Virginie, dominatrice sévère? : Les retrouvailles (5)

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Virginie, dominatrice sévère : Les retrouvailles (4)

La cage de chasteté!

Après avoir correctement nettoyé et ciré les bottes de Virginie, Alain s’occupa de faire le ménage tandis que Virginie se préparait dans la salle de bain. Quand il eut fini, il se mit à genoux en attendant le retour de sa Maîtresse dominatrice.

Elle réapparut une heure plus tard et s’installa sur le canapé après avoir pris la cage de chasteté dans le sac.

  • Bien, dit-elle. Tu vas rentrer chez toi. Je ne te veux pas dans mes pattes ce soir. Cela te donnera le temps de méditer sur le fait d’assumer ton état de larve pour le reste de ta vie. Bien sûr tu dois répondre immédiatement quand je t’appelle et venir quand je te l’ordonne. Et enfin, il est hors de question que tu puisses te masturber sans mon autorisation. C’est moi qui contrôle tout de ta vie dorénavant.

 

  • Oui Maître, dit Alain.
  • Lève toi et approche dit-elle.

dominatrice

 

Il se leva et se présenta devant elle, son sexe en avant. Sa Maîtresse dominatrice installa la cage de chasteté et mit la clé dans sa poche.

  • Voilà, dit-elle. Comme ça aucun risque de céder à la tentation de me désobéir. Tu n’es pas encore bien dressé. Plus tard je sais que même loin, tu ne pourras faire autrement que de m’obéir, car c’est ce que tu es. Un être fait pour m’obéir. Il faut juste que je le fasse sortir de toi totalement.

 

  • Oui Maître.

 

  • Tu peux te rhabiller et partir, dit-elle.

Alain alla vers ses vêtements puis se retourna vers Virginie.

  • Puis-je retirer le gode Maître ? demanda-t-il

 

Giflé par sa Maîtresse dominatrice

Virginie se leva et s’approcha d’Alain pour le gifler. Puis elle empoigna ses boules dans sa main et serra. Alain se mit à se recroqueviller en gémissant.

  • Pardon Maître, implora-t-il. Pitié.

 

  • Tu oses réclamer quelque chose ? dit-elle en serrant sa main.

 

  • Je suis désolé Maître, dit Alain.

 

  • J’ai du travail pour faire de toi ma parfaite larve, dit-elle. Je vais te prendre en main sérieusement.

 

  • Oui Maître.

Elle relâcha ses boules, Alain tomba à genoux.

  • Tu pars avec le gode dans ton cul. Tu pourras le retirer en arrivant chez toi.

 

  • Bien Maître, dit Alain. Merci Maître.

 

  • D’ailleurs tu vas l’enfoncer jusqu’au bout, dit-elle. Assieds toi dessus.

 

Alain obéit et poussa pour enfoncer le gode.il le sentait maintenant bien profondément en lui.

  • Parfait, dit-elle. Maintenant tu peux y aller.

Alain se rhabilla péniblement. Virginie se tenait fièrement devant lui tandis qu’il baissait les yeux.

  • Que dois-tu faire avant de quitter ton Maître ? demanda-t-elle

Alain réfléchit un moment puis se prosterna devant elle, embrassant le sol devant ses pieds.

  • Je suis à vous Maître, dit-il.

 

  • C’est bien, dit Virginie en souriant. Ta nature reprend le dessus. Tu peux y aller.

Alain sortit de chez Virginie et se dirigea chez lui. Il avait du mal à marcher du fait du gode mais aussi des douleurs et de la fatigue. La cage de chasteté le démangeait.
Les réflexions se bousculaient dans sa tête. Est-ce que c’était cela qu’il voulait ?

Il était partagé entre l’excitation, son désir de soumission à une femme dominatrice et la peur de perdre sa vie, son libre arbitre. Il se sentait confus. Pouvait-il fuir ? En aurait-il le désir ou la force ?

Enfin, de retour chez lui, seul!

En arrivant chez lui il n’avait toujours pas de réponse mais des questions supplémentaires. Il retira avec un énorme soulagement le gode de son anus et décida d’aller se coucher car sa fatigue était grande.

  • Je verrai demain, se dit-il.

Puis il s’endormit.

Le lendemain matin, après une longue nuit de sommeil, Alain se réveilla et son premier réflexe fut de vérifier son téléphone. Il n’avait aucun message de Virginie. Il était à la fois soulagé et surpris, presque déçu.

Néanmoins la cage de chasteté ne manqua pas de se rappeler sa présence et Alain dut apprendre à gérer certains actes du quotidien avec cette cage qui le dérangeait. Il arriva tant bien que mal à gérer. Après avoir terminé sa toilette et son petit déjeuner, il commença à tourner en rond dans son appartement. C’était dimanche, pas grand chose à faire si ce n’était attendre des nouvelles de Virginie tout en se demandant s’il voulait continuer cette relation avec cette dominatrice. En fait, il se posaient milles questions.

Que pouvait-elle bien faire en ce moment ? Est ce je dois la contacter ou attendre qu’elle le fasse ? Suis-je amoureux d’elle, cette femme dominatrice ? Comment je vais gérer le boulot avec cette cage de chasteté si je ne la vois pas aujourd’hui ? Je n’ai pas la clé …
il aurait aimé pouvoir parler de tout ça à quelqu’un. Mais à qui ?

Il n’avait jamais parlé de ses fantasmes à personne, même pas ses plus proches amis. Il avait peur de parler d’un tel sujet, de passer pour un fou ou qu’on se moque de lui.

Pas de nouvelle de sa Maîtresse Dominatrice

Deux heures plus tard. Toujours pas de nouvelle. Alain regardait son téléphone et vérifiait tout, les appels, les sms, les mails. Rien. et impossible d’oublier la cage de chasteté, impossible de se masturber en repensant à tout ce qui s’était passé.

Du coup il n’arrêtait pas d’y penser. Il aurait voulu relâcher cette tension et passer à autre chose, se masturber et se poser pour réfléchir, faire un tour dehors, n’importe quoi. Mais il n’y arrivait pas. Il ne pouvait qu’attendre, tourner en rond, penser à cette excitation et cette contrainte et regarder son téléphone.

Il se décida à aller sur internet pour trouver un moyen de retirer la cage de chasteté sans la clé. Le résultat de sa recherche ne le rassura pas car le cadenas de sa cage était en métal et à moins d’avoir une paire de tenailles, avec le risque que cela comportait dans l’opération, il ne voyait pas comment se débarrasser de cette cage. Il restait l’option du serrurier de confiance qui accepterait un tel travail. Peut être une serrurière plutôt…

– Ca se dit ça « serrurière » ? se demanda-t-il

Il décida de vérifier sur internet puisqu’il était devant son ordinateur.

– Ah oui constata-t-il étonné.

Le temps passait et toujours rien. Il se décida à envoyer un sms à Virginie. Le temps de trouver quoi dire consomma une heure supplémentaire de la journée. Finalement, après un débat interne enflammé, il se lança.
« Bonjour Maître. Comment allez-vous ? »
Une traduction du « salut, ça va ? » en version D/s. Une balle lancée avec espoir de retour quand on ne sait pas quoi dire.
Puis l’attente à nouveau. Dix minutes, vingt minutes, une heure et rien. Pas de réponse.

 

Obligé d’aller au travail avec la cage de chasteté!

A mesure que la journée défilait et sans nouvelle de Virginie, Alain commençait à angoisser sérieusement. Il essaya un de ses costumes pour voir si on pouvait distinguer la cage de chasteté sous le pantalon. Ensuite, il se regarda dans le miroir dans différentes positions et se demanda si les autres allaient remarquer. Il prit le temps de vérifier son téléphone toutes les cinq minutes pour constater qu’il n’avait aucun message.

Il se décida à se coucher vers 1h du matin après plusieurs tentatives pour dissimuler la cage de chasteté. Mais il était nerveux et tendu et donc il lui était impossible de dormir.

– Quelle journée de merde, se dit-il.

Le réveil du lendemain matin fut très difficile. Alain finit pas s’endormir mais à peine une heure avant la sonnerie de son réveil. La cage de chasteté était de plus en plus gênante et c’est sans enthousiasme qu’il se prépara pour aller au travail. Il choisit de mettre un manteau long pour être sûr que personne ne remarque rien dans la rue.

Au travail, Alain était tendu malgré la fatigue. Il avait l’impression que tout le monde le regardait, surtout les femmes. De plus, il allait régulièrement aux toilettes pour essayer de ranger son sexe encagé dans son caleçon de manière à ce que cela ne se remarque pas. Il en oubliait totalement son travail et c’est dans les toilettes, le pantalon baissé qu’il se rappela qu’il avait une réunion qui démarrait. Il se dépêcha de remettre son pantalon et se précipita hors des toilettes, bousculant une des ses collègues, Nathalie, qui en fut très surprise.

 

Une semaine entière sans nouvelle de sa Maîtresse dominatrice!

Alain était rouge de honte et s’excusa tout en se demandant si durant le contact, Nathalie avait senti sa cage. Nathalie lui sourit.

  • Je suis désolé dit Alain, je suis en retard pour ma réunion.

 

  • Ce n’est rien, dit Nathalie qui reprit son chemin.

Il la regarda partir et se rendit compte qu’il n’avait jamais vraiment prêté attention à elle. Sa démarche était sensuelle et féminine. Puis il se rappela de sa réunion et se remit à courir dans les couloirs. Il se fit remarquer en entrant dans la salle de réunion plaine, baissa les yeux en s’excusant et prit rapidement une place de libre.

Durant la réunion, il ne cessait de vérifier son téléphone dans l’espoir d’avoir des nouvelles de Virginie. La réunion s’éternisait et Alain n’avait qu’un seul désir, que la journée se termine.

Il rentra tard chez lui et se sentait épuisé. De plus, il n’avait toujours aucune nouvelle de Virginie et cela commençait à le préoccuper. Il se dit qu’il l’appellerait demain dans la journée.

 

La semaine fut à l’image de cette première journée, longue, sans nouvelle de Virginie qui ne répondait pas quand Alain appelait, fatigante. La cage de chasteté était de plus en plus pénible à supporter et le fait de ne plus pouvoir se masturber provoquait un manque et une grande frustration.

 

 

A suivre

 

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