Sissy Aline soumise à Maîtresse Anne-Marie (10)

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En ce début septembre, un an s’est écoulé depuis le début de mon éducation et de ma transformation en Sissy Aline.

Mon évolution, ma transformation…

Je suis transformée de corps et d’esprit. Pour ma poitrine, je porte des bonnets B. De plus, mes tétons sont hypersensibles suite au traitement et à l’utilisation des « aspi-tétons », et des injections hebdomadaires.

Ainsi, mes tétons pointent sous les vêtements, ce qui attire l’œil des passants tant ils sont visibles.
Maîtresse Anne-Marie s’occupe, souvent, de les exciter et elle leur fait subir moult traitements pour les développer.

Mon clito lui vit, rétracté, en permanence. En effet, je ne suis plus autorisé à avoir des érections ou des orgasmes avec.

Ma chatte par contre est toujours prête pour une visite. Mes orgasmes  sont intenses, si Maîtresse Anne-Marie m’autorise à jouir.

Je suis vêtue en permanence avec tous les atours féminins: Soutien-gorge, porte jarretelles, culottes, bas, le tout toujours coordonné pour les couleurs.

Maîtresse a, également, décidé que je ne porterai que trois coloris à savoir : « Noire, rouge ou bleu« . Le blanc m’est interdit. Maîtresse se réserve cette couleur.

Mon apparence, mes vêtements…

sissy

Pour la maison, je dois porter, uniquement, une tenue de soubrette, noire et sans dentelle. Sauf si Maîtresse a prévu une séance, je n’ai pas le droit d’être aguichante.  Pour moi les séances, qui souvent, se terminent  dans cette pièce que je ne connais que trop.

Alors pour ces soirées je suis très olé-olé, culotte ouverte, push-up pour ma poitrine. Mes tétons sont accessibles. Le corset serre bien la taille avec huit attaches pour les bas. Sans oublier, le rosebud bleu, sa couleur fétiche, en place.

Pour les courses, je porte une jupe courte avec un chemisier transparent, des bas et tous les accessoires qui vont avec.

De temps en temps, je suis avec une robe qui s’ouvre en délaçant les liens sur le côté. Ainsi, j’expose un peu de mon corps. Avec le deuxième lien intérieur, l’accès à mon corps est total.

Je dois être maquillée du lever au coucher : mascara, eye-liner, rouge à lèvres, poudre. Ainsi, tous les jours, je dois être parfaitement apprêtée.

Je n’ai plus à me raser. Maîtresse Anne-Marie m’a fait épiler intégralement au laser et électrolyse. Après plusieurs séances, je n’ai plus de pilosité. Les traitements en complément m’ont rendue glabre. Par contre, mes cheveux sont développés, mi-long avec un rouleau. Je les teints en châtain clair. Jamais de racines blanches, sinon j’ai droit à la punition : au pilori en extension et god électrique en fonction.

Sissy Hortense et moi, inséparables!

Depuis novembre, l’an dernier, nous nous sommes vues régulièrement, ou plutôt Maîtresse Maryse et Maîtresse Anne-Marie. Elles m’ont éduqué tout au long de l’année et lors de visites, les unes chez les autres.

Pour fêter cet anniversaire, Maîtresse Maryse est invitée, Sissy Hortense suit.

Lors de leur arrivée à la maison, nos Maîtresses, tout à la joie de se revoir, moins d’une semaine après, nous ordonnent de préparer leur apéritif puis le diner.

Nous nous hâtons  d’obéir. Notre but, être toutes les deux pour échanger sur notre semaine.

Il faut dire que Sissy Hortense et moi sommes devenues inséparables. Sissy Hortense est teinte en châtain aussi, nos Maîtresses s’habillent identique pour passer pour des jumelles

Nous, leurs Sissy devons faire de même, toujours habillées pareilles sinon punition.

 

Un an après, être devenu une Sissy…

Depuis, la découverte de la vie d’une sissy, déflorée par « minus », c’est la grande abstinence pour les contacts avec d’autres hommes.

Je suis en cage permanente et mon mini-mini micro clito est devenue tellement ridicule qu’il est invisible même avec la cage « mini-gun ».

Je ne bande plus et je n’ai plus d’envie de ce côté-là. Sissy Hortense m’a expliqué : pour elle maintenant son clito ne se dresse plus même encagée. Il est devenu un minuscule appendice qui ne sert que pour les mixions.

Il en est de même pour moi.

Mon « clito » est devenu invisible. Il est recroquevillé et racorni. A part, un petit sac ridicule qui pendouille entre mes cuisses, il n’y a plus rien de visible. Ce sont les injections régulières, la cause de ces changements, de même pour le développement de ma poitrine bonnet B limite C .

De plus, je ressens, désormais, un profond désintérêt pour l’orgasme « masculin ». Je préfère cent fois, être prise par ma chatte malgré que ce soit avec le god ceinture.

Ainsi, je rêve de recevoir à nouveau un vrai sexe dans ma chatte. Quand je me remémore la visite de « minus », des ondes me parcourent le corps.

Ressentir ces sensations lorsque son éjaculation arrive, les pulsations de son membre dans ma chatte, doux souvenir mais unique. J’en rêve.

Je me rappelle les paroles de ma Maîtresse Anne-Marie qui ont précédé cette frustration : « car tu n’auras jamais le droit à un vrai mâle n’oublie pas que tu es au service des femmes uniquement et doit vivre féminisée tout le temps. »

Aujourd’hui, je me suis faite à cette idée. Lorsqu’elle arrive harnachée, je sens ma chatte se mettre à vivre comme indépendante, en attente de Maîtresse et son god.

Je suis devenue accro, prête en permanence à recevoir ou à venir m’occuper de ma Maîtresse si elle le demande. Ma langue est devenue plus agile.

Le lendemain de leur arrivée

Aux aurores, Sissy Hortense et moi préparons le brunch de nos Maîtresses.

Prête tôt, je suis vêtue courte, en rouge, avec des talons de douze centimètres, le cadenas posé et un corset serré au maximum. Depuis la dernière fois où j’ai porté le corset, j’ai perdu trois tailles. Ma taille est très marquée.

Nous allons fêter cette année écoulée. Une sortie est prévue. Nos Maîtresses ont beaucoup d’imagination. Ainsi, tout peut nous arriver. Nous sommes très stressées à cause de cette journée. Nous avons nos colliers au pendentif non équivoque, cadenassés et les boucles « sissy » bien visibles. Mes lobes d’oreilles sont percés maintenant.

Nous partons vers midi. Nos Maîtresses sont superbes, en robes longues noires fendues sur le côté à mi-cuisse, des escarpins Orsay noir vernis aux pieds et des bas couture noire en voile.
Un sautoir de perles avec ses pendentifs complète leur tenue, tout en sobriété mais avec beaucoup de classe.

En compagnie de Maîtresse Maryse et Maîtresse Anne-Marie, nous nous faisons, encore plus, remarquer.

Je suis le conducteur désigné.

Heureusement que depuis un an, je me suis habitué à conduire avec de tel hauts talons.
Toute erreur de conduite est sanctionnée.
Avec Maîtresse Maryse et Maîtresse Anne-Marie dans la voiture, la punition sera doublée.

Une adresse GPS déjà entrée, m’indique la route. Une heure trente de route est prévue. Cela fait beaucoup de de route, pendant laquelle je peux faire une erreur de conduite, sanctionnée à l’arrivée par une punition pour la fautive.

C’est, ainsi, qu’un peu avant l’arrivée, en pleine campagne, je ne peux éviter un dos d’âne. Maîtresse Maryse et Maîtresse Anne-Marie en cœur m’annoncent : pilori, cravache et un extra……

 

Première punition du voyage

Le sourire de Sissy Hortense ne passe pas inaperçu, résultat  pour Sissy Hortense:

  • Punition identique pour toi, annonce Maîtresse Maryse.

Au bout de la route nous arrivons devant une demeure bourgeoise. Le portail est ouvert.

  • rentre!, m’ordonne Maîtresse Anne-Marie.

Une grande allée nous conduit au abord de l’édifice. Sur le perron nous attend une femme habillée comme Maîtresse Maryse et Maîtresse Anne-Marie. Nous nous regardons toutes les deux et pensons que le séjour prévu ne sera surement pas tranquille pour nous.

La personne, une fois descendue de la voiture, ne nous est  pas inconnue. C’est la propriétaire du sex-shop où nous avons été exhibées et soumises à toutes les femmes présentes.

Nous savons maintenant dans quel monde nous allons pénétrer.

Le portail se referm sur nous. Notre séjour débute.

La journée suivante

Le lendemain, nous nous réveillons tôt. C’est devenu une habitude, maintenant.

Une personne nous attend, déjà, apprêtée, pour la journée. Sa tenue est sans équivoque : c’est aussi une Sissy.

Elle se présente « La Chose ».

Elle explique qu’elle n’est rien aux yeux de sa Maîtresse. La chose hormonée, castrée doit se soumettre aux femmes. Elle porte, toujours, un rosebud ou un plug, des menottes aux poignets et aux chevilles, un corset, des bas couture, un soutien-gorge push-up, un string ouvert laissant l’accès libre à sa chatte plugée en permanence.

Un chemisier transparent et une micro-jupe laissent voir sa condition de Sissy.

Elle nous indique les tâches pour la journée et donne une lettre de Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse qui  nous annoncent :

« Vous obéissez en tout point à « La Chose »! Tout manquement sera rapporté et une punition graduée vous sera infligée. »

« La Chose » nous dit:

  • Sissy Hortense et Sissy Aline vous devez m’écouter et m’obéir!

Elle a un sourire en coin qui n’augure rien d’agréable de sa part. De plus, elle rajoute que nous avons la chance d’être, encore, considérée comme une personne avec Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse.

  • La mienne ne me considère pas comme vous, la preuve elle me nomme « La Chose ».

La jalousie perce dans sa voix.

Nous nous regardons et nous comprenons que notre séjour ne va pas être un long fleuve tranquille.

Dès notre arrivée dans la cuisine, nous trouvons la vaisselle sale, entassée et la pièce est, également, très sale. Le sourire en coin de « La Chose » nous aide à comprendre quel est notre premier travail. De plus, elle nous annonce que les Maîtresses désirent leur petit déjeuner, dans vingt minutes avec un large sourire.

Le début des punitions…

 

Dans le temps imparti, malgré notre diligence, nous ne pouvons réussir à tout faire. La clochette retentit avec insistance depuis, environ, deux minutes. Nous apportons leur repas, en retard. Elles nous regardent puis elle annoncent :

  • Vous êtes en retard, donc direction la salle de punitions. Attache-les, aux croix!

 

« La Chose » s’incline pour nous mettre des menottes aux chevilles et aux poignets. De plus,  nous devons marcher la tête vers le haut, avec un collier de posture. « La Chose » attache les laisses à nos colliers puis il nous mène vers la salle.

La salle se trouve en sous-sol, ce qui nous oblige à redoubler d’attention dans l’escalier pour ne pas trébucher car nos mains sont attachées dans le dos.

Nous découvrons un très grand donjon hyper équipé. Tous les équipements possibles semblent rassemblés en cet endroit.
La salle nous semble immense! De la peur et de l’effroi, traversent notre regard à toutes les deux.

« La Chose » nous mène vers les trois croix.
Elle attache nos menottes, le plus haut possible et les chevillères le plus écartées possible.  Attachées avec ces colliers, nous ne pouvons pas bouger. Nous ne pouvons voir que devant nous.

Un bruit de raclement se fait entendre, mais nous ne pouvons pas voir ce qui est en est la cause. « La Chose » s’active à accomplir sa tâche.  Je sens, brutalement, une insertion dans ma chatte. Ma jupe est soulevée et la chaîne est verrouillée autour de taille. Sissy Hortense subit un traitement identique.

Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse arrivent, suivies de la Maîtresse des lieux pour nous annoncer:

  • vous voici enfin prêtes à subir votre punition, vous allez la découvrir!

A ce moment là, une décharge dans ma chatte me fait comprendre quelle sorte de punition est infligée.

Des variations en intensité et en force nous sont infligées. Toutes les deux, nous ne pouvons retenir des gémissements, puis à la fin, nous ne pouvons nous retenir d’hurler.  On nous impose, donc, le port d’un bâillon en forme de god.

…même pour la « chose », la sissy de notre Hôtesse!

Après un matin mouvementé, pendant lequel, nous avons eu le droit au fouet et à la cravache, en plus des décharges à notre chatte, nos Maîtresses nous libèrent, enfin, pour le repas.

« La Chose » nous attend avec un sourire aux lèvres. La vaisselle du petit déjeuner nous attend, également, dans l’évier.

  • Ce n’est qu’un début!, ose nous dire « La Chose ».

A ce moment là, sa Maîtresse est présente dans son dos. Nous baissons la tête, maintenant, que les colliers sont ôtés.

  • Sissy Hortense, Sissy Aline, c’est bien vous vous êtes remaquillées. Votre tenue est, egalement, correcte. « La Chose »,  ton comportement va entrainer des punitions et autres plaisirs, à mon gré. Tu as osé abuser du peu de liberté donnée. Il s’agit d’un inadmissible abus de ta part.

« La Chose » nous regarde. Nous voyons la peur passer dans son regard. Sa Maîtresse semble très stricte.

 

La punition arrive. Une barre écarte ses chevilles. Les poignets sont attachés dans le dos. La « chose » est à genoux, fesses relevées. Trente coups de cravaches sont assénés sans ménagement.

En pleurs, son maquillage coulant, ses fesses striées de rouge, « La Chose » se relève et il reçoit l’ordre de nous aider dans nos tâches.

« La Chose » vient vers nous et nous demande de l’excuser de son comportement envers nous.

Nous ne disons rien mais nous  lui montrons notre absence de rancune.
Ainsi, nous lui passons une crème sur les boursouflures laissées par la cravache puis, nous l’aidons à refaire son maquillage.

C’est toutes trois que nous nous dépêchons de nettoyer et préparer les plats pour nos Maîtresses.
Enfin, nous réussissons à effectuer nos tâches dans les temps et à éviter, ainsi, la punition!

 

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