Ensuite, il ajouta qu’un jour, la situation dans son couple gynarchique, s’était encore dégradée un peu plus pour lui. Ce fameux jour, il y avait un beau film à la télévision. Anne, sa femme dominatrice, lui demanda de lui faire un café. Jean eut un mouvement d’humeur et répondit un peu insolemment. Elle le regarda, fixement, sans rien dire, et il finit par obéir, inquiet. Le soir, après le film, elle revint sur son comportement.
- Tu m’as mal répondu tout à l’heure. Tu crois que tu es encore en position de te comporter comme cela ?
Non ma chérie, je suis désolé.
- Tu as de la chance, aujourd’hui, je ne vais pas te répudier, mais il faut quand même une sanction, tu ne trouves pas?
- Oui ma Chérie, je te prie de m’excuser, je ne le ferai plus!
Il baissa le tête. Leur fille était sortie avec une amie.
- Alors à poil! Mains sur la table, et tu ne bouges pas!
Elle s’absenta un instant et revint avec sa une cravache d’équitation. Elle était bonne cavalière … Il était cambré nu, mains sur la table, et il reçut une volée de 20 coups. Il se trémoussa en pleurant et en suppliant, ce qui la poussa à en rajouter encore. Les coups pleuvaient, ses fesses étaient striées de rouge, et il les bougeait en pliant parfois les genoux pour essayer de limiter les impacts, mais sans trop de succès. Elle était très calme.
- Voilà, pour t’apprendre le respect à ta Femme! Tu peux me remercier!
Et elle avança son pied. Il comprit de suite. Il se prosterna pour l’embrasser avec dévotion, en la remerciant, et en rajoutant encore dans son humiliation.
Ma femme, psychologue, essaye de comprendre la situation!
Que je le veuille ou non, Guylaine et moi devions lui poser des questions un peu plus intimes!
- As-tu le droit d’embrasser Anne?, Demanda ma Femme, cherchant un point de départ, à partir duquel elle puisse comprendre.
Jean sirotait son café. Il tremblait.
- Jamais sa bouche. J’ai seulement le droit de lui faire le baise-main ou …, il fit une pause, d’embrasser sa chatte, après qu’elle ait été avec Marc.
A ces mots, je sentis son cou se colorer en rouge vif. Je suis un homme et cela me fit plus d’effet que je ne voulais l’admettre. Cependant, je me gardais bien de montrer quoique ce soit. J’étais un gêné et en pleine confusion, après ces révélations.
Guylaine, ma Femme, est psychologue, elle comprend bien les gens, et leurs relations.
Je me suis levé et j’ai assuré à Jean que je n’étais pas gêné (mais je l’étais!) Et je me suis mis un peu en retrait pour laisser ma Femme l’aider, nous aider. Elle nous dit très doucement:
- Jean est formé pour être leur cocu. Il est amené au sexe d’Anne pour s’habituer au goût et à l’odeur de Marc. Une fois que Jean se sera habitué à ça, et aura surmonté son aversion, son dégoût, Anne dirigera la maison d’une manière nouvelle. Des recherches scientifiques ont montré que la virilité d’un homme est réprimée à mesure qu’il goûte, sent, et avale le sperme d’un rival.
Cela semblait terrible ..
- Mais tu es sûr? Enfin je veux dire … oh mon Dieu!
Mais Guylaine racontait les choses crûment, telle qu’elle les voyait.
- Jean a sa bite enfermée, donc il (Guylaine s’arrêta pour trouver les meilleurs mots) en est réduit aux plaisirs oraux. On lui apprend que se soumettre est son seul exutoire.
De plus en plus inconfortable en écoutant le récit de mon cousin!…
J’ai regardé Jean, consterné, et j’ai pensé qu’il aimait le sexe de sa femme sentant le sperme. J’imaginais Anne le regardant, caressant peut-être ses cheveux lorsqu’il faisait ce qu’elle lui disait de faire. A ma grande honte, j’ai imaginé le plaisir de lécher la chatte de ma Femme, dans la même position. Cela me semblait un tel acte de soumission, si peu viril …
- Mais as-tu besoin de faire ça pour Anne? Lui ai-je.
Je suppose que j’ai montré un visage dégoûté. J’ai essayé de de m’en empêcher, mais cela a dû se voir. Je n’ai pas dit «avec Anne» car cela me paraissait être un acte de soumission totale, comme une chose que ferait un esclave.
Guylaine me caressa l’épaule. Elle n’est pas une peau de vache comme Anne, mais il y a des fois où je me demande si les choses ne risqueraient pas de changer pour nous aussi.
- Oui, admit Jean en fronçant les sourcils, c’était extrêmement embarrassant pour lui, j’en ai besoin … je le demande.
- La dépendance, chérie … c’est réel, elle devient aussi bien physique que psychologique. Jean a besoin de la récompense de lécher le sexe d’Anne.
Guylaine faisait de son mieux en me touchant pour me rassurer, mais les mots me faisaient peur!
- Je dois aussi dire que Marc la baise, quand je la lèche, dit jean en baissant la tête de honte.
- Renforcement » dit Guylaine, qui semblait maintenant professionnellement intriguée autant qu’intéressée par le coté un salé de cette histoire, plus Jean lèche et imagine le sexe d’Anne avec son homme, plus il s’enfonce.
…et même très en colère contre Anne, femme dominatrice!
Je suis allé faire un autre café. Elle regarda Jean et lui demanda s’il aimait encore sa femme, et il admit qu’il l’adorait. Massivement. Il y avait aussi la question collatérale d’Adeline, leur fille, Jean ne voulait perdre ni l’une ni l’autre.
Quand je ramenai le café, je demandai à jean :
- Jean, peut-être devrais-tu quitter Anne, si cela te fait du mal.
Guylaine regardait mon cousin comme si elle l’étudiait maintenant. Je sentais à son regard et à ses paroles qu’elle ne pensait pas que sortir du mariage soit possible.
- Ou tu devrais apprendre à coopérer, dit-elle.
Je grimaçai.
- Si tu montres à Anne que tu te soumets, que Marc a gagné et que tu les soutiendras docilement, alors tu sauveras quelque chose. Je sais que cela n’est pas évident, vu comme ça, mais cela vaut peut-être la peine, plutôt que de tout perdre.
J’ai jeté à Guylaine un de ces regards !
- Mais cette salope pourrait quitter Jean et emmener Adeline de toutes façons! Ai-je craqué.
J’étais en colère.
- Peut-être» concéda-t’elle, «mais Anne est une femme alpha, elle aime avoir le contrôle. Si Jean veille sur la maison, s’il fait tout ce qu’Anne demande et accepte son amant, alors elle y gagne. Ce n’est pas cool, certes, mais une femme dominante aime humilier, contrôler.
Capitulation de Jean qui accepte d’être l’esclave de sa femme dominatrice!
Jean regarda ma Femme avec étonnement. C’était comme une révélation, Guylaine lui expliquait exactement ce qui lui vrillait le ventre, semait en lui la confusion, et torturait son esprit.
- Si tu restes, Anne t’humiliera. Tu devras te soumettre à Marc encore et encore.
Guylaine me jeta un coup d’œil. Çà devenait très difficile. Elle voyait à quel point j’étais perturbé !
- Tu devras probablement sucer des bites. C’est souvent un rituel symbolique, avant de baiser Anne, ou après. Tu sais, chéri (Elle posa sa main sur mon épaule) mais c’est pour asseoir la relation Maitresse- esclave. Marc met sa bite dans la bouche de jean et Anne regarde. Ils savent tous ce que ça veut dire et qu’il se soumet toujours davantage. En revanche si Jean se rebellait et mordait …..
Je frissonnai en m’imaginant la scène …
- Il me tuerait, dit Jean d’un air maussade.
- Probablement, oui, dit Guylaine.
Je ne pouvais plus rester dans cette pièce et entendre le reste! Je suis parti précipitamment à la cuisine me servir un verre de pinot froid du frigo. Après l’avoir bu en tremblant, je me suis resservi et ai allumé la radio en faisant semblant de l’écouter.
Une heure plus tard, Jean partit se coucher. Guylaine est venu me faire un bisou, en me disant que Jean avait décidé de capituler et d’être leur cocu. Elle avait testé sa détermination, en lui répétant les conséquences que je supportais à peine d’imaginer.
Admiration secrète de ma femme pour Anne!…
Jean avait besoin d’être cocu. Il était, eh bien, instinctivement, un soumis. Peut-être, suggéra Guylaine, que sa mère avait été une femme dominatrice et qu’il avait appris à en avoir besoin? Je me dis que c’était possible, c’était un peu comme ça dans la famille, où les femmes avaient toujours eu tendance à prendre les choses bien en main. Mais bon, quand même pas au point de gifler, du moins pas à ma connaissance…
Guylaine, me sidérait, dans cette soirée, mais cela monta d’un cran lorsqu’elle se mit à me parler de ce qu’elle ressentait vis à vis d’Anne. Depuis des années, elle l’admirait secrètement, au point d’être jalouse de son succès. Elle l’admettait sans fioriture, dans beaucoup de détails.
Ainsi, elle connaissait Anne. Elle me dit que oui, c’était une garce, et je lui demandai si les garces étaient toujours si dures? Il se faisait tard et la question devenait trop philosophique! Et elle me répondit, avec clarté, comme à son habitude. Les garces ne sont mauvaises que si elles n’ont pas de partenaires à leur niveau, et qu’alors elles les dévorent tout crus. Je dus admettre qu’elle avait raison. Bien sûr qu’elle avait raison !
- Alors deviens ami avec Anne, va rencontrer Marc et dire que tu approuves ce qu’ils font, me dit-elle soudain.
…qui me demande de devenir l’ami d’Anne!
Je regardai ma Femme, bouche bée.
- Jean ne pourra pas s’en sortir. La seule chose qui risque de lui arriver, c’est d’être répudié. Anne se servira de lui comme bon lui semble jusqu’à ce qu’elle en ait fini avec lui. Psychologiquement, il l’accepte cela. Donc, toi … nous … devons créer un environnement qui lui facilite la tâche, où tout cela devienne la norme.
- Quoi!, demandai-je.
- Oui Anne est une femme dominatrice, elle l’a toujours été. Jean a épousé une peau de vache. J’avoue même que j’admire certaines de ses qualités. Montres-lui que tu es d’accord avec son choix de Marc, compare-le favorablement à Jean, et peut-être, peut-être, qu’Anne sera plus douce avec son cocu.
J’ai bougé la tête en signe de dénégation!
- Est-ce que ce qu’ils font est sexy?, Demanda-t’elle.
- Oui, mais ça n’est pas correct, c’est méchant!
- Le sexe n’est pas gentil, mon chéri, il est compétitif, les spermatozoïdes essaient de vaincre, et la femme sélectionne. C’est la nature, Anne est fidèle à son instinct.
Jean et moi, avons décidé de suivre les conseils de ma femme!
Je hochai la tête.
- Que penses-tu de l’apparence de Marc?, Demanda-t’elle .
- Un homme sans scrupule, j’admis.
- Oui mais mieux que ce de quoi Jean a l’air ?
Elle appuyait là où ça faisait mal. Elle ne lâcherait pas le morceau!
- Oui, bien sûr, dis-je d’un air irrité.
La comparaison était cruellement évidente.
- Alors accepte le choix d’Anne et essaie d’aider Jean à vivre un peu plus confortablement avec ses besoins , dit-elle calmement.
Le lendemain, nous envoyâmes Jean concéder sa défaite et dire à Anne qu’il coopérerait pleinement. Il avait l’air étrangement en paix, et semblait d’accord avec ce que Guylaine lui avait dit. Même si Jean n’était pas tout à fait ce qu’elle considérait comme un homme, alors, sur le plan psychologique, on pouvait la comprendre. Plus tard dans la journée, j’ai appelé Anne pour l’inviter à prendre un café en ville.
- Comment ça va, ce matin?, me demanda Guylaine.
Elle me sourit. Elle savait quel choc toutes ses révélations avaient été pour moi.
- Étrange», avançai-je.
Elle haussa les sourcils comme pour interroger, «Et c’est tout? »
- C’est sexy, mais ça ne devrait pas l’être, ai-je insisté.
- Oui, c’est sexy, dit-elle sans rire, quand tu verras Anne, que vas-tu porter?
Je l’ai regardée et n’ai pas tout de suite compris le but de sa question.
- Mets un costume et montre-toi sous ton meilleur jour, suggéra-t-elle.
J’acquiesçai. Oui bien sûr.
- Et invite-les un de ces jours. Je mettrai des jeans en cuir et des bottes en cuir noir …
Hiii