Le document stipulait que mes jeunes dominatrices avaient reconnu à Mademoiselle Sybille le droit de compléter mon éducation en tant que Maîtresse à part entière, avec tous les pouvoirs attachés, en coordination avec elles, vu la maîtrise qu’elle avait montrée lors de sa spectaculaire prise en main punitive.
Ainsi, je méditais sur cette nouvelle étape dans mon parcours qui me propulsait vers une nouvelle vie dans laquelle mon sort semblait scellé irrémédiablement, sans que j’ en accepte totalement les clauses!
Les talents cachés de Mademoiselle Sybille!
Les amies de Mademoiselle Sybille étaient sidérées par ses talents cachés.
- Mais, dis Sybille, tu nous as complètement bluffées !
- Tu donnes l’impression d’avoir dominé des mecs toute ta vie. Tu ne peux pas avoir improvisé ça aujourd’hui quand même, s’écria Mademoiselle Marie-Sophie !
Une autre jeune fille renchérit:
- C’est vrai, mais quand même, j’ai bien vu parfois que tu savais te montrer autoritaire. Je me rappelle un jour. Tu n’étais pas là Marie-Sophie. Ainsi, tu as sérieusement malmené un gars qui t’avait bousculé sans le faire exprès apparemment. Tu lui a pris le bras puis tu l’as fixé méchamment. Spontanément, il s’est senti obligé de bredouiller des excuses pitoyablement. Tu lui as maintenu le bras solidement et tu lui as dit « suis-je tenue de les accepter tes excuses minables? Du coup, il a dû s’excuser de façon plus explicite comme s’il craignait une représaille douloureuse. Je t’ai vue triomphante, le foudroyer de ton regard. Ensuite, tu lui as dit de baisser les yeux devant toi et, que cela ne devait plus se produire de nouveau. J’étais stupéfaite et, secrètement, je t’ai admirée.
Pendant ce temps, je restais figé. En effet, je n’osais pas bouger, avant d’avoir reçu la moindre instruction de la part de ma nouvelle Maîtresse. Je la redoutais encore plus que les jeunes dominatrices qui avaient tracé ma voie.
Départ de mes jeunes dominatrices!
Maîtresse Sybille dit alors :
- Les filles, c’est le moment de mettre des choses au point, vue la situation. J’ai des révélations importantes à vous faire, ainsi que des propositions, dont vous me direz ce qu’elles vous inspirent. Mais pas ici!
Elle leur montra le trousseau de clés de mon appartement, avec le dispositif pour actionner l’ouverture de la porte de l’immeuble. Mes jeunes dominatrices avaient dû lui transmettre les clés de mon appartement. Elle devinait, ainsi, gardienne des clés. Il s’agissait, pour ainsi dire, d’un transfert de propriété.
- Suivez- moi, dit-elle, en agitant cette sorte de trophée ostensiblement à ma barbe. Quant à toi, tu vas fermer la marche en faisant le parcours à genoux, mains au dos, y compris pour la montée des escaliers!
Le ton était sans réplique. Heureusement que j’habitais au premier étage d’un immeuble qui en avait trois.
Je n’avais pas remarqué que mes jeunes dominatrices ne se tenaient plus dans l’encadrement de la fenêtre. Aussi, je fus surpris de les voir faire irruption, dès l’ouverture de la porte, s’apprêtant à sortir.
Cependant, je le fus encore davantage quand elles me saluèrent de façon énigmatique. Chacune d’entre elles avait une main posée sur les lèvres, en guise de petit bisous. Maîtresse Jessica prononça ces paroles uniques :
- Voila, Delphine, tu peux être rassurée! Tu es dans de bonnes mains, désormais ,
Elles s’éclipsèrent comme si elles n’avaient jamais existé.
Transmission de propriété effectuée!
Décidément, j’allais de rebondissements en rebondissements. J’avais vécu beaucoup de péripéties en très peu de temps. Il y avait de quoi chavirer.
Visiblement, il y avait comme une sorte de transmission de pouvoir. Je trouvais cette nouvelle situation très inquiétante. En effet, je ne savais pas ce que l’avenir me réservait avec Maîtresse Sybille!
- Alors tu rêves, Delphine?
Ma Maîtresse, d’une voix tranchante et glaciale, me rappela à l’ordre. Je pense qu’elle trouvait mon ascension des marches de l’immeuble, trop lente!
- delphine, tu as de la chance que je sois de bonne humeur aujourd’hui! En effet, quand je donne un ordre, il doit être exécuté avec célérité. Je n’admets ni hésitations, tergiversations , et imperfections. En temps ordinaire, tu serais punie pour moins que ça. Cependant, pas d’impatience, je vais commencer par savourer ma prise de possession!
Les trois jeunes dominatrices s’installèrent ainsi sur mon sofa. Maîtresse Sybille, trônant au milieu du groupe, siffla :
- delphine, à genoux, mains sur la tête, au coin, nez contre le mur! Pas un mouvement, ou gare à toi. Non, plutôt mains au dos, car on va t’aider! En effet, on va te mettre deux livres sur la tête. S’ils tombent, tu en subiras les conséquences.
Les partenaires de ma Maîtresse étaient muettes. Ces jeunes dominatrices semblaient toujours dans un état de sidération et semblaient attendre d’en savoir plus sur les révélations que leur amie leur avait promises. En fait, elles acceptaient, naturellement, son rôle de leader.
Début des révélations de ma nouvelle Maîtresse
Maîtresse Sybille prit la parole .
- Les filles, il vient de se produire quelque chose de très important qui me concerne au premier chef, mais dont j’aimerais que vous soyez partenaires. Pour ça, il faut m’écouter jusqu’au bout. Vous pourrez ensuite me répondre en connaissance de cause.
Elle fit une courte pause, comme pour laisser place à une éventuelle réaction, puis reprit :
- Tout d’abord, c’est vrai que j’ai plutôt caché mon jeu, même avec vous. Vous avez bien remarqué que j’avais un fort caractère. Cependant, je ne l’ai jamais accentué au point de vous présenter la vraie facette de ma personnalité. En fait, e suis une dominatrice née! Dès l’école primaire, j’avais cette capacité à m’exprimer en ce sens. Ainsi, je repérais les garçons timides, impressionnables et j’en faisais de petits esclaves, comme on peut le faire à cet âge, de façon très soft, mais pourtant réelle. Je leur faisais porter mes cartables, parfois lourds volontairement. De plus, je leur faisais des remarques propres à les humilier gentiment, testant leur répondant. En fait, je ne me trompais jamais. J’avais cette intuition sans faille qui me faisait toujours viser juste.
Nouvelle pause de la part de Sybille! Dans un silence assourdissant, elle continua son récit:
- Je ne pouvais que continuer avec l’âge et la maturité grandissante, surtout que les garçons sont tellement immatures! Une étape fut franchie au collège, où j’avais perçu une cible de choix en la personne d’un gars facilement vulnérable. La prof demanda qu’on forme des binômes pour faire un exposé. Je le choisis autoritairement et lui donna rendez-vous chez moi le soir même. Il ne vint pas. J’étais furieuse. Le lendemain, je l’ai pris en face à face sans ménagement, pour le mettre mal à l’aise et le tester. Quand je vis que je faisais mouche, je poussais l’avantage en osant- pour la première fois- infliger une punition ,en lui faisant copier 100 fois : « je ne dois pas manquer de respects aux demoiselles en ne répondant pas à leurs convocations » et à faire pour le lendemain matin bien écrit ,à l’encre de chine. Oui, j’avais osé et ça avait marché: il s’était exécuté !
« Coming out » de Sybille, en tant que vraie dominatrice!
Sybille s’arrêta de nouveau, comme si elle voulait ménager le suspense!
- Pourquoi? C’est toute la problématique de celui qui accepte la soumission mais c’est jouissif pour celle qui a les cartes en mains, car ça donne confiance, et permet de repousser toujours plus les limites. Cette capacité à humilier donc, je l’ai développée naturellement; au lycée je suis même allée plus loin. J’ai eu un véritable sujet à ma disposition. J’étais devenue une vraie Maîtresse, poussant le vice, à le punir, quand il avait de mauvaises notes. Ainsi, je le privais de récréation, et l’obligeait à rester aux toilettes! Il était, également, privé de dessert à la cantine. Un jour, je tentais un coup fumant. Je lui fis le reproche d’avoir une tenue négligée, et je lui donnais l’ordre désormais de porter une blouse, comme on faisait avant pour protéger ses vêtements. Il me répondit qu’on le prendrait pour un fou, comment pourrait-il le justifier ? Je lui dis qu’il n’avait qu’à se débrouiller que c’était un ordre, et que s’il n’obéissait pas, il serait puni beaucoup plus sévèrement ( il m’avait écrit qu’il m’était soumis et il avait peur que je le fasse savoir).
- Quand je le vis arriver avec une belle blouse bleue, j’avais du mal à cacher ma jubilation. L’étonnement des autres de la classe était perceptible, mais personne ne broncha, se contentant de petits sourires ironiques assez expressifs . Lorsqu’une fille, une copine sollicitée par moi, se permit de lui demander, pourquoi il s’était mis à porter une blouse, il fit l’effort de répondre que ses parents l’exigeaient ! Oui, en fait, c’était MOI qui l’exigeait ! Et je le menaçais même, s’il n’était pas assez obéissant, de lui faire porter carrément une blouse rose de fille.
Mon Contrat de Propriété, cédé par mes jeunes dominatrices à Mademoiselle Sybille
Elle continua son récit toujours imperturbable.
- Je ne vais pas tout vous raconter bien sûr. Cependant, maintenant que je suis étudiante, je suis encore plus expérimentée. Dès que je peux, je m’emploie à dominer des mecs, d’autant qu’il y en a beaucoup plus que ce qu’on pourrait croire. Cette domination, je l’exerce évidemment sur le plan sexuel comme sur le cérébral. J’ai quelques accessoires chez moi et je suis devenue un fesseuse aguerrie. Cependant, je vais vous en dire plus à ce sujet tout à l’heure. Donc c’est vrai, je vous ai caché tout ça, En effet, on ne se confie pas aussi facilement sur ces sujets sans prendre de précautions préalables. Maintenant, vu ce qui vient de se révéler aujourd’hui dont vous avez été non seulement témoin, mais témoin plutôt jouissif lorsque j’ai exercé mes talents, l’occasion était à point nommée.
- Je vais donc vous expliquer ce qui s’est passé lors de mon dialogue avec les quatre demoiselles éducatrices de delphine, vous allez tout comprendre.
(Et moi aussi du même coup, pensais-je!)
- Sachez donc, mes chères amies, que suis devenue PROPRIETAIRE de delphine par le document qu’elle a signé ici même, avec tout ce que ce mot comporte. C’est extrêmement sérieux ,d’autant plus que delphine avait dans un premier temps signé un contrat de soumission à ces jeunes dominatrices d’une durée minimale de cinq ans ! Ce contrat est désormais mien et il a été ajouté, que je serai la seule pour décider de rompre cette clause. Autrement dit, delphine m’appartient à vie, si j’en décide ainsi.
Pause dans le récit de Mademoiselle Sybille pour ma punition!
Alors élevant la voix à dessein:
- tu as entendu delphine?
- oui,Maîtresse Sybille
J’étais tétanisé. Un tremblement incontrôlable fit chuter les livres que j’avais réussi à tenir sur mon crâne, au moment où ma voix prononçait la réplique convenue de rigueur:
Alors, celle-ci en ricanant méchamment dit :
- ça se produit au bon moment ! Ainsi, je vais pouvoir te punir et faire une pause dans mon récit, tout en montrant à mes copines mes dispositions pour administrer une bonne fessée punitive .
Il semblait que la première partie de l’exposé de Maîtresse Sybille avait fait naître une certaines excitations chez ses voisines, celle qui était restée la plus réservée jusqu’à présent y compris, dont j’ignorais le nom par ailleurs.
J’en eus la confirmation quand, à la suite de l’annonce de la punition, d’un ton assuré, elle déclara:
- Hum, Sybille, est-ce qu’on pourrait participer également à la punition?
Participation des amies de Sybille à l’administration de ma punition!
C’est une Sybille, enjouée qui répliqua:
- Avec joie mes chéries, c’est justement de bonne augure par rapport à ce que je voulais vous proposer. Si vous voulez faire votre baptème de fesseuse, c’est le bon moment .
Mademoiselle Marie-Sophie, jetant un coup d’oeil interrogateur sur son amie, puis approbateur enchérit :
- bravo! alors tu te lances donc Chloe ? A la bonne heure !
Ainsi Maîtresse Sybille, prenant acte d’un ton un peu solennel:
- Chloe, tu peux ouvrir le bal, ne te retiens surtout pas! Il faut que delphine sache immédiatement à qui elle a affaire.
Et celle, qui m’avait parue un peu effacée, dont je pouvais espérer un peu de mansuétude, toute à son nouveau rôle, ordonna sans faiblesse :
- delphine, ici de suite! sur mes genoux !
Sans la moindre transition un premier coup s’abattit sur mon fessier déjà endolori, d’une telle intensité que je ne pus réprimer un cri strident.
Chloe, contrariée, me signifia l’inutilité de jouer les chochottes et perfidement questionna:
- puis-je continuer mes chéries?
Au second coup, je compris que j’allais de nouveau passer un fort mauvais moment !
A suivre
Delphine a beaucoup de chance. J’ai 51 ans et j’aimerai tant vivre une telle situation. Vous pouvez me contacter à tout moment. A très bientôt. J’espère. Respectueusement. Phil
Bonjour superbe histoire. Vivement la suite. J’aimerais être à sa place. Phil