Je me prénomme Stéphane. Aujourd’hui, hélas, je suis célibataire mais il y a quelques années, j’étais en couple avec ma compagne de l’époque Julie. Elle avait 28ans à l’époque et moi 42 ans. Nous étions un couple avec une sexualité plutôt classique, voir très routinière. Julie était une femme pulpeuse mais bien proportionnée, avec une belle et grosse poitrine. Elle avait une coupe de cheveux à la « pulp fiction », un carré si vous voyez ce que je veux dire. Julie mesurait 1m72 et moi, 1m70, 65kg. On ne peut pas dire qu’elle était pas vraiment, portée sur le sexe. Elle était, plutôt soumise soft, moi plutôt switch. Cependant, je dois l’avouer, j’étais plutôt soumis dans ma tête même si j’assumais mon rôle d’homme dominant pour la satisfaire. Chanceux de ce côté là car si Julie n’était pas une dingue de sexe, elle adorait particulièrement la sodomie (sans lubrifiant). Je ne me faisais donc pas prier quand elle était en demande!
Accord de ma compagne pour que j’achète de la lingerie féminine pour moi!
Petit à petit, je lui avais fait comprendre, que j’aimais bien me sentir soumis soft, et que j’aurais aimé qu’elle me domine de temps en temps. Ainsi, j’avais, même, un martinet, mais non…ce n’était pas son truc, ni donner ni recevoir. Pourtant un jour, alors que nous venions de faire l’amour, en se rhabillant, elle mit comme ça devant mes attributs sa culotte noir en dentelle et me lança direct, sans que je m’y attende un :
- tu serais mignonne comme ça!!!
Elle m’avait tendu la perche! Je n’en demandais pas tant et je sautai sur l’occasion! Ainsi, je lui répondis :
- tu es sérieuse?
Elle me dit:
- chiche…
Quelques jours plus tard, je lui demandai, de nouveau, si ce qu’elle m’avait dit concernant la lingerie tenait toujours ? Elle me dit que oui ! Je lui répondis :
- D’accord mais je m’en achète et je te ferais la surprise de mon achat le jour venu.
Elle était d’accord.
Plusieurs semaines plus tard, en rentrant du travail, elle arriva après moi.
Je luis dis:
- Tu sais la lingerie? ça y est!
Elle me demanda de lui montrer, mais je lui dis alors:
- Tu ne préfères pas que je te la montre directement sur moi ?
Elle me répondit:
- oui, se sera la surprise!
Je pense qu’elle croyait que j’avais juste acheté une culotte…
Première séance de soumission
Très excité, je voulais aller me changer de suite. Cependant, nous décidâmes de diner avant. Ensuite, Julie s’installa dans le salon, dans la canapé qui tournait le dos à la porte du couloir. Quand elle me vit, elle fût heureuse, étonnée, surprise…En effet, j’étais en bas lycra noir opaque, petite culotte noire en dentelle, et avec un beau porte jarretelle en dentelle noire.
Elle me fit une fellation directe, puis curieusement, elle alla chercher la martinet qui jusqu’ici n’était guère son truc. Ensuite, elle me fit mettre à quatre pattes et elle commença à me fouetter les fesses en prenant un certain plaisir. Inutile de dire que j’avais une érection somptueuse, et que je prenais un plaisir de fou à recevoir le martinet sur mes petites fesses. Au bout de quinze minutes environ, elle arrêta, mais je lui demandai de continuer. Ainsi, elle me fouetta les fesses encore, pendant environ 45 minutes. Ensuite, elle était toute excitée et elle me demanda de la prendre comme ça sur la canapé. C’était la première fois que je prenais ma femme en étant comme ça, en bas et porte jarretelle.
Le soir en se couchant, avant de dormir elle me dit :
- J’ai adoré et tu es une belle salope! Je vais continuer à m’occuper de toi!
Rien que cette phrase me fît m’endormir avec une belle érection. Avec ses mains baladeuses, elle s’en aperçut de suite !
C’est ainsi, qu’au fil du temps, en douceur et en gardant un côté jeu, notre vie changea. Ainsi, je me mis à faire la cuisine et les tâches ménagères en étant en dessous féminins, devant elle! Notre quotidien était devenu un jeu !
La honte de ma vie !!!
Cependant, sans le savoir, j’allais vivre deux expériences avec ma femme, qui m’ont totalement désarçonné !
Un jour alors que tout se passait bien dans notre quotidien, nous étions dans une boutique de lingerie. Je cherchais, avec ma femme, de la lingerie. Ainsi, je lui montrais divers modèles qui la rendraient encore plus sexy et qui m’exciteraient pour lui faire l’amour. Elle jeta son dévolu sur une culotte sexy et un porte jarretelle dans le même style. Nous étions seuls, dans cette boutique, avec certainement la patronne, la responsable. Cette dernière demanda à ma femme si tout allait bien. Ma femme répondit que oui.
J’étais à côté d’elle comme n’importe quel mari. A cet instant, je ne me doutais pas que j’allais vivre, dans quelques secondes, la plus grande honte de ma vie. La responsable dit à ma femme, en voyant son physique que la taille 44 lui irait mieux que le 42. Là, j’entendis ma femme dire à la vendeuse:
- non, c’est la bonne taille, c’est pour mon mari!
Effondré, honteux, je ne savais quoi faire sauf regarder mes pieds!
La vendeuse, à la fois surprise, pro et très réactive…volontairement ou involontairement dit à ma femme:
- les cabines sont là, si vous voulez!
Le pire c’est que ma femme, en me montrant les cabines, me dit:
- allez!!!
Rouge de honte, les larmes aux yeux, la tête baissée, marchant devant ma femme en m’imaginant que la vendeuse ne me verrait plus, j’allais en état de choc dans une cabine. L’essayage se passa bien. J’étais, vraiment, en état de choc. Je me demandais commet j’allais faire pour sortir de cette cabine!
Soumis de Julie, ma compagne!
Quand je sortis de la cabine, je vis que ma femme n’était pas devant le rideau de la cabine, mais devant la caisse ! Elle parlait avec cette dame…de quoi ? Je ne sais pas. Mystère !
Mon supplice étai loin d’être terminé. En sortant de la cabine avec la culotte et la porte jarretelle à la main, il y avait bien sur du monde dans la magasin. Comme si la honte n’était pas déjà si grande pour moi. Bien sur, je me rendis compte, de suite, que deux ou trois femmes avaient vu que je sortais de la cabine avec la culotte et le porte jarretelle ! Je me souviendrais, toujours, du regard de cette femme inconnue me regardant dans les yeux, surprise avec un sourire sur son visage. Comme si ça ne suffisait pas, à la caisse la vendeuse me demanda:
- ça a été » !!!
Je répondis avec un oui de la tête, sans trop la regarder puis je lui donnai ma carte bancaire pour payer, en pensant… » et en plus elle va connaitre mon nom » !
Je dis au revoir tête baissée. En effet, je n’avais qu’une envie, quitter ce lieu où j’avais connu la honte absolue. Ma femme et la vendeuse, se dirent au revoir, avec un grand sourire aux lèvres toutes les deux !
Je demandai à ma femme:
- Mais pourquoi as-tu fais ça? Pourquoi m’as tu fais ça ? « …
Elle me répondit:
- Et bien, tu voulais être soumis? Maintenant, tu es soumis! Plus exactement, tu es mon soumis!
J’étais scotché et sans réponse! Nous venions de passer dans une autre dimension, sans que je ne demande quoi que se soit !
Bonjour, je suis un jeune homme de 19 ans, je ne prétends pas avoir beaucoup d’expérience.
Mais selon moi, les femmes doit être dirigée d’une main de fer sans toutefois être injuste.
Bien qu’il est vrai qu’il y a des fois, j’aime bien dominer. il y a des fois j’aime bien être dominée.
Ce recits me rappelle un épisode de ma vie dans un magasin de lingerie ma vendeuse nous demanda sil on voulais un renseignement mon Amie demanda une taille elle ajoutera cet pour lui
wouha tu as beaucoup de chance d’voir trouve cette Femme
Hélas séparé, et seul aujourd’hui.
Très beau récits ou vecue
Vivement la suite
C’est du vécu, mais suis hélas séparé aujourd’hui et céliba.