?  Et je peux savoir ce que tu as fait pour oser désobéir à tes Maîtresses?

Impossible de s’échapper de ce piège, c’est, donc, résigné que je confessais :

  • Je n’ai pas montré assez d’enthousiasme quand mes Maîtresses m’ont  donné l’ordre,  de sortir avec ma tenue de service. En fait, j’aurais dû les remercier  au contraire, de me  permettre d’exhiber cette tenue en public ,qu’elles avaient choisie avec soin pour me mettre en valeur .

 

  • Ah oui, en effet, c’est tout à fait justifié ça, Delphine ! Tu ne dois pas avoir honte d’être au service  de demoiselles qui font tant d’efforts pour te prendre en main! Tu devrais en être fier!

Elle avait de plus en plus de mal à garder son sérieux. Son discours était ponctué de petits ricanements, qui ne faisaient que me blesser davantage.

 

Après beaucoup de questions, elle se présente!

Elle avait tellement pris goût à ce sketch si imprévisible qu’elle semblait partie pour jouer les prolongations. Tout à coup, d’une voix assurée, comme  en terrain conquis, elle demanda:

  •  Je peux appeler mes copines?  

Maitresse Camille acquiesça, instantanément de la tête. La jeune fille s’éloigna de moi pour téléphoner. Ainsi, je ne pus entendre ce qu’elle disait au téléphone. Je devais rester immobile.

Intérieurement, je bouillais. Je faillis, même, hurler « oh, non, pitié « !

Maîtresse Anaïs, jusque là  discrète, m’ordonna, de me présenter convenablement devant  leur partenaire de jeu du moment, en attendant de l’arrivée de ses amies.

La jeune fille se présenta :

  • Je m’appelle  Marie-Sophie. Enchantée de faire ta connaissance, Delphine, et présente- toi correctement devant moi,  je te prie !

Je commençais à me demander si elle ne commençait pas à prendre son rôle sérieusement. Aussi, je me demandais jusqu’où allait se poursuivre cette mauvaise  plaisanterie.

Tout naturellement, mes Maîtresses à leur tour, déclinèrent leur identité, même si cela était écrit sur la pancarte. C’était une façon de l’intégrer dans le groupe.

La punition dépasse toutes les espérances de mes jeunes dominatrices!

Il fallut donc, que je confie  à cette étrangère qui venait de faire intrusion dans ma vie, mon cheminement vers mon statut si singulier. Tout, cela sous la surveillance constante de mes jeunes dominatrices.

Je ne pus donc éviter de parler des humiliations précédentes, des différents rôles occupés par chacune de mes Maîtresses. Ainsi, je soulignai leur savoir-faire en commun pour faire de moi  une soubrette exemplaire sous tous ses aspects.

Enhardie, très à l’aise, Mademoiselle Marie-Sophie, me demanda encore plus de détails. J’avais de plus en plus honte.

Ainsi, j’avouai que j’avais reçu des châtiments corporels de toute nature, de la fessée à la redoutable cravache de Maîtresse Anaïs .

Elle me dit alors :

  • Si, j’ai, donc bien, compris, tu es en cours d’éducation, une éducation à l’anglaise pour être précise! Que pour ton plus grand bien, tu as  quatre jeunes dominatrices qui prennent soin de toi, alors que tu as tout à apprendre ! C’est  vraiment beau ! Tu en as de la chance, n’est-ce -pas ?

Vous imaginez  quelle pouvait être  ma réponse  !

Mes Maîtresses étaient  émerveillées de constater à quel point cette punition dépassait toutes leurs espérances. Sentant l’énorme complicité dont faisait preuve Mademoiselle Marie-Sophie, elles décidèrent de la tester davantage. Ainsi, Maîtresse Nadia, ma directrice des études, celle qui m’avait donné la punition écrite, dit:

  • Sache Marie-Sophie que j’ai infligé une punition de 500 lignes à Delphine! Est-ce que ça te dirait qu’avant qu’elle me la remette, qu’elle te la présente et que tu la signes ensuite, si tu estimes qu’elle est bien rédigée? Et moi, je ne considèrerai la punition exécutée que si tu la signes.

 

Participation de Marie-Sophie à mon humiliation publique!

Hélas, pour moi, Mademoiselle Marie-Sophie, accepta, immédiatement :

  • Avec plaisir Nadia, mais, il faut que Delphine sache que je suis très exigeante et maniaque pour l’écriture. Je ne signerai que si je suis totalement satisfaite de son travail. Si une ligne est mal écrite, je la fais refaire dix fois !

Enfin, Mademoiselle Marie-Sophie formula une requête, en échange du « service » rendu à mes Maîtresses :

  • Nadia, j’ai une montagne de repassage à faire tout le week-end et ça m’ennuie profondément! Pourrais-tu me confier Delphine pour qu’elle s’occupe de cette corvée? Je te préviens, il y en a pour des heures entières !

 

  • C’est parfait, Marie-Sophie, tu as carte blanche, elle est à toi pour tout le week-end s’il le faut !, fut la réponse enjouée de Maîtresse Nadia .

Ensuite, elle s’adressa à moi, sèchement:

  • Tu as compris, Delphine ? Tu devras obéir à Mademoiselle Marie-Sophie  aussi bien qu’à nous-mêmes!

Je me dépechai de formuler mes remerciements auprès de Mademoiselle Marie-Sophie.

J’étais songeur  devant  la tournure des derniers évènements, lorsque j’entendis derrière moi, plusieurs voix  féminines :

  • alors, c’est elle, la soubrette punie ?

Je compris, aussitôt, qu’il s’agissait des amies de Mademoiselle Marie-Sophie, qui venaient de lire ma pancarte et que j’allais continuer à passer un sale quart d’heure en leur compagnie !

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